The film begins with Nazi mad scientist Dr. Kurt Leopold in his lab, where he has lived alone for about 20 years (it is revealed later in the film that he graduated cum laude from MIT in 1934). He is contemplating his former colleagues' laughter at his formula, which is described as "ZaAt" (read Z-sub-A, A-sub-T, but which he simply calls "Zaat"). His formula can turn a man into a walking catfish. He injects himself with the serum and emerges from a tank as a giant fish-like creature.
La première scène consiste en une assemblée générale étudiante. Chacun expose ses arguments selon la méthode à utiliser, au-milieu de trois leaders: une fille avec les cheveux bouclés, un noir-américain et un brun aux cheveux lisses. L'occupation de la fac est décidée et la lutte armée est la solution qui se dégage, mais on n'a pas le temps de voir l'assemblée jusqu'au bout. Un jeune homme, Mark, se lève et déclare « Je suis prêt à mourir pour la révolution, mais je ne suis pas prêt à mourir d'ennui ». Cela suscite l'indignation dans l'assistance, qui pense qu'on ne peut arriver à rien sans parler et former des groupes.
Deux gangs créent le chaos dans la ville. La police cherche la meilleure façon de procéder pour stopper les affrontements répétés. Pourtant les deux chefs de gang Suraj et Lala ont été bons amis autrefois. Mais Lala crois que sa femme l’a trompé avec Suraj et que celui-ci est responsable de sa mort.
Au coucher du soleil, dans les rues de la vieille ville, les clubs de Zanzibar bourdonnent des sons enlevés de Taarab, la musique de Zanzibar, dont le style reflète deux millénaires d’échanges culturels et la place de l’île au carrefour de la route des épices. Vecteurs de l’identité culturelle et tradition vivante, les concerts de Taarab sont intrinsèquement liés à la vie quotidienne autant qu’aux cérémonies de l’île. Ses rythmes doux accompagnent l’auditeur à chaque étape de sa vie, des moments les plus sombres aux plus joyeux.
Anis Mohamed Youssef Ferchichi, alias Bushido, rappeur ayant du succès, est en tournée en Allemagne lorsqu'il reçoit une carte postale de son père. Les souvenirs de sa vie difficile remontent. Mais c'est le moment d'aller sur scène.
Sir Richard Francis Burton est toujours en vie et est devenu le taxidermiste du Musée d'histoire naturelle. Il veut capturer Patient Zero pour sa « galerie de la contagion ». Ce dénommé Zero serait le premier porteur du sida à avoir amené la maladie en Amérique du Nord.
Florenz Ziegfeld (William Powell), au paradis, veut faire revivre ses grands spectacles de music-hall. S'ensuit, sortie de son esprit, une série de sketches musicaux ou humoristiques mettant en scène diverses vedettes.
Le 3 juillet 1973, au Hammersmith Odeon de Londres. Dans les loges, David Bowie se métamorphose une dernière fois en Ziggy Stardust, ange sexy, androgyne futuriste, diva kitsch dont les jambes nues font grimper les jeunes filles (et les autres) au rideau. Sur scène, la star la plus glam enchaîne ses standards : "Space Oddity", "Suffragette City", "Rock'n'roll Suicide"… Il changera trois fois de parure au cours de la soirée, son guitariste Mick Ronson (avec qui il mimera quelques scènes de luttes sado-maso) maintenant la salle à température ambiante pendant que l'artiste disparaît en coulisses.