Grièvement blessé, Milan se remémore les dix jours d'enfer qu'il vient de traverser, coincé dans un tunnel avec son détachement. Il se souvient surtout de son amitié brisée artificiellement avec son ami musulman Halil.
Un homme accepte un défi d'agir comme le Premier Ministre du Tamil Nadu pour une journée seulement, et fait une telle réussite de celui-ci que bientôt il est impliqué dans les intrigues politiques...
The film makes note of how the invasion of Iraq lasted 800 hours but produced over 20,000 hours of video, and focuses initially on the Vietnam War as the first war ever televised "live". During this war the American government allowed reporters onto the battlefield with little supervision or control. The documentary follows the way The Pentagon learned from this experience to control access by journalists to battle areas in subsequent wars, through the Invasion of Grenada (where journalists were excluded completely) to the first Gulf War, where news packages were provided by the military, to the embedded journalism of the Iraq War. The theme of the film is the progressive tightening of control by the US military on the contact journalists have with soldiers and civilians in the war zone, in order that (as the film says at the end) "never again will television raise the moral and political questions that face a people at war.
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, un vaste domaine palatial de Floride, en prononçant dans un dernier souffle « rosebud » (bouton de rose) et en laissant échapper de ses mains une boule à neige. Une nécrologie en forme d'actualités cinématographiques raconte l'histoire de la vie de Kane, un éditeur de journaux extrêmement riche. La mort de Kane fait sensation dans le monde entier et le journaliste, Jerry Thompson, a pour mission de découvrir le sens du mot "Rosebud". Est-ce un lieu caché, le surnom d'une femme ?... Pour percer le mystère Thompson va rencontrer tous ceux qui ont connu Kane, amis et associés; qui tous sont devenus des vieillards. Ces interviews sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Deux photographes professionnels sans clients, Vinod Chopra (Naseeruddin Shah) et Sudhir Mishra (Ravi Baswani) se voient confier un reportage par l'éditrice du magazine «Khabardar», Shoba Sen. Il s'agit d'enquêter sur les accords illégaux conclus entre un entrepreneur immobilier, Tarneja, et un fonctionnaire municipal, D'Mello (Satish Shah), et impliquant également un deuxième entrepreneur, l'ivrogne Ahuja (Om Puri). Alors qu'ils développent d'autres photos, Vinod et Sudhir s'aperçoivent que l'une d'entre elles montre, à l'arrière plan, Tarneja en train de tirer sur quelqu'un. Ils retournent dans le parc où ils ont pris cette photo et trouve le cadavre de la victime, D'Mello. Mais ce dernier disparaît mystérieusement, ne laissant sur place qu'un bouton de manchette en or. Ils découvrent l'autre bouton de la paire un peu plus tard, lors de l'inauguration d'un pont dédié au défunt D'Mello, censé être mort de maladie. De nuit, Sudhir et Vinod déterre le cercueil contenant le corps de D'Mello, qui était enterré à proximité du pont. Ils prennent des photos du corps dans le but de prouver la culpabilité de Tarneja, avant que le cadavre disparaisse une fois de plus, et arrive accidentellement en la possession d'Ahuja. Lorsque Sudhir et Vinod s'aperçoivent que c'est Ahuja qui a le corps, ils en informent Shoba Sen, qui décide de faire chanter Ahuja. Celui-ci tente alors de faire assassiner Shoba Sen et les deux photographes. Sudhir et Vinod s'aperçoivent enfin que Shoba Sen cherche plus à s'enrichir qu'à faire éclater la vérité, et s'emparent du cadavre. Il s'ensuit une course poursuite à travers Bombay au cours de laquelle Sudhir, Vinod ainsi que Shoba et Ahuja qui les poursuivent sont amenés à se dissimuler (ainsi que le cadavre) sous des burqas. Tous les personnages finissent par faire irruption au milieu d'une représentation d'un épisode du Mahabharata et se font passer pour les acteurs. Le cadavre est quant à lui déguisé pour passer pour Draupadi. Lorsque finalement la police intervient Sudhir et Vinod révèlent toute l'affaire, mais ce sont finalement eux qui sont envoyés en prison.
Une mission extra-terrestre arrive dans le désert du Rajasthan et dépose l'un des siens en mission de reconnaissance. Celui-ci croise un voleur qui lui dérobe l'unique objet qui lui sert de communication avec les siens. Nu et désemparé, il cherche à le retrouver.
