Après avoir été mis K.O. par Cassius Clay, le boxeur poids lourd Louis Rivera doit raccrocher aux gants en raison d'une grave blessure à l'œil. Aidé de son soigneur Army, il se lance à la recherche d'un travail. Il rencontre alors une assistante sociale qui se prend d'affection pour lui et qui lui propose de devenir moniteur dans un camp de vacances. Mais la situation s'avère difficile lorsque son entraîneur, qui est criblé de dettes, le pousse à se convertir en catcheur...
À la suite de la mort de son adversaire au cours d'un combat, le boxeur Sean Thornton décide d'abandonner sa carrière en Amérique et de regagner son Irlande natale pour s'y installer et couler des jours paisibles. Il s'attire pourtant rapidement l'animosité de Will "Red" Danaher, en rachetant le cottage que ce dernier convoitait. Les rapports amoureux que vont nouer Sean et Mary Kate, la sœur de Will, ne vont rien arranger.
Dans un stade couvert où se déroule un combat de boxe, le « castagneur » (« Battling McGook », selon le commentateur du match dans la version originale) est le champion incontesté. Son adversaire (nommé originellement « Dyspectic McBlaster ») se fait mettre KO rapidement. Le castagneur le relève pour le cogner à nouveau, d'abord sur le haut de la tête, puis il s'en sert comme d'un punching-ball. On entend les protestations de Bugs Bunny, qui crie depuis son terrier situé très loin, accusant le champion de ne se battre que contre des minus. Mais le boxeur se retrouve juste derrière lui. Il défie le lapin apeuré, qui n'a pas le temps de refuser : en un seul lancé, le boxeur le propulse jusque sur un coin du ring en le faisant traverser la porte d'entrée ouverte du stade. Le champion fait alors face au lapin et l'impressionne en contractant ses muscles : ceux-ci se gonflent l'un après l'autre, jusqu'aux biceps qui « poussent » l'un sur l'autre. Bugs, lui, arrive difficilement à faire apparaître une petite bosse sur chacun de ses bras. Bugs fait une démonstration de ses talents de boxeur, mais le « castagneur » l'envoie bouler sur un poteau d'un seul coup direct. Bugs recommence deux fois la manœuvre, mais il se retrouve battu de la même façon. Il change de stratégie : il se laisse tomber et fait le mort devant le champion... qui se penche sur lui et prend les deux poings de Bugs dans la figure. Le round suivant, Bugs se « repose » dans le coin du ring en lisant confortablement dans un fauteuil avec tous les accessoires, alors que son adversaire maçonne un gant de boxe en briques autour de son poignet. Bugs reçoit le coup d'une brutalité si extrême qu'il lui compresse la face. Le commentateur commence à compter les secondes du KO final pour le lapin, qui se prélasse couché sur le sol. Le lapin prend soudain la relève du commentateur au micro et fait croire que c'est le champion qui est accablé de coups. Ce dernier, d'ailleurs, le croit en se battant contre un lapin imaginaire, mais il finit par comprendre son erreur. Il revient furieux vers le lapin, qui fait de même. Bugs s'empare du champion et le fait tournoyer au-dessus de lui, mais trop lourd, il se fait aplatir. Bugs « se décolle » à la manière d'un autocollant, puis, façon catch, il s'attaque à une jambe du boxeur à terre. Il n'arrive cependant même pas à la bouger alors que le boxeur joue distraitement aux cartes. Bugs fait croire néanmoins qu'il a réussi à lui casser la jambe en brisant un bout de bois. Le champion, convaincu d'être blessé, saute en hurlant tout en se tenant le pied et appelle un docteur. Bugs revient déguisé. Sous prétexte de soigner sa jambe, il le couvre entièrement de bandes comme une momie. Le faux docteur envoie ensuite son poing tournoyant dans la figure, qui fait valser son adversaire aux 4 coins du ring comme une boule de flipper, qui allume un panneau « tilt ».
À la fin des années 1950, Rubin Carter, boxeur de talent, est condamné à la perpétuité pour un triple meurtre qu'il n'a pas commis. Décidé à faire connaitre sa vérité, il décide de publier son autobiographie. Malheureusement pour lui, sa situation n'évolue pas. Des années plus tard, un adolescent, convaincu de son innocence, décide de se battre à ses côtés pour lui rendre sa liberté.
En 1998, Adonis Johnson est détenu dans un centre de détention pour mineurs. Il n'a jamais connu son père, le célèbre boxeur champion du monde poids lourd Apollo Creed, décédé avant sa naissance au cours d'un match d'exhibition. Pourtant, Adonis a la boxe dans le sang et rencontre la femme de son père, Mary Anne Creed, qui lui propose de venir habiter chez elle, ce qu'Adonis accepte.
Jim Corbett, américain d'origine irlandaise, veut s'élever dans la société. Ses moyens : devenir champion du monde de boxe, conquérir la fille de son patron (banquier respectable de la nouvelle bourgeoisie de San Francisco) et être un grand acteur shakespearien. Cela paraît trop, mais son optimisme, la croyance en ses moyens ainsi que son talent le feront triompher de tout. Suprême victoire : il aura appris la modestie (ce qui lui ouvrira le cœur d'Alexis Smith) : voir la scène où Sullivan, le champion sortant et battu, lui remet sa ceinture. Corbett, devenu humble, lui rendra le plus beau des hommages.
Joë, un boxeur, meurt dans un accident d'avion. Mais dans l'au-delà, sa mort n'était pas prévue. On le réincarne dans la peau d'un banquier véreux. Mais Joë est honnête et voudrait bien continuer sa carrière de boxeur et affronter le champion Murdock...
À la veille d'un match truqué, le boxeur Charlie Davis est assailli par le souvenir d'un certain "Ben". Troublé, il se rend chez sa mère qui le repousse puis visite une chanteuse de cabaret. Dans le vestiaire, toujours sous le choc, il tente de recouvrer ses esprits et repasse en revue sa carrière.
Struggling boxing manager Moe is having lunch with several associates when he notices their shy waiter (Curly) goes into a violent fugue whenever he hears the song "Pop Goes the Weasel". Moe also takes notice of a fiddler (Larry) who happens to be playing the potent tune at the restaurant. Seeing dollar signs in the uncontrollable waiter, Moe quickly recruits the two unsuspecting cohorts and preps them for the boxing world. Curly's boxing handle becomes "K.O. Stradivarius", and with Larry in tow—playing "Pop Goes the Weasel" at every boxing match, Curly becomes the number one contender for the heavyweight championship.
Belarmino comprises two strands: an experiential and an interview strand, and constantly alternates between the two. Although these are carefully intertwined on both the sound and image track, they can be separated for ease of discussion.
Eddie Willis, journaliste sportif au chômage, accepte l'offre de Benko, un manager de boxe corrompu, pour monter une combine qui les rendra riches. Ils profitent de la naïveté de Toro Moreno, un boxeur lourd et pataud, pour abuser du public auquel ils le présentent comme une force de la nature. Match après match, Toro écrase ses adversaires et gagne la sympathie du public qui, comme lui, ignore que chaque rencontre est truquée. Après avoir accepté toutes les compromissions, Eddie finira par écrire un article sur le racket dans le milieu de la boxe.