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Sarah Bernhardt est une Actrice et Scénariste Française née le 23 octobre 1844 à Paris (France)

Sarah Bernhardt

Sarah Bernhardt
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Nom de naissance Sara Marie Henriette Bernhardt
Nationalité France
Naissance 23 octobre 1844 à Paris (France)
Mort 26 mars 1923 (à 78 ans) à Paris (France)
Récompenses Officier de la Légion d'honneur, Ordre national de la Légion d'honneur

Sara Marie Henriette Bernhardt dite Sarah Bernhardt est une actrice française, née à Paris le 22 ou 23 octobre 1844 et morte dans la même ville le 26 mars 1923. Elle est considérée comme une des plus importantes actrices françaises du XIX siècle et du début du XX siècle.

Appelée par Victor Hugo « la Voix d'or », mais aussi par d'autres « la Divine » ou encore « l'Impératrice du théâtre », elle est considérée comme une des plus grandes tragédiennes françaises du XIX siècle. Première « star » internationale, elle est la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant pour elle l'expression de « monstre sacré ».

Biographie

Naissance


La mère de Sarah, Judith-Julie Bernardt (1821-1876), modiste sans le sou et fille d'un marchand de spectacles néerlandais itinérant, était une courtisane parisienne connue sous le nom de « Youle ». On ignore qui était son père, Sarah ayant toujours gardé le silence sur son identité. Les noms d'Édouard Bernhardt, juriste français, ou de Paul Morel, officier de marine, sont les plus couramment proposés.

Du fait de la destruction des archives de l'état civil lors de la répression de la Commune de Paris, la date de naissance de Sarah Bernhardt est incertaine et débattue. Si ses biographes donnent habituellement les dates 22 ou 23 octobre 1844, certains proposent juillet ou septembre 1844, voire 1843 ou même 1841.

En outre, pour faciliter les démarches d'obtention de la Légion d'honneur et prouver la nationalité française de l'actrice, un acte de naissance rétrospectif est établi par décision de justice le 23 janvier 1914, sur base d'un certificat de baptême produit par Sarah Bernhardt, bien que la falsification de celui-ci n'ait trompé personne, y compris les magistrats. Le document est ainsi daté du 25 septembre 1844 et affecté aux registres du 15e arrondissement. Elle s'y déclare fille de Judith van Hard et d'Édouard Bernardt, un père qui, selon ses différentes versions, appartenait à une riche famille d'armateurs du Havre, ou y était un étudiant en droit. Certaines sources évoquent un officier de marine havrais, du nom de Morel. Mais son père reste inconnu.

De même, le lieu de sa naissance n'est pas plus sûrement établi : une plaque mentionnant sa naissance (le 25 octobre 1844) est apposée au n 5 de la rue de l'École-de-Médecine (anc. 11e), on évoque également la rue Saint-Honoré — au 32 ou au 265 — ou encore le 22 de la rue de La Michodière (2e).

Ses prénoms — Henriette-Marie-Sarah — sont également parfois présentés dans un ordre différent selon les sources, certaines indiquant « Sarah-Marie-Henriette » ou encore « Henriette-Rosine Bernard », suivant le nom qu'elle avait donné lors de son inscription au Conservatoire, « Rosine (dite Sarah) ».

Une certaine inclination de l'actrice à l’affabulation concernant sa vie n'a pas aidé à démêler l'écheveau.


Enfance
Sarah Bernhardt eut au moins trois sœurs et souffrit en particulier longtemps de la préférence de sa mère pour sa jeune sœur Jeanne-Rosine, également comédienne. Délaissée par Youle qui choisit la vie mondaine à Paris, elle passe une petite enfance solitaire chez une nourrice à Quimperlé où elle ne parle que le breton. Le duc de Morny, l'amant de sa tante, pourvoit à son éducation en l'inscrivant dans l’institution de M Fressard puis en 1853 au couvent des Grand-Champs à Versailles. Elle y devient mystique catholique. Elle y joue son premier rôle, un ange dans un spectacle religieux. Elle reçoit le baptême chrétien en 1857 et envisage de devenir religieuse.

