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Barbara Stanwyck est une Actrice et Scénariste Américaine née le 16 juillet 1907 à New York (Etats-Unis)

Barbara Stanwyck

Barbara Stanwyck
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Nom de naissance Ruby Catherine Stevens
Nationalité Etats-Unis
Naissance 16 juillet 1907 à New York (Etats-Unis)
Mort 20 janvier 1990 (à 82 ans) à Santa Monica (Etats-Unis)

Barbara Stanwyck (née Ruby Catherine Stevens) est une actrice américaine, née le 16 juillet 1907 à New York et morte le 20 janvier 1990 à Santa Monica en Californie.

D’une enfance difficile, Barbara Stanwyck a tiré une force et une volonté hors du commun.
Elle commence au cinéma dès la fin du muet et est propulsée par le metteur en scène Frank Capra qui lui donne des rôles importants. Elle atteint des sommets en incarnant les stéréotypes de l’héroïne du film noir. Elle excelle dans les genres cinématographiques les plus variés : le mélodrame, le western, le film policier, le film noir, la comédie, le film social.
Nominée quatre fois pour un Oscar, elle n'en reçut aucun. Elle recevra en 1982, un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.

Biographie

Une volonté de fer

Ruby Stevens naît en 1907 à New York, dans le quartier de Brooklyn. Issue d’un milieu pauvre, elle est d'ascendance écossaise et irlandaise. Elle n’a que quatre ans lorsque sa mère meurt accidentellement, poussée par un ivrogne à la sortie d’un tramway. Deux semaines après les funérailles, son père partira travailler à la construction du canal de Panama et ne donnera plus signe de vie. Ruby, cadette de cinq enfants, est maintenant élevée par sa sœur aînée et par des familles d’accueil. Elle commence dès l’adolescence à travailler, notamment comme emballeuse puis comme standardiste. D’un caractère tenace et surtout dotée d'une volonté de réussir, elle tente sa chance dans le milieu du spectacle. Elle chante et danse dès l’âge de quinze ans dans des cabarets et des music-halls, avant d’obtenir un engagement comme chorus girl dans les Ziegfeld Follies en 1923.

Puis elle apparaît sur les scènes de Broadway dans des premiers rôles, notamment à l'Hudson Theatre dans The Noose en 1926 et dans Burlesque en 1927 où elle obtient un gros succès et de bonnes critiques.
Willard Mack, imprésario à l’origine de ses débuts à Broadway dans The Noose, changea également son nom en Barbara Stanwyck, argumentant que celui de Ruby Stevens faisait vraiment « trop strip-teaseuse ».

Dans cette période, son ami Oscar Levant, auteur-compositeur, rencontré lorsqu’elle était chorus girl, lui présente Frank Fay acteur célèbre de New York spécialisé dans le vaudeville. La jeune actrice est séduite et se marie avec lui le 26 août 1928. Elle avouera plus tard qu’il était comme le père qu’elle n’avait jamais eu. Barbara ne pouvant pas avoir d’enfant, le couple adopte le 5 décembre 1932, Dion Anthony, né en février 1932.

Parallèlement à sa carrière théâtrale, elle se lance au cinéma dans un film muet, Broadway nights (1927), grâce à l'appui de son mari. Elle sera également remarquée grâce à ses succès théâtraux par le producteur Joseph M. Schenck qui l’engage pour Le Signe sur la porte dont le tournage a lieu à New York. Mais ces premiers films sont des échecs.

Frank Fay ayant obtenu un rôle pour The Show of Shows, le couple se rend à Hollywood. Là-bas, Fay présente et vante les mérites de sa femme à Harry Cohn, directeur de la Columbia, ce dernier propose alors à l’actrice de faire un film de série B, Mexicali Rose. Dès lors, Barbara Stanwyck ne cessera plus de tourner.


Une gloire immédiate

Mais c’est la rencontre avec Frank Capra qui va lancer sa carrière. Le réalisateur impose, contre l’avis des studios Columbia, Barbara Stanwyck en 1930 dans Femmes de luxe (Ladies of Leisure).

