Dans la campagne espagnole, Ferdinand, un jeune taurillon, prend soin en secret d’ une fleur qui a poussé dans l’arène pendant que Valiente, Guapo et Bones, d’autres veaux, s’entrainent et s’affrontent comme le font leurs pères respectifs. L’arrivée du matador met le troupeau en émoi et les adultes rivalisent de force pour être sélectionnés. Raf, le père de Ferdinand, est choisi et part dans l’arène, convaincu qu’il reviendra bientôt mais le lendemain soir, Ferdinand comprend que son père est mort en voyant le camion revenir à vide. Il s’échappe alors, poursuivi par le propriétaire et parvient à monter dans un train de marchandises. Il en sort lors d’un arrêt et tombe dans une rivière escarpée ou il est recueilli par Nina, la fille d’un horticulteur. Celui-ci adopte Ferdinand qui grandit pendant deux ans dans un cadre idyllique, intégré à la famille.
Un agriculteur camarguais, acculé à l'hypothèque de ses biens les plus précieux (hangar, terrains), effectue une tentative de suicide à la carabine. Son fils, qui vivote avec un petit trafic de cannabis et qui est raseteur (chercheur de cocarde entre les cornes du taureau lors d'une course camarguaise) à l'occasion, décide de tout faire pour sauver les terres familiales et redonner à son père le goût de la vie.
Dans les années 1920 à Séville, Antonio Villalta, un célèbre matador est grièvement blessé par un taureau lors d’un combat. Au même moment, son épouse meurt lors de l’accouchement de leur fille Carmen. Attirée par la fortune de l’homme, Encarna, l’infirmière qui s’était occupée d’Antonio Villalta, épouse ce dernier. N’ayant jamais connu sa mère et ne voyant jamais son père, la petite Carmen passe les premières années de sa vie aux côtés de sa grand-mère Doña Concha, mais celle-ci décède subitement.
« Manolete » (Manuel Laureano Rodriguez Sanchez) est, dans les années 1940, le plus célèbre des toreros espagnols. Célèbre mais introverti et simple, il partage sa vie entre les dangereuses arènes et les hôtels. Tout change lorsqu'il rencontre Lupe Sino, jeune comédienne dont il va tomber amoureux. L'histoire passionnée qu'ils vont vivre ne plaira pas à tous. Le film raconte le dernier jour du matador ainsi que les quelques mois de sa relation avec Lupe Sino.
Le rideau se lève sur un spectacle de danse, une représentation du Café Müller de Pina Bausch. Dans la salle, nous voyons deux spectateurs placés côte à côte, qui ne se connaissent pas : le premier, Benigno, remarque que son voisin, Marco, semble bouleversé et pleure.
Chassé-croisé à travers le temps de l'amour vécu, de l'amour mort et de l'amour espéré. La mort, l'amour, les vies antérieures et les coïncidences, de la persécution des premiers chrétiens jusqu'à aujourd'hui.
Un ancien chirurgien, Manuel Vasquez rencontre un torero Francisco Jimenez lors d'un accident. Vasquez a une vie sans histoires avec sa femme Marion. Cette rencontre va rappeler au docteur Vasquez un épisode douloureux de sa vie. Fils d'un républicain tué dans une arène par les franquistes, Manuel avait rejeté tout ce qui lui rappelle l'Espagne... La rencontre avec le torero, va bouleverser leur existence.
Diego Montes, torero, doit prendre une retraite prématurée après une blessure mal soignée.Maria Cardenal, avocate en criminologie, aime tuer ses amants lors de leurs ébats amoureux.Diego crée une école de tauromachie, car pour lui "arrêter de tuer, c'est arrêter de vivre".Maria, fascinée par l'art de Diego, tue ses partenaires sexuels comme lui ses taureaux.Angel, l'un des élèves de Diego, est un garçon étrange qui souffre de vertiges et de l'autoritarisme d'une mère fanatique de l'Opus Dei. Malgré toute sa bonne volonté, il ne pourra sauver Maria et Diego de leur destin.
Fils de mineur, Sebastián rêve de devenir toréador. Encore apprenti cordonnier, il torée le soir dans un pré loin des regards. Avec le temps, à force de détermination et après de nombreuses vicissitudes, il parviendra à réaliser son rêve.
En Espagne, un jeune paysan, d'abord sous-prolétaire à Barcelone, devient torero. L'ascension vers la gloire, puis la lassitude, la peur et enfin la mort...
À San Ginés de la Sierra, petit village perdu d'Andalousie, un couvent surnommé le Refuge des vaincus accueille les miséreux dont les nonnes prennent soin. Mais les moyens du couvent ne leur permettent plus de poursuivre leur action. Les nonnes demandent alors au maire du village de leur prêter les arènes pour y organiser une becerrada de charité. À cette becerrada figurent les toreros Antonio Ordóñez, Antonio Bienvenida et Mondeño dans leurs propres rôles.