C'est alors que son nom aurait été francisé en « Bernard » et qu'elle quitte vers quatorze ans la vie monacale et passe le concours du Conservatoire où elle est reçue. « Tout le monde m'avait donné des conseils. Personne ne m'avait donné un conseil. On n'avait pas songé à me prendre un professeur pour me préparer ».

Elle prend aussi des leçons d'escrime, dont elle tirera profit dans ses rôles masculins comme Hamlet.


Débuts et engagement à la Comédie-Française


Elle entre en 1859 au Conservatoire d'Art dramatique de Paris sur la recommandation du duc de Morny dans la classe de Jean-Baptiste Provost. Sortie en 1862 avec un second prix de comédie, elle entre à la Comédie-Française mais en est renvoyée en 1866 pour avoir giflé une sociétaire, M Nathalie, celle-ci ayant elle-même violemment bousculé sa sœur qui avait marché sur sa traîne.

À cette époque, la police des mœurs compte Sarah parmi 415 « dames galantes » soupçonnées de prostitution clandestine.

Elle signe un contrat avec l'Odéon. Elle y est révélée en jouant Le Passant de François Coppée en 1869. En 1870, pendant le siège de Paris, elle transforme le théâtre en hôpital militaire et y soigne le futur maréchal Foch qu'elle retrouvera quarante-cinq ans plus tard sur le front de la Meuse, pendant la Première Guerre mondiale. Elle triomphe dans le rôle de la Reine de Ruy Blas en 1872, ce qui la fait surnommer la « Voix d'or » par l'auteur de la pièce, Victor Hugo, à l'occasion d'un banquet organisé pour la centième représentation. Ce succès lui vaut d'être rappelée par la Comédie-Française où elle joue dans Phèdre en 1874 et dans Hernani en 1877.

Avec le succès, les surnoms élogieux se multiplieront : « la Divine », l'« Impératrice du théâtre »…


Consécration et indépendance


En 1880, elle démissionne avec éclat du « Français », devant lui payer cent mille francs-or en dommages et intérêts pour rupture abusive de contrat. Elle crée sa propre compagnie avec laquelle elle part jouer et faire fortune à l'étranger jusqu'en 1917. Première « star » internationale, elle est la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant pour elle l'expression de « monstre sacré ». Dès 1881, à l'occasion d'une tournée de Bernhardt en Russie, Anton Tchekhov, alors chroniqueur au journal moscovite Le Spectateur décrit malicieusement « celle qui a visité les deux pôles, qui de sa traîne a balayé de long en large les cinq continents, qui a traversé les océans, qui plus d'une fois s'est élevée jusqu'aux cieux », brocarde l'hystérie des journalistes « qui ne boivent plus, ne mangent plus mais courent » après celle qui est devenue « une idée fixe (sic) ».

Elle interprète à plusieurs reprises des rôles d'homme (Hamlet, Pelléas), inspirant à Edmond Rostand sa pièce L'Aiglon en 1900. Elle se produit à Londres, à Copenhague, aux États-Unis (1880-1881) où elle affrète un train Pullman pour sa troupe et ses 8 tonnes de malles, et en Russie, notamment au théâtre Michel de Saint-Pétersbourg (en 1881, 1892 et 1908). Son lyrisme et sa diction emphatique enthousiasment tous les publics. Afin de promouvoir son spectacle, elle rencontre Thomas Edison à New York et y enregistre sur cylindre une lecture de Phèdre. Elle devient l'un des très rares artistes français à avoir son étoile sur le Hollywood Walk of Fame à Los Angeles.

Proche d'Oscar Wilde, elle lui commande la pièce Salomé, dont elle interprète le rôle-titre, en 1892. À partir de 1893, elle prend la direction du théâtre de la Renaissance où elle remonte quelques-uns de ses plus grands succès (Phèdre, La Dame aux camélias) mais crée aussi de nombreuses pièces comme Gismonda de Victorien Sardou, La Princesse lointaine d'Edmond Rostand, Les Amants de Maurice Donnay, La Ville morte de Gabriele D'Annunzio et Lorenzaccio d'Alfred de Musset (inédit à la scène), puis, en 1899, du théâtre des Nations qu'elle rebaptise « théâtre Sarah-Bernhardt » et où elle crée entre autres L'Aiglon de Rostand et reprend La Tosca de Sardou. Elle apporte son soutien à Émile Zola au moment de l’affaire Dreyfus, elle soutient Louise Michel et prend position contre la peine de mort.

