Le Pakistan des années 1960 est divisé en deux, séparé par les 3 000 km de l'Inde. Le pays connaît une montée des tensions religieuses et séparatistes. Anou, 12 ans, issu d'un petit village, est envoyé par son père autoritaire et dévot dans une madrassa, une école coranique, où il se lie d'amitié avec Rokoun, souffre-douleur de ses autres camarades de classe.
The film makes note of how the invasion of Iraq lasted 800 hours but produced over 20,000 hours of video, and focuses initially on the Vietnam War as the first war ever televised "live". During this war the American government allowed reporters onto the battlefield with little supervision or control. The documentary follows the way The Pentagon learned from this experience to control access by journalists to battle areas in subsequent wars, through the Invasion of Grenada (where journalists were excluded completely) to the first Gulf War, where news packages were provided by the military, to the embedded journalism of the Iraq War. The theme of the film is the progressive tightening of control by the US military on the contact journalists have with soldiers and civilians in the war zone, in order that (as the film says at the end) "never again will television raise the moral and political questions that face a people at war.
Léon (Jean Reno) est un tueur à gages solitaire et taciturne. Il vit à New York. Ses contrats viennent d'un mafieux nommé Tony (Danny Aiello) qui opère depuis son restaurant le « Supreme Macaroni ». Léon habite aux environs de son donneur d'ordres, dans un immeuble ancien et vétuste de la Little Italy. Léon passe son temps libre à faire des exercices physiques, prendre soin de sa plante d'intérieur (une Aglaonema) qu'il décrit comme sa « meilleure amie », et regarder des comédies musicales de Gene Kelly.
Conçue le 3 septembre 1973, à 18 h 28 min 32 s, de la fécondation d'un ovocyte de M Amandine Poulain, née Fouet, par un spermatozoïde de M. Raphaël Poulain, Amélie Poulain est une petite fille qui passe son enfance à Enghien-les-Bains.
Première époque : Paris, 1828. Dans la foule présente sur le boulevard du Crime, le mime Baptiste Deburau, par son témoignage muet, sauve Garance d'une injuste accusation de vol. Celle-ci, femme libre et audacieuse, intimide Baptiste qui n'ose pas lui déclarer son amour. Baptiste est lui-même aimé discrètement de Nathalie, la fille du directeur du Théâtre des Funambules, où il joue la pantomime. Séduite sur le boulevard par un jeune acteur prometteur, Frédérick Lemaître, Garance a une brève liaison avec lui tout en demeurant secrètement éprise de Baptiste.
Cette version demeure encore de nos jours une version de référence parmi les dizaines réalisées au cinéma et à la télévision. La première raison en est que c'est probablement la plus longue (environ 4 h 30) et donc de ce fait la plus fidèle aux foisonnements du roman. La deuxième est la qualité de l'interprétation, qui dépasse les modes et les générations : peu de Jean Valjean ont la stature et la crédibilité d'Harry Baur, mais les autres têtes d'affiches ont été dirigées avec les mêmes exigences. Charles Dullin et Marguerite Moreno composent un couple Thénardier d'anthologie. Max Dearly, en vieux bourgeois royaliste à perruque, Émile Genevois, gamin de Paris d'un naturel incroyable et Jean Servais, Marius romantique, sont tout aussi excellents. Raymond Bernard, également co-adaptateur, a disposé de moyens très importants, qui donnent une ampleur rare dans le cinéma français aux scènes révolutionnaires du 3e film.
Marelle part à la recherche de son mari Daniel, disparu alors qu'il était allé en pèlerinage dans sa maison d'enfance, dans le Gers. Elle retrouve la maison, s'y installe, rencontre un libraire sur les traces lui aussi de Daniel. En découvrant des photos et un journal intime, Marelle va trouver la vérité mais il lui restera à subir une dernière épreuve dans la caverne, à l'endroit même où Daniel, lié par un serment, est revenu mourir vingt après la mort de sa petite amie.
Il s'agit de cinquante entretiens de Charles Bukowski réalisés par Barbet Schroeder durant la préparation du film Barfly qu'il réalise à partir d'un scénario de Bukowski.
Le film montre Ari Vatanen, pilotant la Peugeot 405 T16, battant le record de chronométrage sur les pistes poussiéreuses du pic Pikes. Produit pour PSA en vue d'utilisation publicitaire, c'est un des films les plus connus et appréciés sur l'impressionnante « plus haute course de côte du monde ». Il a d'ailleurs reçu plusieurs récompenses.
Les images, prises de différents points de l'auto avec des caméras embarquées et d'hélicoptère, montrent l'ascension de la 405, se dérobant, glissant à ras de précipice (la piste, en terre, n'étant pas équipée de barrière de sécurité) dans les épingles glissantes du pic. Il met parfaitement en valeur les conditions de course, la puissance de la voiture (500 ch), ainsi que le talent du pilote.
Ce téléfilm traite des dernières années de la guerre d'Algérie. Le réalisateur met en évidence au sein d'une même famille les différents points de vue des pieds noirs sur le déroulement des évènements.
Dans l’Italie d’après-guerre, celle de la reconstruction et de la ré-industrialisation, l’innocence, la naïveté et les traditions méridionales se heurtent à la réalité des temps modernes et de la vie urbaine.