Frida, alors étudiante et engagée dans sa première relation amoureuse, voit Diego Rivera pour la première fois dans son atelier. Peu après, Frida a un grave accident de bus qui la laisse gravement blessée à 18 ans, la colonne vertébrale brisée et la jambe fracturée en de multiples endroits. Clouée au lit, le corps et les jambes enfermées dans un plâtre, elle commence à peindre pendant sa convalescence. Quelques années après, Frida entame une relation avec Diego Rivera, qui finit par la demander en mariage ; elle dit attendre de lui « de la loyauté, sinon de la fidélité ». Diego trompe Frida à de nombreuses reprises avec des maîtresses, tandis que Frida Kahlo, bisexuelle, connaît plusieurs liaisons avec des hommes et des femmes. Les deux époux font un voyage aux États-Unis durant lequel Frida fait une fausse couche, puis apprend le décès de sa mère. Peu après, à New York, Diego Rivera réalise une fresque murale pour le Rockefeller Center, L'Homme au carrefour. Par la suite, Nelson Rockefeller tente de contraindre Rivera à supprimer un portrait de Lénine qui apparaît dans un détail de la fresque, mais Rivera, fervent communiste, refuse : la fresque est alors détruite.
Sara Matthews (Minka Kelly) vient étudier à l'université. C'est ici qu'elle rencontre sa colocataire, Rebecca Woods (Leighton Meester). Cette dernière fait découvrir la ville à Sara. Un jour, Rebecca décide d'emmener Sarah chez elle. La mère de Rebecca demande à Sara si Rebecca prend ses médicaments, Sarah est sous un choc total en entendant cette question. Après cette discussion, Rebecca change et commence à devenir une fille très jalouse et en vient à tenter de tuer tout l'entourage de Sara. C'est alors qu'on découvre que Rebecca souffre de bipolarité.
Barbara Covett est une enseignante d'histoire proche de la retraite. Depuis sa plus tendre enfance, elle n'a jamais su aimer qui que ce soit, ce qui l'a plongée dans une solitude de plus en plus pesante.
En janvier 1947, à Los Angeles, les inspecteurs du LAPD Dwight « Bucky » Bleichert et Lee Blanchard sont chargés d'enquêter sur le meurtre de la starlette Elizabeth Ann Short, retrouvée atrocement mutilée. Sa beauté et sa fin tragique alimentent les conversations de toute la ville et surtout de la presse, qui la surnomme le « Dahlia noir ».
La jeune Georgiana Spencer, âgée de seulement 17 ans, se marie avec William Cavendish, duc de Devonshire, mariage arrangé uniquement dans le but de donner un héritier mâle au duc. Les illusions de Georgiana se dissipent rapidement quand elle découvre les infidélités de son mari, qui va jusqu'à inviter Charlotte, une de ses enfants illégitimes à séjourner dans leur demeure, et demande même à sa femme de s'entraîner à être une bonne mère avec la jeune enfant.
A Moscou, la rivalité entre le Night Watch et le Day Watch continue.
Alors qu'Anton Gorodetsky tente de retrouver son fils, il se retrouve accusé du meurtre d'une Autre de l'Ombre.
Dans les années 1950, on se prépare à fêter Noël dans une grande demeure bourgeoise. Une découverte macabre bouleverse cependant ce jour de fête... Le maître de maison est retrouvé mort, assassiné dans son lit avec un poignard planté dans le dos. Autour de lui, huit femmes. Chacune a un secret jalousement gardé qu'il faut mettre au jour, car l'une d'entre elles est coupable. Mais laquelle ?
The Hours raconte une journée cruciale des vies respectives de trois femmes de différentes époques, dont les destins sont interconnectés par le roman de Virginia Woolf, Mrs Dalloway.
À la mort de leur père, quatre enfants, blessés et malmenés par la vie, reviennent dans la maison où ils ont passé leur enfance. Ils se retrouvent donc contraints de cohabiter sous le même toit pendant une semaine, en compagnie de leur mère indiscrète et de leurs conjoints, ex-conjoints et anciens amoureux transis… En affrontant leur passé et en tentant de recoller les morceaux, ces êtres qui s'aiment et se connaissent mieux que personne parviendront peu à peu à renouer des liens, souvent passionnels, et toujours affectueux. Au milieu du chaos, des rires partagés, des peines de cœur et des deuxièmes chances, ils nous embarquent, comme seules les familles savent le faire, dans un périple émotionnel mouvementé qui nous renvoie au meilleur de nous-mêmes.
À New York en fin 1952, la jeune et timide Thérèse (Rooney Mara), passionnée de photo et modeste vendeuse dans un grand magasin de Manhattan, fait la connaissance d’une riche, élégante et séduisante cliente, Carol (Cate Blanchett), mère d’une petite fille et en instance de divorce. Une relation se noue entre les deux femmes, elles passent de plus en plus de temps ensemble. La relation de Thérèse avec son fiancé se délite et celle de Carol avec son mari (Kyle Chandler) prend un tour dramatique. Ce dernier, toujours amoureux de son épouse, traque les deux femmes, les fait suivre par un détective privé. Carol rompt alors avec Thérèse, voit un psychothérapeute, se plie aux conventions sociales de son milieu, puis de guerre lasse abandonne la garde de sa fille à son mari . Elle prend alors son indépendance, trouve un métier, propose à Thérèse de vivre avec elle. Celle-ci qui vit maintenant dans un milieu journalistique jeune et bohème est tentée puis s'éloigne, elle ne peut trouver sa place dans le monde raffiné, luxueux et feutré de Carol.
En Corée occupée par les Japonais, un escroc opérant sous le nom du « comte Fujiwara » projette de séduire une héritière japonaise nommée Mademoiselle Hideko, puis de l'épouser et de l'enfermer dans un asile pour lui voler son héritage. Il engage une voleuse nommée Sook-hee vivant dans une famille d'escrocs afin qu'elle devienne la camériste de Hideko et sa confidente pour encourager cette dernière à épouser le « comte ».
Des jeunes gens originaires de différents pays, ethnies ou environnements sociaux, sont forcés de se côtoyer lorsqu'ils intègrent l'Université de Colombus, où le professeur Maurice Phipps (Laurence Fishburne) enseigne les sciences politiques. Les étudiants devront faire face à de nombreux problèmes tels que les difficultés financières, leur propre sécurité, du harcèlement sexuel, des doutes personnels, et les questions qu'ils se posent à propos de leur avenir, leur sexualité, et le dernier mais non le moindre, le racisme. Évoluant dans l'angoisse de l'échec, et poussés à la réussite en classe, en sport ou dans leurs relations sociales, ils voient leurs nerfs encore plus ébranlés par leur manque d'expérience, l'orgueil, leur incompréhension du monde autour d'eux et leur besoin d'y trouver leur place.