C’est en visionnant un bout d’essai que l'actrice a fait pour la Warner que Capra l’engage.
«… Au bout de trente secondes seulement, j’avais le cœur serré comme dans un étau. Elle suppliait le gouverneur de gracier son mari emprisonné. Jamais de ma vie je n’avais vu ou entendu une telle sincérité dans l’expression des sentiments humains. J’avais les larmes aux yeux lorsque la lumière revint. J’étais comme foudroyé. »

Capra est conquis par la personnalité de l’actrice, il l’aidera à adoucir son image un peu trop abrupte et va lui ouvrir de nouveaux horizons à Hollywood.
Le réalisateur lui fait signer un contrat non exclusif avec la Columbia, ce qui permettra à l’actrice de tourner également pour les studios Warner Bros. ainsi qu’avec toutes les principales compagnies hollywoodiennes, de la RKO à la 20th Century Fox.

Capra et Stanwyck enchaîneront avec The Miracle Woman en 1931 dont le sujet est inspiré de la vie d’Aimee Semple McPherson, célèbre prédicatrice qui, en exploitant la crédulité des gens dans leur foi, se bâtit une fortune au milieu des années 1920 aux États-Unis.
Mais c’est le troisième film avec Capra, Amour défendu (Forbidden) (1932), qui la révèle au grand public.
Le réalisateur tournera encore deux films avec elle : La Grande Muraille (The Bitter Tea of General Yen) (Jean-Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier écriront à propos de Capra : « L’une des réussites les plus personnelles de cette période nous semble être The Bitter Tea of General Yen, dont l’atmosphère à la Sternberg est contrebalancée par une direction fluide, nuancée, dans laquelle Barbara Stanwyck se révèle prodigieuse et d’une sensibilité très moderne… »), et huit ans plus tard, L'Homme de la rue (Meet John Doe) (1941) avec Gary Cooper.

Projetée au firmament des stars, elle est classée parmi les plus grandes du moment : Greta Garbo, Marlene Dietrich, Katharine Hepburn, Joan Crawford et Bette Davis.



Elle incarne les femmes combatives et indépendantes dans l’Amérique en crise du début des années 1930 à l’ère du Pré-Code, dans des films aussi divers que Illicit (1931), Toujours dans mon cœur (Ever In My Heart) (1933) et Franc Jeu (Gambling Lady) (1934), tous trois signés Archie Mayo, Ladies They Talk About (1933) de Howard Bretherton, Liliane (Baby Face) (1933) de Alfred E. Green, Mariage secret (The Secret Bride) (1935) de William Dieterle ou La Dame en rouge (The Woman in Red) (1935) de Robert Florey.

Elle fait une composition remarquée spécialement dans Liliane (1933), d'après une histoire du producteur Darryl F. Zanuck, où elle use de ses charmes pour se retrouver au sommet de l’échelle sociale sans se soucier de briser des carrières ou de provoquer des suicides. Le scénario, par trop sulfureux, eut des problèmes avec la censure. Jack Warner, directeur de la Warner Bros., effectua quelques édulcorations et imposa une fin plus conforme à la morale de l’époque.

William Wellman lui offrira également de beaux rôles dès le début des années 1930 dans L'Ange blanc (Night Nurse) (1931), Mon grand (So Big) (1932), The Purchase Price (1932), plus tard dans L'Inspiratrice (The Great Man's Lady) (1942) et L'Étrangleur (Lady of burlesque) (1943).

Outre Capra, Wellman et Dieterle, elle tourne avec de grands réalisateurs : John Ford pour Révolte à Dublin (1936), Cecil B. DeMille pour Pacific Express (1939), un hymne dédié aux pionniers du chemin de fer des États-Unis dont le souffle épique sera rarement égalé, Rouben Mamoulian dans L'Esclave aux mains d'or (Golden Boy) (1939) : elle y rencontre un tout jeune débutant encore hésitant, William Holden, qu’elle défendra en menaçant de quitter le tournage à l’instant où on menace de le renvoyer. Holden déclara bien plus tard qu’il lui devait sa carrière.



