Le documentaire porte sur les mécanismes d'évasion fiscale grâce auxquels les multinationales parviennent à ne pas payer des milliards de dollars en impôt. Cette évasion fiscale conduit à un accroissement des inégalités de revenu, et appauvrit les classes moyennes. Le film s'efforce en particulier de montrer le rôle de la place financière de Londres dans cette évasion fiscale en s'appuyant notamment sur l'expertise du Tax Justice Network.
En recherche d'emploi, un groupe de jeunes du Nord-Pas-de-Calais suivent une formation dans le cabinet Ingeus, société privée spécialisée dans l'insertion professionnelle.
L'œuvre présente les efforts des Palestiniens habitant la ville et la région de Beit Sahour, en Cisjordanie, pour démarrer une petite industrie laitière locale au cours de la première Intifada, en cachant un troupeau de dix-huit vaches laitières aux forces de sécurité israéliennes qui considérait la production de laitages comme une menace pour la sécurité nationale d'Israël.
Le film se passe près des gorges du Verdon et raconte l'histoire de Maguy (la mère de la réalisatrice) qui arrivant à la retraite doit vendre son troupeau de chèvres à une jeune agricultrice.
Pascal Eguisier et Carole Noblanc sont un couple de berger. Ils effectuent une transhumance avec 800 moutons, sur une distance de 600 km, dans les cantons de Vaud et Fribourg, en Suisse, en partant de Cuarny et finissant à Rovray, sur une durée de quatre mois, entre mi-novembre 2010 et mi-mars 2011. Tout en dormant à la belle étoile, ils sont accompagnés dans leur périple par les ânes Pâquerette, Turca, Figaro, Paulo et les chiens de berger Titus, Tutsi, Kiwi, et le chiot Léon. Certains moutons guides, Irmate, Marilyn, Tabasco, Emilien sont affublés d'une clochette et ont droit à du pain pour attirer le reste du troupeau derrière eux. Cette vie en nomade est néanmoins entrecoupée de rencontres, par des connaissances, des agriculteurs, contents ou mécontents de leur venue, et des habitants et passants, de plus en plus nombreux avec le mitage du territoire où passent traditionnellement la transhumance, curieux de leur manière de vivre. Au fur et à mesure, le propriétaire des moutons et des ânes, Jean-Paul Peguiron, éleveur à Cuarny, vient réduire le troupeau pour les besoins de la consommation des clients.
Artifact narre le procès de EMI en 2008 contre Thirty Seconds to Mars ainsi que l'élaboration de leur 3e album studio This Is War. Il montre le groupe pendant une période trouble de leur carrière mais aussi de leur vie. En effet, on les voit douter, se remettre en question et attendre avec anxiété la suite du cauchemar. Ce documentaire montre deux parties distinctes : l'histoire du groupe (procès et Making-Of de This Is War) et la véritable situation des artistes lorsqu'ils ne sont pas en conformité avec leur maison de disques.
En avril 2009, Nicolas Sarkozy décide de baisser le taux de tva dans la restauration de 19,6 à 5,5. Cette mesure, d’apparence technique et économique, s’avère être un fait éminemment politique et parfaitement symbolique d’une manière de gouverner : pas de concertation, beaucoup de communication et une soumission totale aux lobbies.
Le quotidien d'un chalutier qui, de jour comme de nuit, pêche les animaux de la mer et en recrache les restes sanguinolents sous l'œil des goélands affamés.
Le film met en garde contre les dangers contre les dépendances en agriculture d'intrants chimiques et de ressources énergétiques. Le film décrit des alternatives agricoles en France, le mouvement des Villes en transition et le changement de paradigme agricole à Cuba comme des exemples préfigurateurs d'un nouveau mode de production agricole, à petite échelle et décentralisé.
Ce documentaire retrace, de 1970 à 1981, dans le cadre immense du haut plateau du Larzac, Aveyron (Massif central) mais aussi dans la ville de Paris, les onze années de luttes non violentes et inventives menées par les paysans et paysannes du lieu contre leur expropriation au profit du projet de l'époque d'agrandir le camp d'entraînement militaire du Larzac. Ces hommes et ces femmes de la micro-société paysanne conservatrice et catholique française de l'époque se virent avec étonnement et parfois un peu de crainte épaulés par des dizaines de milliers de personnes qui, pour certaines, ont depuis fait souche dans ce pays en s'installant comme agriculteurs.
Au Canada, le nord du Québec et de l'Ontario recèle d'immenses richesses minières, qui ont généré des profits faramineux, au mépris de l'environnement et de la santé des travailleurs. C'est une histoire qui passe par le nickel de Sudbury, l'argent de Cobalt, l'or de Timmins, le cuivre de Rouyn.
Debtocracy (Χρεοκρατία (Chreokratía)) est un film grec documentaire sorti en avril 2011 de deux journalistes grecs : Katerina Kitidi et Aris Hatzistefanou. Le film traite principalement de la crise de la dette grecque de 2010, et prend pour exemple le cas de l'Équateur, et montre comment ce pays a réussi à s'en sortir grâce à un audit de sa dette et en répudiant une partie de sa dette. Les fondateurs du projet Debtocracy soutiennent que la Grèce doit suivre la même voie en commençant par créer une commission d'audit de la dette souveraine1 puis en sortant de l'euro. Ce film a connu un vif succès en Grèce. Près de 500 000 personnes ont visionné le film une semaine après sa sortie sur internet, plus d'un million quelques semaines plus tard. Le projet a été intégralement financé par des donations.