Le film raconte les amours contrariées entre Roy, un jeune avocat israélien, et Nimer, un Palestinien qui étudie la psychologie un jour par semaine à Tel Aviv, ce qu’il voit au départ comme un tremplin pour les États-Unis. Le frère de Nimer, Nabil, est un activiste violent et homophobe qui stocke des armes dans la maison familiale à Ramallah.
A sophomore majoring in engineering, Yusef (Bobby Naderi) seeks living quarters with fellow Muslims after a year in the godless dorms. He moves—rather improbably, given his conservative nature—into a building inhabited by various punky misfits (it is unclear whether they are also students) wrestling with their cultural and religious identity. Or, as red-mohawked guitarist Jehangir (Dominic Rains) puts it, their "mismatching of disenfranchised subcultures."
Derrière les portes closes, des secrets bien gardés. Un prêtre se suicide. Un jeune séminariste est accusé d'homosexualité et relevé de ses fonctions. Convaincu que ces deux affaires sont liées, le journaliste David Foley décide de lever le voile sur le manipulations de l'église catholique irlandaise. Inspiré de faits réels.
Au XVIII siècle, Suzanne Simonin, née de père inconnu, est cloîtrée contre son gré par ses parents qui la destinent à la vie conventuelle sans qu'elle en ait la vocation.
Ce film est issu de la Cinéfondation (section du festival encourageant les jeunes talents). Son réalisateur, pour son premier long-métrage, suit Aaron, homme marié et père de quatre enfants, juif orthodoxe, boucher, qualifié de « juste » par son entourage. Aaron embauche un jeune homme, du nom d'Ezri, se présentant comme étudiant d'une yéchivah, venu en réalité à Jérusalem pour retrouver un autre étudiant juif orthodoxe dont il est amoureux et qui le rejette. Au fil des jours, le boucher et son apprenti nouent une relation amoureuse, sujet de scandale pour les juifs orthodoxes du quartier qui se doutent de leur relation. Ils s'en prennent également à un autre commerçant amoureux d'une jeune fille qui est mariée à un autre. Le film s'achève sur le départ de l'apprenti, élément de désordre dans ce quartier orthodoxe.
Au XVIII siècle, une jeune fille, Suzanne, que ses parents ont forcée à entrer en religion se révolte contre la vie conventuelle. La remplaçante de la Mère supérieure décédée la fait enfermer, la considérant comme possédée. Envoyée à Arpajon, dans un autre couvent, elle subit le harcèlement sexuel de la supérieure. Cette dernière, repoussée victorieusement, victime de ses frustrations, sombre dans la folie. Finalement, grâce à des complicités extérieures, Suzanne s'évade avec la ferme intention de vivre la vie dont on l'a toujours privée.
Ohad, the protagonist, is serving in the Israel Defense Forces as a Hesder student. He has not told anyone that he is gay. He tries various ways of dealing with the conflict between his religious beliefs and his sexual orientation, including Atzat Nefesh. He is told to spend forty days fasting and repenting to help rid him of his homosexual inclinations. He does this and believes himself to be cured.
Fariba, persécutée en Iran à cause de son homosexualité, fuit vers l'Allemagne mais sa demande d'asile est refusée.
Un de ses compagnons d'exil, Siamak, s'étant suicidé, Fariba subtilise son identité afin d'utiliser son titre de séjour temporaire. Contrainte de se déguiser en homme, chaque faux-pas peut dévoiler sa vraie identité et entraîner son expulsion. Afin de payer ses faux-papiers et malgré sa peur, elle trouve un travail au noir dans une usine d'un petit village où elle rencontre Anne, une autre employée, qui s'intéresse de plus en plus à Siamak-Fariba...
The film tells the story of Imri, who at 19 goes to live in Tel Aviv, but dreams of moving to Japan. Through his relationships and encounters and in diverse cinematic tools, we are introduced to the young man's life. An exploration of living in the exotic city of Tel Aviv is presented through a hero who is himself in the midst of exploring his own choice of an exotic place. A unique correlation is formed between the hero's misconception of Japan and ours of him. The movie was constructed by both improvised and pre-scripted scenes, as required by the nature of each scene.