Elle est encore remarquable dans le bouleversant mélodrame de King Vidor grâce à qui elle obtient sa première nomination aux Oscars pour son rôle dans Stella Dallas (1937), où elle incarne un personnage de femme élevant seule son enfant et qui finira par sacrifier son amour maternel pour le bonheur de sa fille.

Entre-temps ses relations avec son mari se sont dégradées car, contrairement à celle de Barbara, la carrière de Frank Fay est au point mort, il se met à boire et devient violent. Ils finiront par divorcer en 1935 et se déchirer la garde de leur fils adoptif. Certains historiens prétendent que leur relation a inspiré le film de William A. Wellman, Une étoile est née.

Elle rencontre, en 1936, sur le plateau de La Fièvre des tropiques un des jeunes premiers les plus séduisants d' Hollywood, Robert Taylor. Une liaison s’instaure qui se concrétisera trois ans plus tard par un mariage en 1939 organisé par Metro-Goldwyn-Mayer, pratique courante autrefois dans les studios d'Hollywood. Mais, soi-disant lassée des infidélités de son mari, l’actrice finira par divorcer le 21 février 1951.


The Queen

Au début des années 1940, elle est une des rares stars indépendantes libres d’engagement à long terme avec les studios, elle gère seule sa carrière. Viennent les années de gloire : en 1944, elle est classée par le ministère du Trésor américain la femme la mieux payée aux États-Unis (plus de 400 000 dollars).

Refusant de se cantonner à un certain type de rôles, Barbara Stanwyck va composer des personnages des plus éclectiques dans tous les genres cinématographiques. Et comme l’écrit Noël Simsolo : « Parfaite dans la comédie, le mélodrame ou la tragédie, chaque film lui est un moyen de renouveler son image et de prouver l’étendue de son jeu. »

Elle aborde la décennie avec un genre cinématographique où elle va exceller : la comédie.
Elle démontre un réel talent comique dans des chefs-d’œuvre éblouissants tels Un cœur pris au piège (The Lady Eve) par un maître du genre, Preston Sturges, où elle incarne une aventurière sans scrupules qui séduit un milliardaire timide incarné par Henry Fonda, et dans Tu m'appartiens où elle retrouve Henry Fonda ; elle joue une voleuse impénitente aux côtés de Fred MacMurray dans L'Aventure d'une nuit (Remember the Night) ; Howard Hawks lui fait jouer une pétulante chanteuse de cabaret qui bouleverse la vie de professeurs dont fait partie Gary Cooper dans le brillant Boule de feu. Le réalisateur prit un immense plaisir à travailler avec Barbara Stanwyck et la rangea toujours parmi les meilleures actrices qu’il avait dirigées. Son abattage et sa fantaisie hors pair seront récompensés pour ce film par une nomination aux oscars. Mention spéciale pour L'Homme de la rue (Meet John Doe) de son réalisateur fétiche Frank Capra, où elle côtoie le drame et la comédie de façon sensible et qui sera annonciateur de ses futurs rôles les plus tourmentés.



La suite de sa filmographie sera enrichie de mélodrames, genre de films où elle a déjà fait ses preuves. Elle est, avec Bette Davis et Joan Crawford, une des plus grandes vedettes du genre avec des films comme Le Droit d'aimer (My Reputation) (1946) de Curtis Bernhardt, L'Orchidée blanche (The Other Love) (1947) d'André de Toth, Ville haute, ville basse (East Side West Side) (1949) de Mervyn LeRoy (avec James Mason et Ava Gardner), Chaînes du destin (No Man of Her Own) (1950) de Mitchell Leisen, Le démon s'éveille la nuit (Clash by Night) (1952) de Fritz Lang, Le Souffle sauvage (Blowing Wild) (1953) de Hugo Fregonese, La Tour des ambitieux (Executive Suite) (1954) de Robert Wise, All I Desire (1953) et Demain est un autre jour (There's Always Tomorrow) (1956), tous deux de Douglas Sirk, La Rue chaude (Walk on The Wild Side) (1962) d’Edward Dmytryk…

