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Adolfas Mekas est un Acteur, Réalisateur, Ecrivain et Monteur Américain né le 30 septembre 1925

Adolfas Mekas

Adolfas Mekas
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Nationalité Etats-Unis
Naissance 30 septembre 1925
Mort 31 mai 2011 (à 85 ans) à Poughkeepsie (Etats-Unis)

Adolfas Mekas est un réalisateur et monteur américain, d'origine lituanienne, né le 30 septembre 1925 à Semeniškiai, près de Biržai (Lituanie), mort le 31 mai 2011 à Poughkeepsie (État de New York).

Biographie

Adolfas Mekas est le frère du réalisateur et écrivain Jonas Mekas. Avec Edouard de Laurot , les deux frères cofondent le magazine Film Culture en 1954.

Le plus souvent avec

Jonas Mekas
Jonas Mekas
(4 films)
Taylor Mead
Taylor Mead
(2 films)
Jerome Hill
Jerome Hill
(2 films)
Lillian Gish
Lillian Gish
(1 films)
Source : Wikidata

Filmographie de Adolfas Mekas (5 films)

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Acteur

As I Was Moving Ahead Occasionally I Saw Brief Glimpses of Beauty, 4h48
Réalisé par Jonas Mekas
Origine Etats-Unis
Genres Documentaire
Acteurs Jonas Mekas, Stan Brakhage, Hollis Frampton, Robert Breer, Ken Jacobs, Adolfas Mekas
Rôle Lui-même
Note81% 4.079684.079684.079684.079684.07968
Compiled from Mekas' home movies, the film is an attempt by the director to re-construct his life through various home movies filmed over a period of about 30 years. Events shown in the film are things such as birthdays and picnics, as well as more landmark personal events such as the first steps of his children. Throughout the film Mekas offers his own commentary and insight on what the viewer is seeing.

Réalisateur

Hallelujah les collines, 1h28
Réalisé par Adolfas Mekas
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Romance
Acteurs Jerome Hill, Taylor Mead
Note61% 3.0957053.0957053.0957053.0957053.095705
Quand Jack et Leo, qui depuis sept ans aiment tous les deux Vera, se décident à la demander en mariage, ils découvrent avec consternation, qu'elle a épousé « l'horrible Gédéon ». Pour se remettre de leur déception et tenter d'oublier Vera, ils s'en vont parcourir les forêts du Vermont couvertes de neige, faisant les fous et dormant sous la tente. Mais ils n'arrivent pas à oublier la femme qu'ils aiment, chacun la revoyant, en flashbacks, de façon très personnelle : Leo se souvient de ses visites annuelles à Vera chaque été, tandis que Jack se remémore les visites annuelles qu'il lui faisait chaque hiver. Tout à leurs souvenirs, ils enchainent les cuites, et les péripéties : feu de camp qui devient incendie, chasse à l'ours, découverte d'un arbre à femmes, le réalisateur rendant, au passage hommage à D. W. Griffith et à son film À travers l'orage... Leur rencontre avec deux détenus évadés va mettre un terme à leur périple.
Hallelujah the Hills, 1h22
Réalisé par Adolfas Mekas
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Romance
Acteurs Jerome Hill, Taylor Mead, Richard Barthelmess, Lillian Gish
Note61% 3.0957053.0957053.0957053.0957053.095705
"Two young men, Jack and Leo, are both courting the same girl. For seven long years they persist, but she finally gives herself to the 'horrible Gideon.' In a sense, just as this is the pretext for the film, so the courtships of Vera is a pretext for Jack and Leo to camp out together in the Vermont woods near her home, and to indulge themselves in the wildest of horseplay and high jinks. The film has a Giffithian flavor, a lyrical naivete, which is extremely touching. At the same time it is full of sophisticated film parodies - Rashomon, the New Wave, Douglas Fairbanks, Ma and Pa Kettle. In short, this is one of the most completely American films ever made, in its combination of anarchistic wackiness with a nostalgic sense of the lost frontier and (maybe they're both the same) the magic of youth." -Richard Roud, in the program notes for The First New York Film Festival at Lincoln Center NY, screening September 14, 1963.

