Fin 1918, les Allemands abandonnent Marville après l'avoir piégé en y cachant un Blockhaus rempli de bombes qui doivent exploser à minuit quand l'armée britannique aura libéré la ville. Un soldat britannique, Charles Plumpick (Alan Bates), est chargé de localiser la machine infernale et de la désamorcer avant qu'elle n'explose. Sur place, il découvre une cité bien évidemment désertée par ses habitants, à l'exception des pensionnaires de l'asile d'aliénés. Ceux-ci l'accueillent à bras ouverts ; ils reconnaissent en lui - par un rocambolesque concours de circonstances - leur roi (« roi de cœur », cousin du « duc de Trèfle (Jean-Claude Brialy) »). Intronisé comme il se doit lors d'une cérémonie officielle à la cathédrale de la ville, Plumpick se laisse séduire par ses nouveaux compagnons, qui ont pour noms, Xénophon, duc de Trèfle précédemment cité, la duchesse Marie-Charlotte (Françoise Christophe) et leurs enfants, Brunehaut (Madeleine Clervanne), Gontran (Louis Jojot) et Albéric (Pierre Palau), le Général Géranium (Pierre Brasseur), l'évêque, Monseigneur Marguerite (Julien Guiomar), monsieur Marcel, le coiffeur, (Michel Serrault) et la tenancière de la maison close, madame Églantine (Micheline Presle) et l'une de ses pensionnaires, la jolie Coquelicot (Geneviève Bujold). Il n'en oublie pas sa mission pour autant.
Pour permettre à Oliver d'oublier un chagrin d'amour, Stan et Oliver s'engagent dans la Légion où ils découvrent que la jeune femme objet du tourment d'Oliver est en fait une femme mariée à un légionnaire... Nos deux compères décident dès lors d'annoncer au Colonel qu'ils ne veulent plus séjourner dans la Légion. Ils se retrouvent dans le Rif où ils repoussent des arabes attaquant un fort
A Alger, durant les « événements ». C'est l'histoire de Jean, qui, de retour dans la capitale pour rendre visite à son père malade, a d'abord hâte de retourner en France où il vit depuis plusieurs années et où il a laissé sa femme et son fils. Mais au contact des gens du cru et assailli par les souvenirs, il va faire l'expérience intime de son appartenance à cette terre qu'il avait rejetée.
Le film, à travers le destin croisé de plusieurs personnes, retrace les évènements qui ont mené au massacre du 17 octobre 1961 à Paris, où plusieurs dizaines à centaines de Nord-Africains furent tués par la police lors d'une manifestation pacifique en faveur de l'indépendance de l'Algérie et contre le couvre-feu auquel ils étaient astreints.
Dans une base militaire française à Djibouti, un groupe de légionnaires entraînés dans des conditions extrêmes par l'adjudant-chef Galoup voit arriver la nouvelle recrue Sentain, à la beauté et au charme saisissants. Le commandant de la base, Forestier, remarque Sentain, qui de plus se montre héroïque en venant en aide à un camarade légionnaire. La jalousie de Galoup envers Sentain, exacerbée par une attirance refoulée, va alors se déchaîner. L'adjudant-chef, brisant tous les articles du code d'honneur du Légionnaire, punit Sentain, sabote sa boussole et l'envoie en marche forcée dans le désert. Sentain disparaît et Galoup sera traduit en cour martiale.
Le film se déroule en 1962, dans le Sud-Ouest de la France. Deux adolescents, François et Maïté, vont à un mariage. Un militaire y épouse une fille du pays pour éviter de repartir en Algérie y faire la guerre. Il demande à la mère de Maïté, Madame Alvarez, responsable de la cellule locale du Parti communiste français, de l'aider à déserter, mais elle refuse. François rencontre le frère de l'appelé, Serge, qui lui demande de l'aider pour ses cours de français. François accepte et, en devenant plus intime avec Serge, se rend compte qu'il préfère les garçons. Il se confie à Maïté qui, elle, ne se sent attirée par personne et rejette pour le moment la sexualité.
L'histoire de huit journées de guerre. En mai 1954, durant la guerre d'Indochine, la 317e section locale supplétive composée de quatre Français et de quarante-et-un Laotiens reçoit l'ordre d'abandonner le petit poste isolé de Luong Ba à la frontière du Laos, pour rallier une colonne partie au secours du camp retranché de Diên Biên Phu.
Sept façons différentes de présenter les armées nord-vietnamiennes en pleine guerre contre les Etats-Unis. Un conflit opposant les riches aux pauvres sur fond d'indignation ou parfois d'indifférence de la part de l'opinion publique mondiale.
Rescapés de la guerre d'Algérie et réfugiés dans des camps tunisiens, des enfants algériens témoignent, à partir de dessins qu'ils ont eux-mêmes réalisés, des événements tragiques qu'ils ont vécus. Projeté clandestinement, saisi dix-sept fois et censuré pendant douze ans, un film majeur sur la guerre d'Algérie.
Le film retrace la bataille de Verdun qui s'est déroulée en 1916 lors de la Première Guerre mondiale. C'est autant un documentaire qu'une œuvre de fiction.
Brisé par la perte de sa famille dans un attentat terroriste, l'officier Joshua Rhodes est animé par la vengeance. Aveuglé par la haine, il abat froidement des innocents, avant de s'engager dans la Légion étrangère pour échapper à la justice. Décidé à poursuivre ses représailles jusqu'au bout, il quitte la Légion pour devenir mercenaire et combattre auprès de l'armée serbe pendant la guerre de Bosnie (1991-1995).
Dans une ville de province sous l'Occupation, des lycéens décident d'agir contre l'armée allemande. Après un premier attentat contre un bâtiment, le professeur de chimie est arrêté. Le groupe se prépare dès lors à le libérer en s'attaquant à la Kommandantur de la ville ; mais il doit d'abord se procurer des armes.