Aucune actrice n’incarnera mieux qu’elle les femmes fortes et « viriles » dans un autre genre, celui-là essentiellement masculin, le Western. Elle en tournera de nombreux, tout particulièrement dans les années 1950, parmi lesquels La Gloire du cirque où elle interprète Annie Oakley, partenaire de Buffalo Bill, dans le film de George Stevens en 1935, Pacific Express (Union Pacific) (1939) de Cecil B. DeMille, Californie terre promise (California) (1946) de John Farrow, Les Furies (The Furies) (1950) d’Anthony Mann où elle affronte son père (Walter Huston) propriétaire terrien, La Reine de la prairie (Cattle Queen of Montana) (1954) d’Allan Dwan, Le Souffle de la violence (The Violent Men) (1955) de Rudolph Maté, La Horde sauvage (The Maverick Queen) (1956) de Joseph Kane et Quarante tueurs (Forty Guns) (1957) de Samuel Fuller. Dans ce film, elle renverse à nouveau les lois du genre en incarnant une cheffe de bande despote, fouet à la main, habillée tout en noir en habit d’homme. Elle fait dès le début du film une apparition fulgurante, à la tête de quarante cavaliers. À cinquante ans, elle effectue elle-même certaines cascades plusieurs fois dont celle où elle est désarçonnée par son cheval et traînée sur le sol sur plusieurs mètres, faisant preuve d'une abnégation que Hollywood n'avait pas connue depuis Lillian Gish.

Mais c’est dans le film noir qu’elle donnera le meilleur d’elle-même.



En 1944, Billy Wilder lui confie un rôle très noir dans Assurance sur la mort ((Double Indemnity)) qui sera déterminant pour sa carrière.
D’abord réticente à cause de la noirceur du personnage, Billy Wilder la convainc d’accepter en lui lançant un défi : « Vous êtes une souris ou une actrice ? », « J’espère être une actrice » lui répondit-elle, « Alors, acceptez le rôle. » Elle l’accepta et lui fut très reconnaissante.

Transformée pour l'occasion en une vamp blonde, séduisante et perverse, elle incarne là un de ses meilleurs personnages.
Chef-d’œuvre du film noir, le film est sublimé par l’utilisation de la lumière, un scénario et une réalisation sans concession et des interprétations sans failles dont celle de Barbara Stanwyck, qui l'impose dans la mythologie du genre parmi Lana Turner, Gene Tierney, Hedy Lamarr et Joan Crawford notamment. Le film sera encensé par Alfred Hitchcock. Sept nominations aux oscars couronneront le film (dont celle des meilleurs film, scénario, réalisation et actrice) mais il n’en remportera aucun.

Elle incarnera encore la « bad girl » dans plusieurs films marquants comme La Femme à l'écharpe pailletée ((The File on Thelma Jordon)), un beau rôle de garce où, dans une scène célèbre, elle brûle le visage de son amant avec un allume-cigare, L'Emprise du crime (The Strange Love of Martha Ivers) avec un débutant Kirk Douglas, Le Souffle sauvage, Meurtrière ambition ; et les victimes dans La Seconde Madame Carroll face à Humphrey Bogart, Raccrochez, c'est une erreur avec un autre débutant : Burt Lancaster, La Plage déserte, Témoin de ce meurtre…

Stanwyck s'impose même dans le genre particulier du « film de Noël » avec L'Aventure d'une nuit de Mitchell Leisen (1940) et Christmas in Connecticut de Peter Godfrey (1945).

En 1948, pour la quatrième et dernière fois, elle échoue aux Oscars malgré la qualité du sombre Raccrochez, c'est une erreur (Sorry, Wrong Number) d’Anatole Litvak et de son interprétation d'une femme malade qui surprend une conversation téléphonique entre deux tueurs préparant son propre assassinat (les votants des Oscars lui préférant Jane Wyman dans son personnage de sourde-muette du Johnny Belinda de Jean Negulesco).