Scénariste

Hallelujah les collines, 1h28
Réalisé par Adolfas Mekas
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Romance
Acteurs Jerome Hill, Taylor Mead
Rôle Ecrivain
Note61% 3.0957053.0957053.0957053.0957053.095705
Quand Jack et Leo, qui depuis sept ans aiment tous les deux Vera, se décident à la demander en mariage, ils découvrent avec consternation, qu'elle a épousé « l'horrible Gédéon ». Pour se remettre de leur déception et tenter d'oublier Vera, ils s'en vont parcourir les forêts du Vermont couvertes de neige, faisant les fous et dormant sous la tente. Mais ils n'arrivent pas à oublier la femme qu'ils aiment, chacun la revoyant, en flashbacks, de façon très personnelle : Leo se souvient de ses visites annuelles à Vera chaque été, tandis que Jack se remémore les visites annuelles qu'il lui faisait chaque hiver. Tout à leurs souvenirs, ils enchainent les cuites, et les péripéties : feu de camp qui devient incendie, chasse à l'ours, découverte d'un arbre à femmes, le réalisateur rendant, au passage hommage à D. W. Griffith et à son film À travers l'orage... Leur rencontre avec deux détenus évadés va mettre un terme à leur périple.
Hallelujah the Hills, 1h22
Réalisé par Adolfas Mekas
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Romance
Acteurs Jerome Hill, Taylor Mead, Richard Barthelmess, Lillian Gish
Rôle Ecrivain
Note61% 3.0957053.0957053.0957053.0957053.095705
"Two young men, Jack and Leo, are both courting the same girl. For seven long years they persist, but she finally gives herself to the 'horrible Gideon.' In a sense, just as this is the pretext for the film, so the courtships of Vera is a pretext for Jack and Leo to camp out together in the Vermont woods near her home, and to indulge themselves in the wildest of horseplay and high jinks. The film has a Giffithian flavor, a lyrical naivete, which is extremely touching. At the same time it is full of sophisticated film parodies - Rashomon, the New Wave, Douglas Fairbanks, Ma and Pa Kettle. In short, this is one of the most completely American films ever made, in its combination of anarchistic wackiness with a nostalgic sense of the lost frontier and (maybe they're both the same) the magic of youth." -Richard Roud, in the program notes for The First New York Film Festival at Lincoln Center NY, screening September 14, 1963.

Monteur

Hallelujah les collines, 1h28
Réalisé par Adolfas Mekas
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Romance
Acteurs Jerome Hill, Taylor Mead
Rôle Monteur
Note61% 3.0957053.0957053.0957053.0957053.095705
Quand Jack et Leo, qui depuis sept ans aiment tous les deux Vera, se décident à la demander en mariage, ils découvrent avec consternation, qu'elle a épousé « l'horrible Gédéon ». Pour se remettre de leur déception et tenter d'oublier Vera, ils s'en vont parcourir les forêts du Vermont couvertes de neige, faisant les fous et dormant sous la tente. Mais ils n'arrivent pas à oublier la femme qu'ils aiment, chacun la revoyant, en flashbacks, de façon très personnelle : Leo se souvient de ses visites annuelles à Vera chaque été, tandis que Jack se remémore les visites annuelles qu'il lui faisait chaque hiver. Tout à leurs souvenirs, ils enchainent les cuites, et les péripéties : feu de camp qui devient incendie, chasse à l'ours, découverte d'un arbre à femmes, le réalisateur rendant, au passage hommage à D. W. Griffith et à son film À travers l'orage... Leur rencontre avec deux détenus évadés va mettre un terme à leur périple.
Hallelujah the Hills, 1h22
Réalisé par Adolfas Mekas
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Romance
Acteurs Jerome Hill, Taylor Mead, Richard Barthelmess, Lillian Gish
Rôle Monteur
Note61% 3.0957053.0957053.0957053.0957053.095705
"Two young men, Jack and Leo, are both courting the same girl. For seven long years they persist, but she finally gives herself to the 'horrible Gideon.' In a sense, just as this is the pretext for the film, so the courtships of Vera is a pretext for Jack and Leo to camp out together in the Vermont woods near her home, and to indulge themselves in the wildest of horseplay and high jinks. The film has a Giffithian flavor, a lyrical naivete, which is extremely touching. At the same time it is full of sophisticated film parodies - Rashomon, the New Wave, Douglas Fairbanks, Ma and Pa Kettle. In short, this is one of the most completely American films ever made, in its combination of anarchistic wackiness with a nostalgic sense of the lost frontier and (maybe they're both the same) the magic of youth." -Richard Roud, in the program notes for The First New York Film Festival at Lincoln Center NY, screening September 14, 1963.