1910. Le professeur Fate et son ennemi, le Grand Leslie, participent à une course automobile reliant New York à Paris. Pour gagner, Fate est prêt à toutes sortes de ruses, alors que Leslie est toujours le vainqueur sans taches. Mais c'est sans compter sur la présence dans la course de Maggie Dubois, une journaliste féministe, qui va semer le trouble dans le cœur de Leslie.
À Vienne, un séduisant lieutenant, Niki, file le parfait amour avec Franzi, une violoniste qui dirige un orchestre de musique populaire. Un jour Niki, au garde à vous pour le passage de la famille royale du petit royaume de Flausenthurm, adresse un clin d’œil à sa maîtresse, dans la foule. La princesse Anna de Flausenthurm, qui passe juste à cet instant dans un carrosse, s'offense de ce clin d’œil qu'elle croit lui être adressé.
Un livre de contes intitulé La Belle au bois dormant s'ouvre et une voix entame la narration du conte. Dans un lointain pays imaginaire, au XIV siècle, le roi Stéphane et sa femme rêvent d'avoir un enfant. Un jour enfin, leur rêve se réalise et ils prénomment leur petite fille « Aurore ». Ils organisent alors une fête à laquelle sont conviés tous les habitants du royaume. Hubert, le roi d'une contrée voisine, se joint à l'assistance, et leur présente son jeune fils, le prince Philippe. Soudain, trois marraines-fées apparaissent. Elles sont venues offrir chacune un don à la petite princesse Aurore : Flora, à la robe rose ou rouge, la dote d'une beauté incomparable ; Pâquerette, à la robe verte, la dote d'une voix mélodieuse. Quand Pimprenelle, à la robe bleue, s'apprête à formuler son don, un grand souffle de vent se fait entendre. Un éclair zèbre la salle du trône, et Maléfique, la terrifiante et méchante sorcière du Mal, fait son apparition, vite rejointe par son fidèle corbeau. Pleine de rancune de ne pas avoir été invitée à la fête, elle exprime sa déception. Plutôt que de se taire, la mère de la petite Aurore ne peut s'empêcher de faire un commentaire : Maléfique en profite pour faire un "cadeau" à la jeune princesse. En fait, elle se venge de cet affront en lui jetant un mauvais sort : en grandissant, elle deviendra gracieuse et belle, et aura pour elle l'amour et la dévotion de chacun. Mais, avant le jour de ses seize ans, elle se piquera le doigt au fuseau d'un rouet, et en mourra. Pimprenelle, qui ne peut conjurer totalement le mauvais sort, l'adoucit. Au lieu de mourir, la princesse Aurore tombera dans un profond sommeil d'où seul le baiser d'un prince pourra la tirer.
Surpris par le roi dans le boudoir de la reine, le prince Danilo est contraint pour se racheter d’aller séduire une jeune et jolie veuve émigrée à Paris, dont l’immense fortune est nécessaire au rétablissement des finances du royaume. Évidemment, rien ne se passera comme prévu…
L'histoire au style médiéval se déroule dans le Comté de Warnerstock, petit royaume fictif d'Europe, au village d'Acme Falls où vivent ensemble les personnages des Animaniacs : Yakko, Wakko et Dot (les frères et la sœur Warner), Minus et Cortex, Rififi l'écureuil, Rita et Spot, Mindy et Toubeau, etc. Depuis la mort du roi William le Bon et l'éclatement d'une lutte sans merci pour le pouvoir, Warnerstock est dominé par la nation voisine de Tictockia et son impitoyable dictateur le roi Salazar. Les habitants sont soumis à de lourds impôts, collectés par le cupide baron von Plotz, et vivent dans la misère. Wakko décide de quitter le village pour gagner sa vie. Un an plus tard, il revient avec un demi penny pour payer à sa sœur Dot, gravement malade, l'opération dont elle a besoin. Mais le baron von Plotz invente un nouvel impôt pour le détrousser. La nuit suivante, un ange apparaît à Wakko et lui parle d'une étoile filante magique, l'étoile d'espoir, située dans les montagnes et capable d'exaucer un vœu à celui qui la touche. Lorsqu'au petit matin Wakko raconte l'histoire à son entourage, tout le village se lance à la recherche de l'étoile d'espoir.
À son 21e anniversaire, le prince Akeem de Zamunda doit se marier à une femme qu'il n'a jamais vue auparavant, selon la tradition de la maison royale. Le prince décide de rompre avec la tradition et va chercher l'amour de sa vie aux États-Unis. S'installant à New York, il fait croire qu'il est un homme pauvre afin de trouver une femme qui soit véritablement attiré par lui et non par sa richesse et son pouvoir.
Harry Tristan Dean projette de s’introduire dans le musée privé d'un riche collectionneur, Ahmad Shahbandar, afin d'y dérober la sculpture du buste de l'impératrice Lissu et de la remplacer par une copie. Pour cela, il utilise les services de Nicole Chang, sosie à la fois de l'épouse décédée du collectionneur et de l'impératrice Lissu...
Dans la mer des Caraïbes, sur l'île imaginaire de Queimada, au début du XIX siècle, les colons se révoltent contre la puissance coloniale portugaise. Le film suit les événements avec le point de vue d'un esclave noir et celui de l'agent secret anglais (joué par Marlon Brando) qui le manipule, ayant pour mission de faire passer l'île dans le domaine économique de l'Angleterre.