Vie privée
Elle a, pour amie l'actrice Caryl Lincoln qui épouse, en 1934, son frère Byron.
Côté vie personnelle, Barbara Stanwyck n'a jamais véritablement correspondu au moule conçu par Hollywood. Nombre d'historiens du cinéma ont analysé son mariage avec Frank Fay puis avec Robert Taylor comme des lavender marriages, soit des relations de convenance, fictives, montées de toutes pièces pour cacher la véritable orientation sexuelle de Stanwyck (et de Taylor). Car si Stanwyck n'a jamais ouvertement parlé de son identité sexuelle, son biographe Axel Madsen la décrit « avec Greta Garbo, comme la plus célèbre lesbienne au placard d'Hollywood ». Au-delà d'une aventure avec Tallulah Bankhead, sa compagne la plus importante a été l'actrice devenue son agent artistique, Helen Ferguson. Probablement bisexuelle, Stanwyck a aussi eu des aventures avec Humphrey Bogart, Gary Cooper ou William Holden en plus de ses liaisons avec Frank Capra et Robert Wagner. Femme indépendante privilégiant les rôles de femmes fortes, Stanwyck a représenté un modèle pour des générations de lesbiennes, des années 1960 aux années 1980.


La star du petit écran


Sa carrière cinématographique déclinant au milieu des années 1950, elle apparaît au cinéma pour les dernières fois dans L'Homme à tout faire au côté d'Elvis Presley et Celui qui n'existait pas (William Castle, 1964) au côté de Robert Taylor, son ex-mari.

Elle se consacre par la suite au petit écran, participant à la série The Barbara Stanwyck Show (1960-61) pour laquelle elle remporte le premier de ses Emmy Awards en 1961. Elle obtient son deuxième Emmy Award en 1966 pour son rôle de Victoria Barkley dans La Grande Vallée (1965-69) qui fait d'elle l'une des actrices les plus populaires à la télévision. Âgée de soixante ans, elle effectue sans doublure toutes les cascades dans ce western où elle incarne une veuve énergique et chef de famille à la tête d’un ranch. Troisième Emmy Award pour le rôle de Mary Carson, riche propriétaire du domaine de Drogheda, dans Les oiseaux se cachent pour mourir (1983) où son personnage de matriarche tyrannique tente de vamper Richard Chamberlain. Elle fera sa dernière prestation dans la première saison de Dynastie 2 : Les Colby (1985-86), série dérivée de Dynastie, où elle interprète la sœur de Charlton Heston.

C'est déjà très malade qu'elle se rend sur scène pour recevoir un Oscar d'honneur. Elle aurait préféré décrocher le rôle féminin dans La Maison du lac, face à Henry Fonda, qui échut à Katharine Hepburn. Elle est décédée à Santa Monica, en Californie le 21 janvier 1990, dans sa 83e année.

Ses meilleurs films

Titanic (1953)
(Actrice)
L'Homme de la rue (1941)
(Actrice)
L'Indomptée (1948)
(Actrice)

Le plus souvent avec

Edith Head
Edith Head
(24 films)
Bess Flowers
Bess Flowers
(15 films)
Hans Dreier
Hans Dreier
(14 films)
Frank Capra
Frank Capra
(5 films)
Source : Wikidata

Filmographie de Barbara Stanwyck (93 films)