Le réseau UBS est racheté par le conglomérat CCA. Franck Hackett décide alors de renvoyer Howard Beale, présentateur du journal télévisé depuis 20 ans et en perte d'audimat, malgré les protestations de Max Schumacher, rédacteur en chef. Lors de ses dernières émissions, Beale devient de plus en plus offensant, menaçant de se suicider et jurant en direct à la télévision. Flairant le bon coup médiatique, Diana Christensen, directrice des programmes, donne carte blanche à Beale. Lorsque Beale hurle à des millions de téléspectateurs de se rebeller contre le système, c'est le carton d'audience. Hackett décide alors de renvoyer Schumacher et donne les pleins pouvoirs à Christensen. Elle transforme alors l'émission de Beale en une idiotie commerciale où le présentateur, devenu totalement fou, crie des inepties populistes au public. Dans le même temps, elle crée une série documentaire tapageur sur un groupe terroriste communiste. En parallèle, Schumacher quitte femme et enfants pour vivre avec Christensen.
Ellie Andews, jeune fille gâtée, échappe à l'emprise de son père millionnaire qui veut l'empêcher d'épouser un play-boy sans avenir. En route pour New York, elle rencontre Peter Warne, journaliste au chômage. Mais le bus tombe en panne et le couple impromptu se lance dans une folle randonnée improvisée.
Christopher McCandless est un étudiant américain brillant qui vient d'obtenir son diplôme et qui est promis à un grand avenir. Rejetant les principes de la société moderne, après un dîner dans un restaurant avec ses parents, pour fêter son diplôme, il décide de partir sur les routes, sans prévenir sa famille. Il renonce ainsi au rêve américain pour une vie aventurière. Il brûle ses papiers et envoie toutes ses économies à Oxfam. Il part en voiture vers le sud des États-Unis. Il découvre l'Arizona, le Grand Canyon, la Californie et trouve divers petits boulots à travers le Dakota ou encore le Colorado afin de financer le reste de son voyage. Il arrive au Mexique, lorsque lui vient l'idée d'aller en Alaska. Il met tout en œuvre pour y arriver et parvient finalement à Fairbanks en auto-stop. Il découvre les montagnes enneigées et se réfugie dans un bus abandonné. Il y restera une centaine de jours. Plus de trois mois de solitude, de compréhension de la nature et de l'être humain. Il découvre en Alaska le bonheur toujours recherché, une paix spirituelle et une sorte de paradis pur et sain. Au bout de deux ans de voyage, il décide qu'il est temps de rentrer chez lui. Mais il est bloqué par la rivière et se voit contraint de rester dans le bus, en attendant que l'eau du fleuve descende.
En 1976, le prêtre John Geoghan est arrêté pour viol sur mineur à Boston. Dans la nuit, un prêtre de haut rang se rend au commissariat pour négocier avec la mère de l'enfant et laisse Geoghan ressortir libre alors que l'avocat général demande aux agents présents de ne pas ébruiter l'affaire.
Charles Tatum est un reporter plein d'ambition et sans scrupules qui s'est déjà fait renvoyer à plusieurs reprises de grands journaux du pays. Au début du film, il travaille pour le journal local d'Albuquerque, mais au bout d'un an il n'a toujours rien eu de sensationnel à se mettre sous la dent. Alors qu'il est envoyé couvrir une chasse au crotale, il apprend qu'un homme est bloqué dans la galerie d'une montagne (qui abrite des tombes indiennes vieilles de quatre cents ans) où il cherchait des poteries et autres bijoux indiens enfouis pour ensuite les vendre à un bon prix.
La dolce vita est composée d'une série d'épisodes en apparence déconnectés. La structure du scénario n'est pas sans rappeler celle des films à sketches chers au cinéma italien et auxquels Fellini a lui-même eu recours plusieurs fois. Situé à Rome en 1959, le film suit, sur ce mode apparemment décousu, les pérégrinations de Marcello Rubini (joué par Marcello Mastroianni), un jeune provincial aux aspirations littéraires, devenu chroniqueur dans un journal à sensations.
Ann, jeune princesse, fait la tournée des capitales européennes, soumise à un protocole immuable. Arrivée à Rome, elle décide de fuguer et quitte le palais. Son médecin lui ayant administré un sédatif, elle s'endort sur un banc du Colisée et attire l'attention d'un jeune et séduisant reporter, Joe Bradley. Celui-ci l'installe dans sa maison et découvre le matin que la jeune fille n'est autre que la princesse Ann qu'il devait interviewer le jour même.
Rane est un film sur la Serbie du début des années 1990, une période désastreuse tant sur le plan moral que matériel. Deux jeunes garçons rêvent de participer à une émission de télévision diabolique...
J.J. Hunsecker est l'éditorialiste le plus influent de New York. Il a décidé d'empêcher sa sœur d'épouser un guitariste de jazz. Pour cela, il demande à Sidney Falco, attaché de presse minable et sans scrupules, de tout faire pour empêcher cette union. Ce dernier, aux abois, n'hésitera pas à se compromettre pour arriver à ses fins.