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Efim Dzigan est un Réalisateur Russe né le 14 décembre 1898 à Moscou (Russie)

Efim Dzigan

Efim Dzigan
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Nom de naissance Efim Lvovitch Dzigan
Nationalité Russie
Naissance 14 décembre 1898 à Moscou (Russie)
Mort 31 décembre 1981 (à 83 ans) à Moscou (Russie)
Récompenses Artiste du peuple de l'URSS, Ordre de Lénine, Prix Staline

Efim Lvovitch Dzigan (Ефим Дзиган) né le 14 décembre 1898 dans l'Empire russe à Moscou et décédé le 31 décembre 1981 en URSS (maintenant Russie) est un réalisateur soviétique travaillant principalement dans le genre du réalisme socialiste soviétique.

En 1924, il a commencé à travailler comme assistant réalisateur puis a terminé ses études à l'école de cinéma Tchaïkovski, en 1926. Il a réalisé pour le 25e anniversaire de l'Armée rouge, en 1936, Les Marins de Kronstadt et a travaillé dans différents studios de l'URSS, comme en 1952 à Alma Ata, où il réalise le premier film kazakh en couleurs Djamboul. En 1938, son film Si demain c’est la guerre est présenté à Cannes. En 1932—1941 et à partir de 1954, il travaille à Mosfilm. À partir de 1958, il a enseigné à l'Institut national de la cinématographie où il a eu entre autres élèves Elem Klimov, Vladimir Grammatikov, Edmond Keossaian. En 1966, il y a obtenu une chaire de professeur. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, de scénarios et d'une biographie.

Efim Dzigan est inhumé au cimetière de Novodevitchi.

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Filmographie de Efim Dzigan (1 films)

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Réalisateur

Les Marins de Kronstadt, 1h26
Réalisé par Efim Dzigan
Origine Russie
Genres Drame, Guerre, Historique
Thèmes Politique, Politique
Acteurs Pyotr Sobolevsky
Note65% 3.2578653.2578653.2578653.2578653.257865
L'histoire se focalise sur les événements d'octobre 1919 où une troupe de marins partisans de la Révolution livre un combat contre les Blancs dirigés par Nikolaï Ioudenitch, non sur mer mais sur terre. Le commissaire Martynov, dépêché pour organiser la défense de Petrograd recrute quelques marins du port de Kronstadt à l'attachement soviétique éprouvé, pour aller à repousser les Blancs. Ces derniers, victorieux dans un premier temps, jettent les prisonniers du haut d'une falaise, une pierre attachée au cou. On a alors un long plan sur les vagues de la Baltique, comme pour nous signifier un retour des choses. Après quelques secondes, l'un des marins, qui avait gardé son couteau, ressort de l'eau et regagne la berge. Il rejoint Kronstadt et prend la tête de la flotte qui débarque là même où ses camarades furent précipités. Les marins montent en haut de la falaise. Les Blancs, en train de lutter contre l'infanterie, sont pris sous un double feu. Leur fuite les mène au bord de la falaise, d'où ils se jettent pour échapper aux Rouges, finalement victorieux.