Pour assurer l'avenir de sa famille qui vit dans un bidonville, Rafaël (Johnny Depp), un jeune homme désenchanté, conclut un marché avec un producteur (Marlon Brando) : dans une semaine il mourra sous les yeux d'une caméra pour son film.
Un fan de cinéma d'horreur décide de trouver coûte que coûte un slasher nommé The Hills Run Red qui semble avoir disparu à jamais. Avec l'aide de trois amis, son périple l'amène à retrouver le réalisateur du film. Peu de temps après, le petit groupe se retrouve être la proie d'un dangereux psychopathe nommé Babyface...
Le tueur en série Max Parry a réalisé un documentaire pris sur le vif sur le thème du meurtre. En copiant son film sur des cassettes dans un magasin de location de film, il force les spectateurs à regarder son opus dans lequel il présente ses meilleurs meurtres, tout en philosophant sur la nature des envies de meurtre.
Quand la police effectue une descente dans une maison située dans une petite ville, au nord de New York, ils découvrent de nombreux enregistrements mettant en scène les horribles activités d'un meurtrier. Les enquêteurs trouvent ainsi près de 800 cassettes vidéo filmées par le tueur lui-même, sorte de journaux intimes de ses meurtres dans leurs détails les plus sordides. Tandis qu'ils tentent de trouver des indices sur les identités du meurtrier mais aussi de ses victimes, les enquêteurs doivent subir de longs visionnages, répétés, dérangeants, des cassettes.
In the middle of the night, Harold Dingle, the owner of a website dedicated to slasher films who has been hired on to Perimount Production's upcoming remake of the cult classic Slaughter Camp 13, has his throat slit by a hooded assailant.
Thomas Cross est un informaticien, un peu voyeur, un peu pirate informatique. Il pose des webcams un peu partout et vit à travers celles-ci. Un jour, il assiste impuissant en direct au meurtre de Cathy, une exhibitionniste qu'il fréquente à travers son site web et sa live webcam.
Des étudiants en cinéma de Alpine University sont en concurrence pour remporter un prix leur permettant de faire un film à Hollywood. Travis, le meilleur étudiant de l'Université, est celui qui est considéré comme étant le grand vainqueur de ce prix néanmoins il reçoit une note médiocre pour son film. À la suite de cet échec, il décide de se suicider. Peu après, toutes les personnes ayant travaillé sur son film sont tuées les unes après les autres par un inconnu spécialiste de légendes urbaines. Trevor, le frère jumeau de Travis, est lui persuadé que son frère n'est pas mort suicidé et décide d'enquêter. Il est aidé par Amy, une jeune étudiante qui, elle-même, tourne un film d'horreur sur les légendes urbaines.
Unsuspecting couple Steve and Rachel become completely immersed in a town of blood-drunk crazies. Led by sickos Howard and Eli, these backwater psychopaths produce and watch their own snuff movies in which the victims are outsiders or citizens trying to leave the close-knit community of killers. One day an unmarked tape shows up in the return bin of Steve's just-opened video store, and it's the town postmaster being savagely mutilated. "Can it be real, or just a gag?" wonders Steve. He'll soon discover the horrifying answer...
Max Renn (James Woods) dirige une chaine de télévision racoleuse. Il ne vit que pour la télévision, passe des heures à visionner de nouveaux programmes et lorsque sa secrétaire lui rappelle ses rendez-vous du jour, c'est par le biais d'une cassette vidéo. Interviewé sur une autre chaine pour défendre sa vision de l'influence des programmes pornographiques à la télévision, il rencontre une très belle femme, animatrice radio, Nicki Brand (Debbie Harry, par ailleurs chanteuse du groupe Blondie), la séduit sur le plateau et en direct pendant qu'une troisième personne explique ses positions. Cette troisième personne est un dénommé Brian O'Blivion (Jack Creley), dont le nom est jeu de mot : oblivion signifie oubli en anglais.
Marko (Mihajlo Jovanovic) is an unsuccessful director that begins filming with Cane (Srdjan Miletic), a porn director, after he finds himself unable to successfully shoot his own films. Through these films Marko finds an outlet for the anger he feels towards society, as well as a new group of friends in the porn industry. Marko eventually has a falling out with Cane and starts his own porn cabaret club. An initially positive beginning turns sour when Cane's brother interrupts a film premiere, resulting in the press destroying Marko and his club. Marko debates leaving the city, but is approached by a German journalist who suggests that Marko begin making snuff films.
Shown almost entirely though a stationary camera and a handheld one, the film has a woman named Kana and a man named Kiku being hired to star in an amateur porno being made by two men. As the porn shoot progresses, it incorporates elements of BDSM, such as breast bondage, multiple penetration with dildoes, wax play, flagellation, and an enema. Uncomfortable with how rough the film has gotten, Kana tries to leave, prompting the director, cameraman, and Kiku to knock her out, tie her to a bed, and strip her.