Soldat libertin et cousin de la redoutable reine Regina V dont il doit devenir l'époux dans les six mois, le prince Wolfram est en manœuvre extérieure avec son escadron. Soudain ce futur prince consort croise en sens inverse un groupe de jeunes filles novices, sous la diligente surveillance de nonnes revêches dont le couvent se trouve à proximité. Le prince à cheval les salue cordialement, quand son regard croise celui de la jeune et ravissante Kelly, jolie brune effrontée qui lui lance des œillades énamourées par-dessus de grands sourires à peine dissimulées. Tout autant intrigué que séduit, le jeune prince ordonne à tous ses hommes de faire demi-tour. Les nonnes et les novices s'arrêtent sur le bas côté de la route pour saluer plus solennellement le prince, par une révérence exécutée dignement par les sœurs et plus gracieusement par les jeunes filles. Or c'est à ce moment-là qu'une incongruité se produit, Kelly perd son caleçon à frou-frou devant le jeune prince, qui sidéré éclate de rire, suivi peu à peu par l'ensemble de ses cavaliers. Lorsque les nonnes et ses consœurs se rendent compte de la situation, elles se joignent instantanément au reste de la troupe pour rire de bon cœur ; mais Kelly qui ne comprend toujours pas la cause de cette hilarité générale, continue à sourire bien que plus timidement au prince. La nonne près d'elle plus outrée qu'amusée, pour toute explication lui montre ses chevilles, où pendent misérablement ses culottes courtes, trop grandes visiblement pour la taille fine de la jeune femme. Humiliée après avoir été conquise par l'affabilité du jeune prince, de rage comme de désespoir, Kelly dans un geste impulsif, lance à la tête de son altesse Wolfram ce dessous féminin et intime, ce qui ne manque pas de scandaliser tout autant les nonnes que les novices. Le jeune prince guère déconcerté garde un moment le linge incriminé près de son visage, tout en continuant à fixer la pauvre Kelly, qui lui jette à présent un regard de défi ; il se contente quant à lui de glisser prestement ce linge déshonorant, dans l'étui suspendu à sa selle en guise de trophée d'une si belle journée ensoleillée, qui restera marquée par la rencontre impromptue avec cette étonnante novice.
Le chanteur Goopi et le percussionniste Bagha rencontrent le Roi fantôme, qui leur remet trois dés magiques. Munis de ces présents et de leur ruse, les deux amis voyagent et portent secours à ceux qu'ils rencontrent. Ils se trouvent en particulier pris dans l'affrontement imminent entre deux royaumes et font tout pour préserver la paix.
Il était une fois… un roi (Jean Marais), qui jouit d'un grand prestige auprès de ses sujets et voisins, et qui est marié à la plus belle et vertueuse des reines. Tous deux vivent en harmonie avec leur unique fille (Catherine Deneuve), et la prospérité du royaume est continuellement assurée par l'âne fabuleux qui habite leurs écuries et dont les déjections surnaturelles délivrent pierres précieuses et pièces d'or. Mais cet équilibre est rompu par le malheur : la reine se meurt de maladie. La raison d'État exigeant un héritier mâle, sur son lit de mort, elle fait promettre à son mari de ne prendre comme nouvelle épouse qu'une femme plus belle qu'elle. Les efforts des ministres pour trouver une princesse à la hauteur de la défunte reine restent vains, jusqu'à ce qu'ils admettent que seule la fille même du couple royal peut se prévaloir d'une telle beauté. Bien qu'un tel projet constitue un inceste, le roi décide de l'épouser, encouragé en cela par ses conseillers.
Le film est une satire anti-catholique. Dans un pays sans nom, l'évêque (vicaire) de la cathédrale locale de St Jorgen choisit chaque année "l'épouse spirituelle du saint", ce qui implique une collecte de fonds massive pour les cadeaux pour elle (qui n'est personne d'autre que sa nièce Oleandra). Cependant, deux escrocs, Mikaël Corquis et Frantz Schultz, s'échappent de la prison et Oleandra les aide accidentellement à échapper à la police. Corquis se cache dans la cathédrale et Schultz l'enferme. De son côté, Schultz se déguise en invalide moyennant deux béquilles. Le lendemain matin, la cathédrale est entourée de milliers de croyants qui sont arrivés pour la célébration. Corquis revêt la robe du saint et vient à la foule, à la grande surprise de l'évêque. La foule réclame un miracle; Corquis remarque Schultz avec des béquilles, il lui demande de les jeter et de commencer à marcher. Schultz est "guéri", et la foule étonnée l'entoure, tandis que l'évêque a une "conversation sérieuse" avec Corquis. Ce dernier accepte de cesser de faire des miracles et de quitter la ville avec Oleandra, qui est en effet amoureuse de lui, et l'argent récolté pour elle. À la fin, l'évêque révèle une icône de saint Frantz nouvellement glorifié (Schultz) jetant ses béquilles.
Le Hunter Gratzner, un vaisseau de commerce et de transport de passager, est en route vers le système Tangier. Alors qu'il est en transit dans le système M-344/G, sa trajectoire croise la queue d'une comète non-identifiée.