Oswald part dans les forêts du nord-ouest américain à la chasse. Il défie les rapides en canoë et chasse l'oie mais fait un trou dans son embarcation avec son arme. Après avoir été poursuivi par les volatiles, il se cache dans une caverne dans laquelle il est contraint de se battre contre l'occupant, un ours. Il finit vainqueur avec la peau de l'animal sur le dos.
Alice est sortie en barque avec ses deux sœurs et des deux amis. À un moment, alors que tout le monde se repose dans une prairie, elle aperçoit un lapin blanc.
« Monsieur en Retard », le Lapin Blanc, arrive en courant au Pays des Bisounours. Il a besoin d'aide pour retrouver la Princesse qui a été enlevée aux Pays des Merveilles...
À cause des cigognes, Oswald se retrouve papa. Il déclare la guerre aux volatiles en leur tirant dessus, cigognes qui lui répondent en lâchant les bébés tel des bombes.
Un matin, Oswald et ses amis se lancent dans la forêt au son de deux cors pour une campagne de chasse au renard, effrayant les animaux des bois. Mais le renard est futé.
Robbie, un jeune lapereau sur le point de prendre la relève de son père en tant que lapin de Pâques, quitte sa maison sur la célèbre île pour poursuivre son rêve de devenir un batteur à Hollywood.
Au moment de faire la lecture à sa petite fille sur le point de s'endormir, Alice, désormais jeune maman, traverse le miroir de la chambre. De retour au pays des merveilles, dans ses habits d'enfant, elle rencontre tour à tour la Reine Rouge, d'insolentes fleurs qui parlent, des pièces d'échec aussi humaines qu'elle, une Reine Blanche qui se souvient des événements avant qu'ils n'aient lieu, un gros oeuf perché au sommet d'une tour… Alors que, dans les bois, rôde le Jabberwocky, un terrible dragon, Alice joue à un étrange et gigantesque jeu dont elle sort victorieuse. Désormais reine, elle participe à un banquet riche en surprises…
Le rideau s'ouvre sur une scène de théâtre où une reproduction du tableau du Yankee Doodle The Spirit of 76', peint par Archibald Willard, occupe le fond. Surgit Bugs Bunny jouant du pipeau avec une carotte, scène quasi identique à celle terminant le cartoon A Wild Hare (1940). Bugs croque la carotte et commence son discours patriotique en citant les figures emblématiques des États-Unis et tout d'abord de l'Oncle Sam, avec une certaine familiarité. Il revient en portant le chapeau aux couleurs du drapeau américain et la barbe blanche symboliques de l'Oncle Sam. Bugs lance des « war bonds » à pleines poignées, comme des tracts, et chante une chanson dont les paroles incitent l'assistance à acheter ces bons, qui « garantiront la liberté ». Il continue en dansant puis entame une parodie d'Al Jolson, artiste de music hall très populaire en Amérique et très lié au monde du jazz (il se maquille souvent en noir dans ses spectacles). Bugs prend les traits de Al Jolson et reprend brièvement son titre « Mammy », transformé pour l'occasion en « Sammy » (l'Oncle Sam). Porky Pig (en marin) et Elmer Fudd (en fantassin) rejoignent Bugs, chantent et dansent avec lui devant le public. L'image de la publicité pour ces bons vient clore le film.
La fantastique histoire de Lewis Carroll revit dans cette nouvelle animation. C'est l'incroyable histoire d'Alice, petite fille qui tombe dans un terrier de lapin et se retrouve au Pays des Merveilles. Alice suit le Lapin Blanc dans un terrier et découvre un étrange monde plein de personnages étranges. Alice se trouve bientôt dans une incroyable aventure.
Une légende raconte qu'un guerrier arrogant avait entraîné la perte des siens. Un sort l'avait puni : le sorcier de sa tribu l'avait métamorphosé en animal, un lièvre. Pour se racheter, celui-ci fit le choix de venir en aide aux humains perdus dans leur vie.
Oswald propose à Miss Rabbitt une balade en amoureux en voiture mais se retrouve rapidement à devoir faire la course contre une voiture de police qui le poursuit...