Ce film documentaire donne la parole à sept enfants juifs et palestiniens, âgés entre 9 et 13 ans. Ils donnent leur vision sur le conflit israélo-palestinien.
Le documentaire a été tourné alors que les deux réalisatrices préparaient un documentaire sur le président Hugo Chávez au Venezuela. Elles se trouvaient à l'intérieur du palais présidentiel quand fut déclenché, le 11 avril 2002, le coup d'État conduit par les propriétaires des chaînes privées, les cadres de la compagnie pétrolière du Venezuela, ainsi qu'une poignée de dirigeants militaires avec le soutien, entre autres, des États-Unis, de l'Espagne, de la Colombie et du Salvador. Le film présente la chronologie du putsch et la mobilisation des millions de Vénézuéliens qui entraîna le retour au pouvoir d'Hugo Chávez 48 h après le début du coup, grâce à la garde présidentielle.
Un travail minutieux de récolte d'images a permis de reconstituer, minute par minute, ce qu'ont vécu les New-Yorkais lors du 11 septembre 2001, entre l'impact du premier avion et l'effondrement de la seconde tour. De leurs appartements, de Times Square aux quais du New Jersey, les New-Yorkais commentent, observent, et surtout filment la catastrophe. Si certains restent incrédules, d'autres sont pris de panique. Les rumeurs circulent, les transports s'arrêtent et les lignes téléphoniques sont mises hors service. L'île de Manhattan se retrouve coupée du monde. Ses habitants cherchent à fuir en marchant le long des routes et prennent d'assaut les ferries.
The film spans from March 11, 2001 to September 19, 2011, starting with Noland's own experience in the Tōhoku Earthquake and tsunami, Fukushima Daiichi nuclear disaster followed by volunteer activities in Ofunato
Motherland is an epic documentary about the African continent from Ancient Egypt to the present. It is an overview of African history and contemporary issues but with the African people at the centre of the story. It is one of the first Pan-African features to be made.
Inside Job est le premier film qui s'essaye à une analyse exhaustive de la crise financière mondiale qui a éclaté en 2008. Il décrit aussi le rôle qu'ont joué des banques comme la Lehman Brothers, Merrill Lynch, Goldman Sachs et Barclays dans cette crise. Selon le réalisateur, celle-ci était évitable, car, pour que la crise de 1929 et la Grande Dépression ne puissent se reproduire, « des mécanismes avaient été mis en place, qui ont protégé les États-Unis de toute crise financière jusqu’en 2008 ». Mais, « avec la dérégulation progressive du secteur financier, les années 80 ont vu l'émergence d'une industrie de plus en plus criminelle, dont les « innovations » ont provoqué une succession de crises financières. Chaque crise étant pire que la précédente, et pourtant, au vu des enjeux d'enrichissement et du pouvoir croissant de l'industrie, chacune a envoyé très peu de gens derrière les barreaux ». C. Ferguson fait ainsi remarquer qu’en dépit « des fraudes qui ont provoqué des milliers de milliards de pertes, personne n'est allé en prison ». Le film donne la parole à l'ensemble des protagonistes, dont des experts qui avaient annoncé la crise, et qui à l’époque n'avaient pas été écoutés ou jugés être des cassandres. Selon la présentation du film faite par Sony Pictures, Inside Job révèle « l'émergence d'un business dénué de tout scrupule et expose les relations scandaleuses qui ont corrompu la politique, les autorités de régulation et le monde universitaire ».
Entre 1914 et 1918, un conflit mondial change à jamais le cours de l’histoire. Les hommes et femmes qui y ont participé ne vivaient pas dans un monde silencieux, en noir et blanc. Un voyage dans le temps pour revivre l‘histoire avec ceux qui y étaient.
Un nouveau regard - percutant et désespérant - sur la guerre en Irak, où comment le président américain George W. Bush et son administration, en l'occurrence la CIA, manipulèrent les masses.