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Sacha Guitry est un Acteur, Réalisateur, Scénariste et Producteur Français né le 20 février 1885 à Saint-Pétersbourg (Russie)

Sacha Guitry

Sacha Guitry
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Nom de naissance Alexandre Georges Pierre Guitry
Nationalité France
Naissance 20 février 1885 à Saint-Pétersbourg (Russie)
Mort 24 juillet 1957 (à 72 ans) à Paris (France)
Récompenses Chevalier de la Légion d'honneur‎, Commandeur de la Légion d'honneur‎, Officier de la Légion d'honneur, Commandeur de l'ordre de Saint-Charles

Alexandre Guitry, dit Sacha Guitry, est un dramaturge, acteur, metteur en scène, réalisateur et scénariste français, né le 21 février 1885 à Saint-Pétersbourg (Russie) et mort le 24 juillet 1957 à Paris (7e).

Auteur dramatique prolifique, il a écrit 124 pièces de théâtre, dont beaucoup furent de grands succès. Il a également réalisé trente-six films (dont dix-sept adaptations de ses pièces), jouant dans la quasi-totalité d'entre eux, notamment Le Roman d'un tricheur, Désiré, Mon père avait raison, Quadrille, Ils étaient neuf célibataires, Si Versailles m'était conté...

Biographie

Jeunesse
Alexandre dit « Sacha » Guitry est le fils du comédien Lucien Guitry (1860-1925) et de Renée Delmas (1858-1902), fille du journaliste René Delmas de Pont-Jest, qui s'est essayée elle aussi au théâtre. Il est le troisième d'une fratrie de quatre garçons. Deux mourront au berceau (l'aîné en 1883, le benjamin en 1887). Le cadet, Jean, né en 1884 à Saint-Pétersbourg, deviendra comédien et journaliste avant de périr dans un accident d'automobile en 1920.

Comme ses deux aînés, Alexandre naît dans la capitale de l'Empire russe, où son père a signé un contrat de neuf ans avec le théâtre Michel pour la saison d'hiver. Il doit son prénom de baptême à son parrain le tsar Alexandre III qui appréciait le talent de Lucien Guitry.

Ses parents se séparent en 1885, Renée Delmas refusant les nombreuses liaisons de son mari, notamment avec Sarah Bernhardt. Le divorce est prononcé en février 1889 et Sacha est confié à sa mère, ce qui n'empêche pas Lucien d'enlever son fils en octobre 1889 pour le ramener à Saint-Pétersbourg où il le fait jouer devant le Tsar et la famille impériale (à moins qu'il s'agisse d'une mise en scène concertée par les deux parents, l'enfant étant rendu après la saison de représentations).

Élève médiocre, il est expulsé de onze lycées différents comme il le rappelle dans son Discours de cent lignes, prononcé lors du banquet du cinquantenaire de Janson-de-Sailly (en 1934). Il arrête ses études à 18 ans après avoir redoublé 10 fois sa 6e pour embrasser la carrière à laquelle il aspire : le théâtre.


Les débuts
Alphonse Allais, ami de son père Lucien, le fait entrer au magazine humoristique Le Sourire.

Sur la recommandation de Francis de Croisset, Guitry soumet sa première pièce à Marguerite Deval, directrice du théâtre des Mathurins, qui l'accepte sous réserve qu'elle soit transformée en opérette. Le Page est créé le 15 avril 1902 et totalise 35 représentations.

Mis devant le fait accompli, Lucien Guitry, qui dirige le théâtre de la Renaissance, lui fait faire ses débuts de comédien sous le pseudonyme de Jacques Lorcey (utilisé plus tard par Jacques Lorcey) dans L'Escalier de Maurice Donnay en 1904. Sacha fait à cette occasion la connaissance de Charlotte Lysès, jeune protégée de son père. La rivalité amoureuse entre les deux hommes, ainsi qu'une entrée ratée dans une pièce qu'il joue à la Renaissance, conduit l'année suivante à une brouille qui durera treize ans.

