1972. Jeux olympiques de Munich. 121 nations, 7 123 athlètes. Pour la première fois, les chaînes de télévision du monde entier sont là pour retransmettre l'évènement.
La première partie d'Olympia, un documentaire sur les Jeux olympiques de 1936 à Berlin, réalisé par la réalisatrice allemande Leni Riefenstahl. Le film a été projeté dans les salles en 1938 et à nouveau en 1952 après la chute du régime nazi.
Lors des Jeux olympiques d'été de 1956 de Melbourne, les équipes masculines de water-polo de Hongrie et de l'Union soviétique doivent s'affronter en demi-finales, le match ayant lieu peu après l'Insurrection de Budapest écrasée par l'Armée rouge. L'équipe hongroise n'a été informée des détails de la répression brutale effectuée par les Soviétiques qu'à son arrivée en Australie, et l'animosité entre les deux équipes est à son comble. Le match entrera dans l'histoire des Jeux Olympiques sous le nom de Bain de sang de Melbourne. Le documentaire est axé sur le joueur hongrois Ervin Zádor et est narré par Mark Spitz.
The film provides an insight into an incident at the 1968 Summer Olympics which saw two United States athletes, Tommie Smith and John Carlos, give the black power salute from the victory dais after the 200 metres final. The film focuses on the third man on the dias, silver medal winner Peter Norman, who showed his support for Smith and Carlos by donning an "Olympic Project for Human Rights" (OPHR) badge on his way to the podium. It was also Norman who suggested to Smith and Carlos that they share the black gloves used in their salute, after Carlos had left his gloves in the Olympic Village. This is the reason for Smith raising his right fist, while Carlos raised his left. Asked later about his support of Smith and Carlos' cause by the world's press, Norman said he opposed his country's government's White Australia policy.
En 1996, Richard Jewell fait partie de l'équipe chargée de la sécurité des Jeux olympiques d'été de 1996 d'Atlanta. Il est l'un des premiers à découvrir la présence d'une bombe et sauve plusieurs vies. Mais le héros va bientôt se retrouver suspecté de terrorisme. Richard devient alors l'homme le plus détesté du pays.
À la suite de la prise d'otages de Munich organisée par Septembre noir, le gouvernement israélien décide d'exécuter plusieurs responsables palestiniens liés à cet attentat.
Michael « Eddie » Edwards n’a jamais été sportif. Il rêve cependant depuis l'enfance de participer aux Jeux olympiques. Au fil du temps, son envie et sa volonté demeurent intactes, malgré son niveau sportif, le manque de soutien et les diverses moqueries qui n’ont jamais entamé sa volonté. À la surprise de beaucoup, Eddie parvient à participer à l'épreuve de saut à ski aux Jeux olympiques d'hiver de 1988 à Calgary. Avec l’aide de Bronson Peary, un entraîneur aussi atypique que lui, Eddie va marquer les esprits à sa façon.
Après des vues idylliques de la vallée embrumée, Arnold Fanck montre l'acheminement des compétiteurs et des spectateurs par le chemin de fer rhétique et leur arrivée à Saint-Moritz. S'ensuivent des vues des sommets du massif de l'Engadine, du Piz Bernina et du Piz Palü. Après des vues sur les sommets empreints de sérénité, Fanck montre des sportifs qui skient en altitude vêtus uniquement d'un caleçon. Dans la vallée, les sportifs se préparent fébrilement (quelques séquences sont au ralenti) et présentent les nouveautés technologiques comme cette nouvelle fixation pour chaussures de ski.
Dan est un étudiant à l'université ainsi qu'un gymnaste localement célèbre qui rêve de gagner un championnat national. Le succès sourit à Dan Millman, il est un athlète talentueux, riche et courtisé par la gent féminine. Dans une station-service, il rencontre un vieil homme mystérieux qui semble le connaitre plus que Dan lui-même et dit avoir le pouvoir de le rendre plus fort physiquement. Il sera surnommé « Socrate ».
En 1934, en pleine période de ségrégation raciale, Jesse Owens arrive à l'université d'État de l'Ohio pour travailler avec les meilleurs entraîneurs de l'époque. Ce petit‐fils d’esclave va y développer une relation étonnante avec un entraîneur blanc, Larry Snyder. Devenu entraineur d’avant‐garde, obsédé par la réussite, il ne fait aucune distinction de couleur entre ses protégés, contrairement à ses collègues. Les deux athlètes n'ont qu'un objectif : les Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin.
Le film s'inspire librement de l'histoire vécue de deux athlètes britanniques concourant aux Jeux olympiques d'été de 1924 à Paris. L'Anglais Harold Abrahams (interprété par Ben Cross), juif, surmonte l'antisémitisme et la barrière de classe pour pouvoir se mesurer à celui que l'on surnomme l'Écossais volant, Eric Liddell (Ian Charleson) au 100 mètres. Liddell, fervent pratiquant protestant presbytérien, déclare cependant forfait car ses convictions lui interdisent de courir un dimanche. À la place, Liddell est autorisé à prendre le départ du 400 mètres, un jeudi.