En 1996, Richard Jewell fait partie de l'équipe chargée de la sécurité des Jeux olympiques d'été de 1996 d'Atlanta. Il est l'un des premiers à découvrir la présence d'une bombe et sauve plusieurs vies. Mais le héros va bientôt se retrouver suspecté de terrorisme. Richard devient alors l'homme le plus détesté du pays.
En 1934, en pleine période de ségrégation raciale, Jesse Owens arrive à l'université d'État de l'Ohio pour travailler avec les meilleurs entraîneurs de l'époque. Ce petit‐fils d’esclave va y développer une relation étonnante avec un entraîneur blanc, Larry Snyder. Devenu entraineur d’avant‐garde, obsédé par la réussite, il ne fait aucune distinction de couleur entre ses protégés, contrairement à ses collègues. Les deux athlètes n'ont qu'un objectif : les Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin.
Michael « Eddie » Edwards n’a jamais été sportif. Il rêve cependant depuis l'enfance de participer aux Jeux olympiques. Au fil du temps, son envie et sa volonté demeurent intactes, malgré son niveau sportif, le manque de soutien et les diverses moqueries qui n’ont jamais entamé sa volonté. À la surprise de beaucoup, Eddie parvient à participer à l'épreuve de saut à ski aux Jeux olympiques d'hiver de 1988 à Calgary. Avec l’aide de Bronson Peary, un entraîneur aussi atypique que lui, Eddie va marquer les esprits à sa façon.
Le documentaire nous intègres dans le monde de ce sport méconnu et dans le quotidien de l'équipe nationale canadienne de natation synchronisée durant les mois précédant les jeux olympiques d'été de 2016 qui ont lieu à Rio de Janeiro. On retrace d'ailleurs le parcours à la fois inspirant et touchant de deux athlètes de l'équipe, Marie-Lou Morin et Claudia Holzner.
Samir et Stéphane, deux amis de Grenoble, fabriquent des skis de fond de compétition de haute qualité, mais leur entreprise est au bord de la faillite le jour où l'athlète suédois qui devait participer aux Jeux Olympiques avec des skis de leur marque décide de se tourner vers un autre fabricant. Stéphane convainc alors Sam de reprendre le ski de fond et de tenter de se qualifier pour les Jeux sous les couleurs de l'Algérie, le pays de son père. Un défi immense mené au prix d'un entraînement intensif car Sam, qui a passé la quarantaine, n'est plus aussi en forme que par le passé. La fédération algérienne lui promet une bourse de 20 000 dollars pour ses frais sportifs, ce qui va lui donner l'occasion de revenir en Algérie et de redécouvrir ses racines et sa famille, lui qui ne parle même pas l'arabe. Le défi sportif est immense, tant sur le plan physique que parce que la survie de l'entreprise dépend de sa réussite. Son père, qui a tout fait pour que ses enfants réussissent en France, y croit, et prépare aussi un beau cadeau à Sam : lui offrir tous ses oliviers au bled pour qu'il redevienne un jour, comme lui, un paysan algérien actif fier de ses valeurs ancestrales.
En Gironde, à la fin des années 1970, Serge Durand (Daniel Auteuil), crée un centre équestre pour que son fils Pierre, adolescent s'y entraine, pour participer aux concours régionaux de saut d'obstacles. Serge y assiste toujours. Serge achète à un voisin Henry Dalio (Jacques Higelin) un jeune cheval noir, Jappeloup, de petite taille et imprévisible, mais doué d'une détente extraordinaire. Pierre (Guillaume Canet) a obtenu son baccalauréat. Il préfère arrêter les concours hippiques, pour se consacrer à ses études supérieures à Bordeaux et devenir avocat.
The athlete Gretel Bergmann wins the high jump championships in the United Kingdom. For the Nazi racial laws prevented her continuing her training in Germany, being a Jew, her father had sent her to England, where she could live more safely and continue her sporting career.
Astérix et Obélix doivent remporter les Jeux olympiques pour permettre au jeune Gaulois Alafolix d'épouser la Princesse Irina et lutter contre le terrible Brutus, prêt à tous les stratagèmes pour lui aussi gagner les Jeux et se débarrasser de son père adoptif : Jules César.
The film provides an insight into an incident at the 1968 Summer Olympics which saw two United States athletes, Tommie Smith and John Carlos, give the black power salute from the victory dais after the 200 metres final. The film focuses on the third man on the dias, silver medal winner Peter Norman, who showed his support for Smith and Carlos by donning an "Olympic Project for Human Rights" (OPHR) badge on his way to the podium. It was also Norman who suggested to Smith and Carlos that they share the black gloves used in their salute, after Carlos had left his gloves in the Olympic Village. This is the reason for Smith raising his right fist, while Carlos raised his left. Asked later about his support of Smith and Carlos' cause by the world's press, Norman said he opposed his country's government's White Australia policy.
À moins d'un an des Jeux olympiques d'Athènes, les athlètes de Corée du Sud se préparent afin de remporter le plus de médailles d'or possible. L'équipe féminine de handball veut à cette occasion retrouver de son prestige. D'anciennes joueuses ayant connu la gloire en 1988 et 1992 et de jeunes recrues voulant s'affirmer et connaître à leur tour la victoire sont ainsi réunies dans une même équipe