Sacha s'installe avec Charlotte Lysès et écrit pour elle sa troisième pièce, Le KWTZ, créée au théâtre des Capucines fin 1905. Mais c'est avec Nono huit mois plus tard au théâtre des Mathurins que Guitry remporte son premier grand succès. Charlotte et Sacha se marient le 14 août 1907 à Honfleur.

Brillant comédien, Guitry va dès lors s'affirmer dans l'écriture. Faisant partie, comme Henri Bernstein, de la nouvelle génération de boulevardiers dans la lignée de Feydeau, Meilhac et Halévy ou Flers et Caillavet, il écrit lui-même ses propres pièces, parfois en moins de trois jours, et en assure la mise en scène et l'interprétation.

En 1907, l'échec de La Clef, écrite pour la comédienne Réjane, décourage un temps Guitry et c'est le soutien indéfectible de l'écrivain Octave Mirbeau qui lui donne le courage de continuer ; admiratif et reconnaissant, Sacha Guitry sollicite de lui une préface pour sa Petite Hollande en 1908 et, plus tard, lui consacre une pièce, Un sujet de roman, créée en 1924 par son père Lucien Guitry dans le rôle de Mirbeau (Sarah Bernhardt doit être aussi de la création, dans le rôle d'Alice Regnault, mais la comédienne meurt avant la première).

Il écrit sur mesure pour sa deuxième épouse Yvonne Printemps plusieurs comédies musicales qui remportent un très grand succès (Mozart, L'Amour masqué…) et sept revues avec son ami Albert Willemetz. Il lance aussi Raimu dans Faisons un rêve en 1916.

Homme d'esprit à l'humour caustique, qui a la verve facile et le goût du bon mot, il fait les délices du public mais ne s'attire pas toujours la faveur des critiques. Guitry utilise déjà au théâtre la méthode qu'il utilisera plus tard au cinéma : s'approprier les règles, les codes d'un genre, les détourner et les plier à son propre style.


Du théâtre au cinéma

Avec le cinéma, les rapports de Guitry sont alors plutôt complexes. En 1912, il écrit « J'estime que l'influence du cinématographe a été déplorable, [...] qu'il a tenté de faire au théâtre une concurrence déloyale en truquant et en tronquant les œuvres dramatiques ». Ce qui ne l'empêche pas de faire, en 1915, une première tentative en réalisant Ceux de chez nous, en réaction à un manifeste allemand exaltant la culture germanique. Il y filme, entre autres, des amis de son père, Auguste Rodin, Claude Monet, Anatole France, Auguste Renoir. Il note leurs paroles et les répète durant les diffusions publiques, inventant en quelque sorte, et avant l'heure, la voix off. Non mobilisé au cours de la Première Guerre mondiale car malade et perclus de rhumatismes, son antigermanisme se poursuit après la guerre, refusant de représenter ses pièces en Allemagne après l'armistice de 1918.

Comme Jouvet, il reproche au cinéma de ne pas avoir la même puissance que le théâtre et ne s'y intéresse réellement qu'en 1935, sous l'influence de sa jeune épouse Jacqueline Delubac. Comprenant que le cinéma permet une plus grande pérennité que le théâtre en fixant les images sur la pellicule, il décide d'adapter à l'écran certaines de ses pièces. D'abord Pasteur, écrite pour son père Lucien Guitry et créée par ce dernier, pièce qui donne libre cours à sa passion pour l'histoire et les personnages historiques. Dans une scène, Louis Pasteur, joué par Sacha Guitry, déclare à ses confrères : « Messieurs, je sais que je n'utilise pas le style conventionnel auquel vous êtes habitués », phrase qui semble destinée aux critiques qui le dénigrent depuis qu'il fait du théâtre. La même année, il réalise Bonne chance ! d'après un scénario original et confie le premier rôle féminin à Jacqueline Delubac. Le style de Guitry s'y affirme déjà nettement.

