Ce documentaire a la particularité « de confronter directement des victimes de prêtres pédophiles, en caméra cachée, avec leurs agresseurs ». Il « met en cause la hiérarchie épiscopale dans la faiblesse — voire l’absence — des sanctions dans les cas de pédophilie », dénonçant l'hypocrisie de l'église polonaise et l'impunité des prêtres agresseurs.
Ditsi Carolino received the Best Director award for the documentary film Bunso (The Youngest) at the OneWorld 2005 documentary films festival held in Prague, Czech Republic.
Le film est basé sur le livre Sybil de Flora Rheta Schreiber paru en 1973. Sybil Dorsett est une jeune femme diplômée qui souffre d'étranges absences et demande de l'aide à une psychiatre : le Dr Cornelia Wilbur. On suit la longue psychothérapie de Sybil, au cours de laquelle la thérapeute va mettre en évidence un trouble de la personnalité multiple, en l'occurrence, chez Sybil, ce sont seize personnalités différentes qui prennent le contrôle d'elle-même. Certaines sont psychotiques et veulent la tuer. La thérapie va mener à la réintégration progressive de ces personnalités en une seule.
L'histoire se déroule en 1981, à Gotham City. Arthur Fleck travaille dans une agence de clowns. Méprisé et incompris par ceux qui lui font face, il mène une morne vie en marge de la société et habite dans un immeuble miteux avec sa mère Penny. Un soir, il se fait agresser dans le métro par trois hommes alcoolisés qui le brutalisent, le poussant à les tuer en retour. Son geste inspire à une partie de la population l'idée de s'en prendre eux aussi aux puissants ; Arthur bascule peu à peu dans la folie et finit par devenir le Joker, un dangereux tueur psychopathe victime d'hallucinations.
En 1976, le prêtre John Geoghan est arrêté pour viol sur mineur à Boston. Dans la nuit, un prêtre de haut rang se rend au commissariat pour négocier avec la mère de l'enfant et laisse Geoghan ressortir libre alors que l'avocat général demande aux agents présents de ne pas ébruiter l'affaire.
The film follows documentary filmmaker Alex Gibney as he examines the abuse of power in the Catholic Church system through the story of four deaf men — Terry Kohut, Gary Smith, Pat Kuehn and Arthur Budzinski — who set out to expose the priest who abused them during the mid-1960s. Each of the men brought forth the first known case of public protest against clerical sex abuse, which later lead to the sex scandal case known as the Lawrence Murphy case. Through their case the film follows a cover-up that winds its way from the row houses of Milwaukee, Wisconsin, through Ireland's churches, all the way to the highest office of the Vatican.
Sensible et déterminée, Grace est à la tête d'un foyer pour adolescents en difficulté. Parmi les jeunes membres de son équipe, diversement expérimentés, la solidarité et le bon esprit sont de mise. Jusqu’à l’arrivée soudaine d’une fille tourmentée qui ignore les règles du centre et renvoie Grace à sa propre adolescence… pas si lointaine.
En 1992, Charlie (Logan Lerman), un jeune lycéen qui souffre de dépression clinique depuis son enfance, vient de sortir d'un établissement psychiatrique, et appréhende sa rentrée en seconde : il est timide et a du mal à socialiser. C'est pour cela qu'il écrit des lettres à un ami imaginaire. Il se fait cependant ami avec son prof d'anglais, M. Anderson (Paul Rudd).
Prêtre catholique irlandais venu en Californie, Oliver O'Grady, ou Ollie, a violé des dizaines d'enfants des années 1970 aux années 1990. Le film suit chronologiquement son histoire, par le témoignage de trois de ses victimes, deux femmes et un homme, de parents de victimes, d'Oliver O'Grady lui-même, et de plusieurs autres personnes, dont le père Thomas Doyle, prêtre qui s'attache à ce que l'Église fasse face à ses responsabilités dans ce domaine.
Un petit garçon termine de dessiner un cerf-volant à l'étage d'une maison remplie de canettes de bière vides. Il empile ensuite des canettes pour en faire une pyramide, mais le tas finit par s'écrouler et par rouler dans l'escalier. Au rez-de-chaussée, une femme ivre regarde une série sentimentale à la télévision. C'est la mère du petit garçon, qu'elle appelle « Courgette ». Au bruit, elle se met en colère et commence à monter l'escalier menant à l'étage, en annonçant au garçon qu'elle va le battre. Effrayé, le garçon referme brusquement la trappe sur la tête de sa mère qui tombe dans l'escalier et ne bouge plus. Au commissariat, un policier, Raymond, prend la déposition du petit garçon qui s'appelle Icare, mais préfère être appelé Courgette. Il n'a plus de père, mais il l'a dessiné sur son cerf-volant qui ne le quitte jamais. Raymond explique à Courgette que sa mère « est partie » et qu'il va l'emmener dans un endroit où vivent des enfants comme lui, qui n'ont plus ni père ni mère : un orphelinat.
Un ennemi de Batman, 40 ans après avoir disparu de la scène, refait surface. Bruce Wayne semble connaître la raison de cette longue disparition du Joker. Il est ainsi certain qu'il ne peut s'agir de la même personne. Lui et Terry McGinnis tentent de découvrir la véritable identité du vilain, et son plan. Au fur et à mesure de l'enquête, les destins de plusieurs autres personnages sont révélés, comme celui de Tim Drake, le troisième Robin.
In the spring of 2003, Jason Russell, Bobby Bailey, and Laren Poole traveled to Africa to document the War in Darfur. Instead, they changed their focus to the conflict in northern Uganda, Africa's second longest-running conflict after the Eritrean War of Independence. The documentary depicts the abduction of children who are used as child soldiers by Joseph Kony and his Lord's Resistance Army (LRA). This film centers around a group of Ugandan children who walk miles every night to places of refuge in order to avoid abduction by the LRA.