Le 9 décembre 1896, une « journée Sarah Bernhardt » est organisée à la gloire de l'actrice par Catulle Mendès et d'autres sommités de l'art : Edmond Rostand, Antonio de La Gandara qui fit d'elle plusieurs portraits, Jean Dara, José-Maria de Heredia, Carolus-Duran. Le Tout-Paris s'y presse : un repas de cinq-cents convives au Grand Hôtel précède un gala au théâtre de la Renaissance — qu'elle dirige alors — où l'actrice se rend accompagnée de deux cents coupés et où l'on peut entendre entre autres hommages un Hymne à Sarah composé par Gabriel Pierné sur des paroles d'Armand Silvestre et interprété par l'orchestre Colonne.

Ayant compris l'importance de la réclame, elle met en scène chaque minute de sa vie et n'hésite pas à associer son nom à la promotion des produits de consommation. Son style et sa silhouette inspirent la mode, les arts décoratifs mais aussi l’esthétique de l’Art nouveau. Elle fait elle-même appel au peintre Alfons Mucha pour dessiner ses affiches à partir de décembre 1894. Ces six années de collaboration donnent un second souffle à sa carrière. Tuberculeuse comme sa sœur Régina qui en meurt en 1874, elle développe une certaine morbidité en se reposant régulièrement dans un cercueil capitonné qui trône chez elle. Devant le scandale suscité, elle s'y fait photographier par un opérateur du studio Melandri pour en vendre des photos et cartes postales.

En 1905, lors d'une tournée au Canada, le Premier ministre Wilfrid Laurier l'accueille à Québec ; mais l’archevêque Louis-Nazaire Bégin, détestant le théâtre et reprochant à l'actrice un jeu du corps nouveau pouvant être qualifié d'érotique, demande à ses paroissiens de boycotter la représentation et l’actrice, habituée aux foules, se produit devant une salle en partie vide.

Après avoir joué dans plus de 120 spectacles, Sarah Bernhardt devient actrice de cinéma. Son premier film est Le Duel d'Hamlet réalisé en 1900. C'est un des premiers essais de cinéma parlant avec le procédé du Phono-Cinéma-Théâtre, où un phonographe à cylindre synchronisait plus ou moins la voix de l'actrice aux images projetées. Elle tournera d'autres films — muets — dont deux œuvres autobiographiques, la dernière étant Sarah Bernhardt à Belle-Île en 1912, qui décrit sa vie quotidienne.


Dernières années

En 1914, le ministre René Viviani lui remet la croix de chevalier de la Légion d'honneur, pour avoir, en tant que comédienne, « répandu la langue française dans le monde entier » et pour ses services d'infirmière pendant la guerre franco-prussienne de 1870-1871.

Sarah Bernhardt est amputée de la jambe droite en 1915, à l'âge de 70 ans, en raison d'une tuberculose osseuse du genou. Les premiers symptômes remontent à 1887, lorsqu’elle se blesse au genou sur le pont d'un bateau qui la ramène d'une tournée aux Amériques. Cette première luxation, non soignée, s’aggrave en 1887, lors des sauts répétés du parapet dans le final de La Tosca, la comédienne ayant chuté à de nombreuses reprises sur les genoux, puis en 1890 à la suite d'une nouvelle blessure contractée lors d'une représentation du Procès de Jeanne d'Arc au théâtre de la Porte-Saint-Martin. En 1902, lors d’une tournée, un professeur de Berlin diagnostique une tuberculose ostéo-articulaire et prescrit une immobilisation de six mois que l’actrice ne peut se résoudre à suivre. Elle se contente de séances d'infiltrations et, en 1914, d'une cure à Dax, d'ailleurs sans effet.

En septembre 1914, craignant que Sarah Bernhardt ne soit prise en otage, lors d’une éventuelle avancée allemande sur Paris, le ministère de la Guerre conseille à l’actrice de s’éloigner de la capitale. Henri Cain, un de ses proches dont la femme, Julia Guiraudon, est fille d’un ostréiculteur de Biganos, lui recommande de séjourner sur le Bassin d’Arcachon, où lui et son épouse louent une villa à Andernos-les-Bains. Elle arrête son choix sur la villa « Eurêka », où elle s'installe de septembre 1914 à octobre 1915.