En 1936, il tourne à partir de la pièce qu'il a écrite Le Nouveau Testament. Puis, toujours en 1936, il réalise Le Roman d'un tricheur, son chef-d'œuvre pour beaucoup de spécialistes. Dans ce film, presque sans dialogues à l'exception de quelques scènes, Guitry met en scène l'unique roman qu'il a écrit, Mémoires d'un tricheur. Tout Guitry est contenu déjà dans ses quatre premiers films : jeu avec les procédés filmiques, reconstitution d'évènements ou biographie de personnages historiques, adaptations théâtrales. De 1935 à 1937, Guitry réalise dix films, dont au moins trois « chefs-d'œuvre ».

Son nom est proposé pour l'Académie française mais Guitry refuse la condition qu'on lui impose : abandonner son activité de comédien. En 1939, il est élu à l'Académie Goncourt et réalise Ils étaient neuf célibataires. Guitry y traite du thème, déjà abordé par d'autres, du mariage blanc. Le film est cependant en prise presque directe avec l'actualité, car l'histoire part d'un décret qui oblige les étrangers à quitter la France. Le lendemain de la première de son film, la guerre éclate.


Sous l'Occupation
L'armistice survient alors que Sacha Guitry est en traitement à Dax. Il est forcé d'y prolonger son séjour, dans l'attente de deux sauf-conduits pour Paris. L'un lui est destiné, l'autre est remis au philosophe Henri Bergson, souhaitant comme le dramaturge retourner à Paris. C'est à Dax, qu'un officier allemand (Biegel) les reconnaissant, lui et Bergson, leur adresse un laisser-passer et un bon pour 100 litres d'essence renouvelable en chemin, ordonnant aux officiers qui les croiseraient de réagir « eu égard à ce que représentent les deux grands hommes pour la culture française ». C'est également cet officier qui dit à Guitry : « Nous arrivons au bon moment, où la culture française décline et où nous venons la sauver ». C'est cette phrase, dit Sacha Guitry, qui restera gravée de 1940 à 1944 et l'encouragera à défendre la culture française : « Ils auront la France mais n'auront pas la Culture française ».

Revenu à Paris, Guitry entend poursuivre ses activités d'auteur, d'acteur et de cinéaste. Il reprend notamment Pasteur, pièce qui glorifie la France en la personne de Louis Pasteur, et qui comporte des répliques telles que "Travaillons mes enfants", "Je dicte : Nos plus cruels ennemis... les microbes." Continuons donc à travailler sous l'Occupation nazie. Pendant quatre ans, à l'écart de toute pensée politique, il continue sa vie d'homme de théâtre et de cinéma. Dominique Desanti évoque « une réussite maintenue à travers l'horreur de l'Occupation, comme si de préserver les succès et le luxe de Guitry était nécessaire à la survie de la France ». Il joue de son influence pour obtenir la libération de personnalités juives notamment celle de l'écrivain Tristan Bernard et de son épouse. Il réalise également Le Destin fabuleux de Désirée Clary, film centré autour de la célèbre fiancée de Napoléon et qui oppose la figure de l'Empereur aux visées de l'impérialisme allemand, et Donne-moi tes yeux, « réflexion originale sur le regard masculin ».



Son album 1429-1942 : De Jeanne d'Arc à Philippe Pétain, catalogue des gloires françaises, historiques et artistiques conçu en 1942 et publié en 1944, est selon ce qu'il écrit en 1947 « un véritable monument à la gloire de la France... Un cri de foi, d'amour et d'espérance, et l'on ne saurait lui attribuer sans mentir une signification politique [...] Je n'en connais pas qui soit plus beau. Je n'en connais pas qui montre mieux le vrai visage de la France – et son ardente volonté de se suffire à elle-même – et de rester, seule, chez elle. L'avoir réalisé sous l’œil de l'Occupant, cela représente un tour de force inégalé ». Reproduisant dans cet album le fac-simile de la célèbre lettre ouverte d'Émile Zola en faveur d'Alfred Dreyfus, J'accuse…!, publiée dans L'Aurore le 13 janvier 1898, Guitry écrit : « N'était-ce pas audacieux, provoquant même ? » De même qu'« avoir fait reproduire un poème de Porto-Riche, une pensée de Bergson, avoir nommé Sarah Bernhardt et Pissarro, avoir cité Dukas, Rachel et Marcel Schwob ».