Afficher la filmographie sous forme détaillée
AnnéeNomMétierRôle
1982Les cadavres ne portent pas de costardActrice
1981This Is ElvisActrice
1975T'as pas 100 balles ?ActriceElle-même
1971A Taste of EvilActrice
1970L'appel du passéActrice
1964L'homme à tout faireActriceMaggie Morgan
1964Celui qui n'existait pasActriceIrene Trent
1962La Rue chaudeActriceJo Courtney
1957Femme d'ApacheActriceCora Sutliff
1957Quarante TueursActriceJessica Drummond
1956Demain est un autre jourActriceNorma Miller Vale
1956Passé perduActriceAnn Dempster
1956Meurtrière ambitionActriceKathy Ferguson Doyle
1956La Horde sauvageActriceKit Banion
1955Les rubis du prince birmanActriceGwen Moore
1955Le souffle de la violenceActriceMartha Wilkison
1954La Reine de la prairieActriceSierra Nevada Jones
1954La Tour des ambitieuxActriceJulia O. Tredway
1954Témoin de ce meurtreActriceCheryl Draper
1953All I DesireActriceNaomi Murdoch
1953Le Souffle sauvageActriceMarina Conway
1953TitanicActriceJulia Sturges
1953Le Voleur de minuitActriceRela
1953La Plage déserteActriceHelen Stilwin
1952Le démon s'éveille la nuitActriceMae Doyle D'Amato
1951L'homme au manteau noirActriceLorna Bounty
1950Chaînes du destinActriceHelen Ferguson / Patrice Harkness
1950Les FuriesActriceVance Jeffords
1950Pour plaire à sa belleActriceRegina Forbes
1949Ville haute, ville basseActriceJessie Bourne
1949La Femme à l'écharpe pailletéeActriceThelma Jordon
1949Une femme joue son bonheurActriceJoan Phillips Boothe
1948Raccrochez, c'est une erreurActriceLeona Stevenson
1948L'IndomptéeActricePauline 'Polly' Fulton Brett
1947L'Orchidée blancheActriceKaren Duncan
1947Californie terre promiseActriceLily Bishop
1947La Seconde Madame CarrollActriceSally Morton Carroll
1947Le Loup des sept collinesActriceSandra Marshall
1947Hollywood en folieActriceElle-même
1946Amazone moderneActriceSally Warren
1946Le Droit d'aimerActriceJessica Drummond
1946L'Emprise du crimeActriceMartha Ivers
1945Joyeux Noël dans le ConnecticutActriceElizabeth Lane
1945Hollywood Victory CaravanActriceElle-même
1944Assurance sur la mortActricePhyllis Dietrichson
1944Cantine hollywoodienneActriceElle-même
1943L'ÉtrangleurActriceDixie Daisy
1943ObsessionsActriceJoan Stanley
1942Boule de feuActriceSugarpuss O'Shea
1942Les Folles HéritièresActriceFiona Gaylord
1942L'InspiratriceActriceHannah Sempler
1941L'Homme de la rueActriceAnn Mitchell
1941Tu m'appartiensActrice, ScénaristeDr Helen Hunt
1941Un Cœur pris au piègeActriceJean Harrington / Lady Eve Sidwich
1940L'Aventure d'une nuitActriceLee Leander
1939L'Esclave aux mains d'orActriceLorna Moon
1939Pacific ExpressActriceMollie Monahan
1938Adieu pour toujoursActriceMargot Weston
1938Miss Manton est folleActriceMelsa Manton
1937Déjeuner pour deuxActriceValentine Ransome
1937La Loi du milieuActriceJanet Haley
1937Stella DallasActriceStella Dallas
1937Sa dernière chanceActriceLil Duryea
1936Carolyn veut divorcerActriceCarolyn Martin
1936La Fièvre des tropiquesActriceRita Wilson Claybourne
1936Révolte à DublinActriceNora Clitheroe
1936Saint-Louis BluesActricePearl Elliott Holley
1936Message à GarciaActriceRaphaelita Maderos
1935La Gloire du cirqueActriceAnnie Oakley
1935Mexico et retourActriceDrue Van Allen
1935La Dame en rougeActriceShelby Barret Wyatt
1934A Lost LadyActriceMarian Ormsby Forrester
1934Franc jeuActriceLady Lee
1934Mariage secretActriceRuth Vincent
1934The Secret BrideActrice
1933LilianeActriceLily « Baby face » Powers
1933La grande murailleActriceMegan Davis
1933Ladies They Talk AboutActriceNan Taylor / Nan Ellis / M Andrews
1933Toujours dans mon cœurActriceMary Archer Wilbrandt
1932Amour défenduActriceLulu Smith
1932Mon grandActriceSelina Peake De Jong
1932The Purchase PriceActriceJoan Gordon
1932ShopwornActriceKitty Lane
1931L'Ange blancActriceLora Hart
1931Les Bijoux volésActrice
1931IllicitActriceAnne Vincent Ives
1931La Femme aux miraclesActriceFlorence Fallon
1931Ten Cents a DanceActriceBarbara O'Neill
1930Femmes de luxeActriceKay Arnold
1929Mexicali RoseActriceMexicali Rose
1929Le Signe sur la porteActriceAnn Carter
1927Broadway NightsActrice
1927Fay et FanchetteActriceFan dancer