Plâtré durant 6 mois, son genou développe une gangrène. Son médecin et ancien amant, Samuel Pozzi, que Sarah surnomme « Docteur Dieu », ne peut se résoudre à pratiquer lui-même l'opération et sollicite le concours du professeur Jean-Henri Maurice Denucé, désormais chirurgien à Bordeaux. L'actrice est amputée au-dessus du genou le 22 février 1915 à la clinique Saint-Augustin de Bordeaux. Sarah revient en convalescence à Andernos en mars 1915. Elle participe à une manifestation patriotique le 10 août 1915 où elle lit deux poèmes puis quitte définitivement Andernos en octobre 1915. Elle va à Reims, « la ville où il faut être vu », le 9 septembre 1916 et joue le rôle d'une infirmière devant la cathédrale martyre.

Cela ne l'empêche pas de continuer à jouer assise (elle refuse de porter une jambe en bois ou une prothèse en celluloïd), ni de rendre visite aux poilus au front en chaise à porteurs, lui valant le surnom de « Mère La Chaise ». Elle ne s'épanche jamais sur son infirmité, sauf pour rire : « Je fais la pintade ! ». Son refus des faux-semblants n'a pas été jusqu'à lui faire négliger la chirurgie esthétique. En 1912, elle demande au chirurgien américain Charles Miller un lifting, technique alors débutante, dont les résultats seront corrigés par Suzanne Noël.

Alors qu'elle est en train de tourner un film pour Sacha Guitry, La Voyante, elle meurt « d'une insuffisance rénale aiguë » le 26 mars 1923, au 56 boulevard Pereire (17e arr.), en présence de son fils. Le gouvernement lui organise des obsèques nationales, faisant d'elle la première femme à recevoir un tel honneur en France. Elle est enterrée à Paris au cimetière du Père-Lachaise (division 44).

Le plus souvent avec

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Filmographie de Sarah Bernhardt (14 films)

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Actrice

Qui suis-je, 1h45
Réalisé par Baran bo Odar
Origine Allemagne
Genres Thriller
Thèmes Informatique, Sécurité informatique
Acteurs Tom Schilling, Elyas M'Barek, Wotan Wilke Möhring, Trine Dyrholm, Hannah Herzsprung, Stephan Kampwirth
Rôle Maries friend (rumored)
Note74% 3.702073.702073.702073.702073.70207
Benjamin Engel, un pirate informatique de Berlin, est assis dans une salle d'interrogatoire. L’officier en charge dit à Hanne Lindberg, chef de la division Cyber d’Europol, que Benjamin avait demandé à subir l’interrogatoire. Benjamin affirme avoir des informations sur FRI3NDS, un groupe de pirate informatique notoire de quatre membres connecté à la cyber-mafia russe, et sur MRX, une figure célèbre sur le Darknet. II réclame l'attention de Hanne avant de dévoiler ses informations.
L'homme au chapeau de soie
Réalisé par Maud Linder
Origine France
Genres Documentaire
Acteurs Max Linder, Maud Linder, Sarah Bernhardt, Coquelin aîné
Note72% 3.6004753.6004753.6004753.6004753.600475
La fille de Max Linder retrace sa vie et son oeuvre au cours de ce film.
Paris 1900
Paris 1900 (1948)
, 1h22
Réalisé par Nicole Védrès
Origine France
Genres Documentaire, Historique
Thèmes Documentaire historique, Documentaire sur les villes
Acteurs Claude Dauphin, Monty Woolley, Mistinguett, Sarah Bernhardt, René Alexandre, Maurice Chevalier
Rôle Self (archive footage)
Note69% 3.489843.489843.489843.489843.48984
Le documentaire retrace la vie à Paris entre 1900 et 1914. Ce film a utilisé de vrais documents d'époque, et des extraits de plus de sept cents films d'actualités, de reportages, mais aussi des séquences privées. Le montage et le texte qui accompagne les images ont été appréciés par la critique : ce film est devenu une référence.
La Voyante
La Voyante (1924)