Les relations que Sacha Guitry entretient avec l'Occupant lui valent d'être sollicité pour des cas désespérés. Il met tout le poids de sa notoriété pour que soient libérés du camp de Drancy Tristan Bernard, Maurice Goudeket et Max Jacob, hélas pour ce dernier trop tard.

Lors d'un gala à l'Opéra de Paris le 23 juin 1944, Guitry présente De Jeanne d'Arc à Philippe Pétain, accompagné d'un film de présentation, « sans lier le débarquement à ce que le titre de son livre peut avoir de provocateur », comme l'écrit Dominique Desanti. Ce gala est l'occasion d'une vente aux enchères d'un des exemplaires, dont la recette, de 400 000 francs, est entièrement reversée à l'Union des arts. Geneviève Guitry, son épouse durant cette période, écrit « Ce fut alors une période de manœuvres qu'il pensait habiles et qui nous effrayaient, car Sacha ne comprenait rien à la politique. Il avait un fond d'ingénuité, une confiance quelquefois excessive, qui l'amenaient à porter des jugements téméraires sur les gens qui gravitaient autour de lui. Dans cette période, il ne fut pas bon psychologue, ni suffisamment objectif. » Philippe Arnaud estime que « Guitry, on le sait, s'est trompé sur Pétain, et sur la nature de la Seconde Guerre mondiale. De cet aveuglement, Donne-moi tes yeux donne la métaphore facile ».

La Libération de Paris est pour la foule un moment de liesse et de déchaînement de haine à la fois, pour certains une occasion de mêler démonstration de zèle patriotique et « règlements de comptes » personnels. Le 23 août 1944, alors que dans les rues les femmes sont tondues, Sacha Guitry, qui quelques heures plus tôt parlait au téléphone à Arletty, est arrêté par des Forces françaises de l'intérieur du Comité parisien de Libération, comme le sera quinze jours plus tard Marie Laurencin. Ils lui reprochent son attitude à l'égard de l'occupant allemand. Il est incarcéré soixante jours sans inculpation, passant deux mois au dépôt, au Vél d'Hiv, puis à Drancy, avant que ses avocats, Paul Delzons et Georges Chresteil ne le fassent transférer à la prison de Fresnes que dirigent des militaires, et non les FFI. Il n'en est pas moins dénoncé dans la presse par des écrivains comme Pierre Descaves ou certains journalistes du Figaro, dirigé alors par Pierre Brisson, ennemi déclaré de Guitry. Ses détracteurs oublient qu'il s'est toujours opposé à ce que ses pièces soient jouées en Allemagne.

Le juge d'instruction l'inculpe pour « intelligence avec l'ennemi », et Guitry commente : « Je crois, en effet, n'en avoir pas manqué ». Ne sachant que lui reprocher, le juge fait paraître dans les journaux, à deux reprises, des annonces demandant qu'on lui communique les accusations contre Guitry. Il n'obtient aucune réponse probante et classe le dossier. Guitry est libéré le 24 octobre 1944 et obtient en 1947 un non-lieu tardif (il dira plus tard qu'il aurait préféré un procès). Il fera référence à cette expérience : dans le générique de La Poison (1951) lorsqu'il déclare à Pauline Carton que le décor de la cellule a été réalisé à partir de ses souvenirs, on sent poindre l'amertume dans sa voix. Tentant de prendre la chose avec humour, il déclare : « La Libération ? Je peux dire que j'en ai été le premier prévenu. » Il publie en 1947 et 1949 les souvenirs de cette période sous forme de deux récits : Quatre ans d'occupations (un pluriel significatif) pour la période 1940 à août 1944 et 60 jours de prison pour les deux mois pénibles et humiliants qui suivirent. Il commente, en filigrane, son comportement dans Le Diable boiteux, biographie de Talleyrand qui poursuivit son travail avec toujours comme seul but de servir la grandeur de la France.


