The Universal Language est un nouveau documentaire du réalisateur nominé aux Oscars Sam Green (The Weather Underground). Ce film de 30 minutes retrace l'histoire de l'espéranto, une langue artificielle créée à la fin des années 1800 par un ophtalmologiste polonais qui croyait que si tout le monde parlait une langue commune, l'humanité pourrait vaincre le racisme et la guerre. À juste titre, le mot « espéranto » signifie « celui qui espère ».
Lorsque Daniel Plainview entend parler d'une petite ville de Californie où l'on dit qu'un océan de pétrole coulerait littéralement du sol, il décide d'aller tenter sa chance et part avec son fils H.W. à Little Boston. Dans cet endroit perdu où chacun lutte pour survivre et où l'unique distraction est l'église animée par le charismatique prêtre Eli Sunday, Plainview et son fils voient le sort leur sourire.Même si le pétrole comble leurs attentes et fait leur fortune, plus rien ne sera comme avant : les tensions s'intensifient, les conflits éclatent et les valeurs humaines comme l'amour, l'espoir, le sens de la communauté, les croyances, l'ambition et même les liens entre père et fils sont mis en péril par la corruption, la trahison... Et le pétrole.
Diane est une très belle femme et une brillante avocate, dotée d'une forte personnalité. Malheureuse dans son mariage, elle est divorcée et est désormais enfin libre de rencontrer l’homme de sa vie. Un jour, un certain Alexandre l'appelle car il a retrouvé le téléphone portable perdu par Diane. L'homme est courtois, drôle, cultivé. Diane tombe immédiatement sous le charme. Ils prennent alors rendez-vous. Mais il y a un problème. Alexandre mesure 1,36 m.
Se sentant très coupable de la mort de la fille de sa fiancée qui lui avait confié la garde, un jeune artiste sourd, déprimé et en colère, s'est introverti jusqu'à ce qu'il ressente une nouvelle vie avec sa nouvelle petite-amie, tout en se pardonnant, en redécouvrant sa muse et en surveillant son amour…
Le film retrace l'épopée des Indiens Navajos recrutés par l'armée américaine durant la Seconde Guerre mondiale et affectés aux postes d'opérateurs radio. L'utilisation de leur langue rare sécurisait les communications, les Japonais étant dans l'incapacité de traduire les messages qu'ils interceptaient. Pour leur protection, ou plutôt celle du code, ils sont chacun affublés d'un ange gardien (Nicolas Cage et Christian Slater). Ces anges gardiens doivent absolument protéger la vie de ces Navajos. Mais s'il existe un quelconque risque que leur Navajo tombe entre les mains des Japonais, alors l'ange gardien doit se transformer en ange exterminateur : il faut protéger le code à tout prix.