Origine France
Genres Drame
Acteurs Sarah Bernhardt, Georges Melchior, Harry Baur, Lili Damita, Mary Marquet, Jean-François Martial
Rôle Madame Gainard
Note61% 3.07433.07433.07433.07433.0743
Jean Detaille est le fils d'un homme politique qui le trouve trop familier avec sa belle-mère. Son père le jette à la rue à la suite d'une méprise causée par son arrivée inopinée dans la pièce, alors que le jeune homme se penchait pour tourner la page d'une partition pendant que sa belle-mère jouait du piano. Abasourdi, Jean se fait attaquer dans la rue. André Reynaud, qui est peintre, le sauve et le recueille chez lui. Dans le même immeuble réside une vieille voyante, Madame Gainard, surnommée « la sorcière ». La belle-mère de Jean, dans l'espoir de le retrouver, consulte la vieille femme qui résoudra finalement les problèmes de tous les personnages : Jean épouse sa petite amie Suzanne qui se trouve être la fille de Madame Gainard, et le père règle également ses problèmes politiques.
Ceux de chez-nous
Réalisé par Sacha Guitry
Genres Documentaire
Acteurs André Antoine, Sarah Bernhardt, Claude Renoir, Jean Renoir
Rôle Self
Note75% 3.766763.766763.766763.766763.76676
« Je rêvais d'une encyclopédie nouvelle... ». Sacha Guitry a réuni, « selon ses goûts » les plus grandes personnalités de son temps. Il les filme « dans leurs attitudes les plus familières, c'est-à-dire au travail, chaque fois que cela fut possible ». On y voit André Antoine, Sarah Bernhardt, Edgar Degas, Henri Desfontaines, Jane Faber, Anatole France, Lucien Guitry, Octave Mirbeau, Claude Monet, Auguste Renoir avec à ses côtés son jeune fils Claude Renoir, Henri-Robert, Auguste Rodin, Edmond Rostand, Camille Saint-Saëns. La version muette de 1915 durait 22 minutes. Elle était destinée à être projetée accompagnée d'une « causerie familiale faite par l'auteur, avec le concours de Charlotte Lysès ». En 1939, Guitry en fit une version sonorisée, avec commentaire, dans laquelle il ajouta les plans de son père Lucien Guitry qui ne figuraient pas dans la version de 1915. La version finale remaniée, en 1952, dure 44 minutes, avec des plans de Guitry dans son bureau, qui présente et qui commente, tournés par Frédéric Rossif.
Adrienne Lecouvreur
Réalisé par Henri Desfontaines, Louis Gasnier, Louis Mercanton
Origine France
Genres Drame, Historique
Thèmes Théâtre, Adaptation d'une pièce de théâtre
Acteurs Sarah Bernhardt, Max Maxudian, Henri Desfontaines, Lou Tellegen
Rôle Adrienne Lecouvreur
Note62% 3.127473.127473.127473.127473.12747
Les amours tragiques d'Adrienne Lecouvreur, célèbre comédienne du XVIIIe siècle, avec Maurice de Saxe.
Le duel d'Hamlet, 2minutes
Origine France
Genres Drame
Thèmes La famille, Théâtre, Politique, Adaptation d'une pièce de théâtre, Adaptation d'une pièce de théâtre de William Shakespeare, Royauté
Acteurs Sarah Bernhardt, Pierre Magnier
Rôle Hamlet
Note53% 2.6716752.6716752.6716752.6716752.671675
Le film se compose uniquement d'un combat de sabre. Sarah Bernhardt joue Hamlet (rôle de l'autre sexe), et Pierre Magnier est son compatriote duelliste, Laërte. Quelques passants, en robe Renaissance, sont témoin de la scéne.

Scénariste

Adrienne Lecouvreur
Réalisé par Henri Desfontaines, Louis Gasnier, Louis Mercanton
Origine France
Genres Drame, Historique
Thèmes Théâtre, Adaptation d'une pièce de théâtre
Acteurs Sarah Bernhardt, Max Maxudian, Henri Desfontaines, Lou Tellegen
Rôle Ecrivain
Note62% 3.127473.127473.127473.127473.12747
Les amours tragiques d'Adrienne Lecouvreur, célèbre comédienne du XVIIIe siècle, avec Maurice de Saxe.