L'Après-guerre
Pour Guitry, les années 1950 vont être une synthèse des deux décennies écoulées. Il rédige le scénario d'Adhémar ou le Jouet de la fatalité mais, malade, il en confie la réalisation à Fernandel, qui a déjà réalisé un film. Devant le résultat, Guitry s'estime trahi et intente un procès à Fernandel, procès qu'il perd. Ce film annonce la suite de l'œuvre du cinéaste : le ton est plus mélancolique (Le Comédien, Deburau, Le Trésor de Cantenac), parfois caustique (Je l'ai été trois fois, La Poison, La Vie d'un honnête homme), mais toujours comique (Toâ, Aux deux colombes, Tu m'as sauvé la vie).

Ses amis le soutiennent et la reconnaissance vient avec la commande de grosses productions historiques : Si Versailles m'était conté, Napoléon, Si Paris nous était conté. Mots d'esprits et distribution prestigieuse font l'attrait de ces fresques. Il n'oublie cependant pas son arrestation et réalise le très caustique Assassins et Voleurs interprété par le duo Jean Poiret-Michel Serrault (Darry Cowl y fait ses débuts dans une scène humoristique et pratiquement improvisée). Les trois font la paire est le dernier film qu'il réalise avec l'aide de l'acteur-producteur-réalisateur Clément Duhour, car la maladie l'a beaucoup affaibli. Film-somme sur le cinéma de Guitry où l'on retrouve tout ce qui en fait l'essence. Son testament artistique est le scénario de La Vie à deux qu'il rédige et où il refond plusieurs de ses pièces ; c'est Clément Duhour qui le réalisera après la mort du cinéaste, avec une pléiade de vedettes venues rendre hommage au maître.



Sacha Guitry meurt le 24 juillet 1957 en son hôtel particulier du 18 avenue Élisée-Reclus. Il repose au cimetière de Montmartre, à Paris, auprès de son père Lucien Guitry (1860-1925), son frère Jean (1884-1920) et sa dernière épouse Lana Marconi (1917-1990).

Ses meilleurs films

Si Versailles m'était conté... (1954)
(Réalisateur)
Un crime au Paradis (2001)
(Ecrivain)
Si Paris nous était conté (1956)
(Acteur)
Napoléon (1955)
(Acteur)
Beaumarchais, l'insolent (1996)
(Scénariste)
Assassins et voleurs (1957)
(Réalisateur)

Le plus souvent avec

Pauline Carton
Pauline Carton
(26 films)
Léon Walther
Léon Walther
(14 films)
Robert Seller
Robert Seller
(15 films)
Lana Marconi
Lana Marconi
(13 films)
Source : Wikidata

Filmographie de Sacha Guitry (54 films)

