Cinq jeunes gens, apparemment tous de bonnes familles, déjeunent dans un grand salon, servis par deux domestiques. Au-dessus de la cheminée, un portrait de femme que l’hôte désigne comme étant celui de sa mère. La table ayant été dressée pour six personnes, il explique à ses amis qu’il a imaginé, pour les divertir, d’inviter le premier passant qui acceptera de venir partager avec eux leur repas. Rires d'acquiescement. L’un des jeunes disparaît quelques secondes puis revient, tirant par le bras un pauvre vieillard qui proteste et veut repartir. Mais tous s’y mettent et le vieil homme est assis de force, débarrassé de son chapeau, et accepte finalement de trinquer avec eux. Un intertitre (carton noir) sert d’ellipse temporelle et indique qu’après le repas, l’heure est venue des bonnes histoires. L’un des jeunes termine une plaisanterie qui fait rire toute la table. On presse l’invité surprise à raconter une histoire de son cru. Un carton indique qu’il leur annonce le récit de sa vie.
De retour chez lui, après une soirée passée à perdre au poker, George Brown jure d'arrêter définitivement les jeux d'argent. Son ami Bigelow le convainc cependant de continuer à jouer secrètement au poker toutes les semaines, en disant à sa femme Mary qu'il a été admis aux « Sons of the Morning » (traduit littéralement en « Fils de la matinée »), une loge fraternelle, pour expliquer ses absences. Lorsque George parle dans son sommeil, celle-ci devient méfiante et le fait suivre par son cousin Freddie Dewdrop, ce qui lui permet d'apprendre la vérité. Avec les épouses des autres joueurs de poker, elle élabore un plan pour mettre fin au jeu. Freddie et les membres d'un groupe biblique auquel il appartient se déguisent alors en policiers et font une descente dans le tripot où se trouve George. Les épouses des parieurs arrivent ensuite ; la police laisse les hommes se faire gronder au lieu de les arrêter. Le film se termine par la réconciliation des Brown.
As a 30-minute silent production (some sources state 20 minutes), the film has to significantly compact and truncate the story of the 900 plus page novel. Many characters are not directly identified by name, but would be familiar to those with knowledge of the novel.