Afficher la filmographie sous forme détaillée
AnnéeNomMétierRôle
2001Un crime au ParadisEcrivain
1997QuadrilleScénariste
1996Beaumarchais, l'insolentScénariste
1996DésiréScénariste
1996Mon père avait raisonEcrivain
1995Le Veilleur de nuitPièce de théatre
1960Au voleur!Ecrivain
1958La Vie à deuxEcrivain
1957Assassins et voleursRéalisateur, Ecrivain
1957Les 3 font la paireActeur, Réalisateur, EcrivainLui-même en présentateur-narrateur (générique et fin)
1956Si Paris nous était contéActeur, Réalisateur, HistoireLe narrateur et Louis XI
1955NapoléonActeur, Réalisateur, EcrivainTalleyrand
1954Si Versailles m'était conté...Acteur, Réalisateur, Ecrivain, ProducteurLouis XIV (plus âgé) (et, dans la version française, le narrateur)
1953La Vie d'un honnête hommeActeur, Réalisateur, EcrivainLui-même au générique du film
1952Je l'ai été 3 fois !Acteur, Réalisateur, EcrivainJean Renneval, l'acteur vieillissant
1951La PoisonRéalisateur, Ecrivain
1951Adhémar ou le jouet de la fatalitéEcrivain
1951DeburauActeur, Réalisateur, EcrivainJean-Gaspard Deburau
1951Tu m'as sauvé la vieActeur, RéalisateurLe baron de Saint-Rambert
1950Le Trésor de CantenacActeur, RéalisateurLe baron de Cantenac et le conteur
1950Le Trésor de CantenacActeur, Réalisateur
1949Rendez-vous de juilletHistoire
1949Aux deux colombesActeur, Réalisateur, Concepteur de dialoguesMaître Jean-Pierre Walter
1949ToâActeur, Réalisateur, ScénaristeMichel Desnoyers, auteur dramatique
1948Le Diable boiteuxActeur, Réalisateur, EcrivainCharles-Maurice de Talleyrand-Périgord
1948Le ComédienActeur, RéalisateurLucien Guitry et Sacha Guitry
1944La MalibranActeur, Réalisateur, EcrivainEugène Malibran
1944De Jeanne d'Arc à Philippe PétainActeur, RéalisateurNarrateur (voix)
1943Donne-moi tes yeuxActeur, Réalisateur, EcrivainFrançois Bressolles
1942La Loi du 21 juin 1907Réalisateur
1941Le Destin fabuleux de Désirée ClaryActeur, Réalisateur, ScénaristeLe conteur et Napoléon Ier
1940Partenaires chanceuxHistoire
1939Ils étaient neuf célibatairesActeur, Réalisateur, EcrivainJean Lécuyer
1938La Huitième Femme de Barbe-BleueActeur
1938QuadrilleActeur, Réalisateur, EcrivainPhilippe de Morannes, rédacteur en chef d'un grand journal parisien
1938L'Accroche-cœurEcrivain
1938Remontons les Champs-ElyséesActeur, Réalisateur, EcrivainLe professeur, Louis XV, Ludovic, Jean-Louis et Napoléon III
1937Les Perles de la couronneActeur, Réalisateur, ScénaristeJean Martin, François Ier, Barras et Napoléon III
1937DésiréActeur, Réalisateur, EcrivainDésiré, le valet de chambre
1937Le Mot de CambronneActeur, Réalisateur, EcrivainLe général Pierre Cambronne
1936Le Roman d'un tricheurActeur, Réalisateur, EcrivainLe tricheur
1936Faisons un rêve...Acteur, Réalisateur, Pièce de théatreLui (l'avocat)
1936Mon père avait raisonActeur, Réalisateur, EcrivainCharles Bellanger
1936Le Nouveau TestamentActeur, Réalisateur, Pièce de théatreLe docteur Jean Marcellin
1935Bonne chanceActeur, Réalisateur, EcrivainClaude Lepeltier
1935Deux couvertsScénariste
1935PasteurActeur, Réalisateur, Ecrivain du scénarioPasteur
1935Un soir à la Comédie-FrançaiseScénariste
1934Dîner de gala aux AmbassadeursActeur, Réalisateur, Concepteur de dialoguesLui-même
1931Le Blanc et le NoirPièce de théatre
1926CamilleActeur
1924The Lover of CamilleCréateur de nouvelle
1924La VoyantePièce de théatre
1918Un roman d'amour et d'aventuresActeur, ScénaristeJean Sarrazin / Jacques Sarrazin
1915Ceux de chez-nousRéalisateur