Jackie Dorsey, la fille de deux champions olympiques de patinage artistique, nourrit depuis toujours l'ambition de briller à son tour sur la glace. Après s'être blessée, la jeune femme est envoyée par ses parents en vacances à Los Angeles pour se reposer. Sur place, elle rencontre Alex Harrison, un surfeur. En dépit du manque d'expérience de ce dernier, elle décide de faire équipe avec lui pour les prochains Jeux olympiques...
Dans un petit village de callabre des annees soixante, Mimi, jeune adolescent, ne pense qu'a une chose: courir, pieds nus a travers la campagne. Il court par plaisir. C'est ainsi qu'il attire l'attention d'un vieux chauffeur de car, Felice qui le prend sous son aile malgre l'opposition de Nicola, le pere de Mimi qui veux que son fils étudie pour avoir une autre vie que la sienne.
A scientist and neo-Nazi doctor named Serafin has developed a way to create a physically superior human being. He tests it out on his adopted daughter, Goldine.
Après des vues idylliques de la vallée embrumée, Arnold Fanck montre l'acheminement des compétiteurs et des spectateurs par le chemin de fer rhétique et leur arrivée à Saint-Moritz. S'ensuivent des vues des sommets du massif de l'Engadine, du Piz Bernina et du Piz Palü. Après des vues sur les sommets empreints de sérénité, Fanck montre des sportifs qui skient en altitude vêtus uniquement d'un caleçon. Dans la vallée, les sportifs se préparent fébrilement (quelques séquences sont au ralenti) et présentent les nouveautés technologiques comme cette nouvelle fixation pour chaussures de ski.
The film provides an insight into an incident at the 1968 Summer Olympics which saw two United States athletes, Tommie Smith and John Carlos, give the black power salute from the victory dais after the 200 metres final. The film focuses on the third man on the dias, silver medal winner Peter Norman, who showed his support for Smith and Carlos by donning an "Olympic Project for Human Rights" (OPHR) badge on his way to the podium. It was also Norman who suggested to Smith and Carlos that they share the black gloves used in their salute, after Carlos had left his gloves in the Olympic Village. This is the reason for Smith raising his right fist, while Carlos raised his left. Asked later about his support of Smith and Carlos' cause by the world's press, Norman said he opposed his country's government's White Australia policy.
Les Charlots sont en vacances dans un petit coin de Provence à Graveson, et les vacances ne manquent pas d'entrain : les entrées à cyclomoteur au village voisin bien remarquées, une vache qui ne cesse de faire ses petits besoins dans la tente, et un chien qui ne cherche qu'à manger le jambon suspendu. Mais l'arrivée de la flamme olympique va vite changer ça : la fille de l'épicier qui est aimée par un des Charlots va tomber amoureuse du sportif. Perdant peu à peu ses chances avec elle, Gérard fera une tentative de suicide bien sûr vouée à l'échec. Alors les Charlots montent en ville pour assister aux JO (ceux de 1976 à Paris, totalement imaginaires) et également retrouver la fille de l'épicier. Mais collectionnant les gaffes auprès des sportifs musclés qui ne vont pas tarder à leur en vouloir, ils volent des vélos aux coureurs de l'équipe de France. Or ils remporteront la course et se feront engager par le directeur de cette équipe. Multipliant les médailles d'or dans toutes les épreuves, il ne leur reste plus qu'à accomplir le marathon.
Le film Olympia 52 peut être considéré comme un documentaire. il s'agit d'une commande de la Direction Générale de la Jeunesse et des Sports. Le film de Chris Marker s'attache à montrer ce que le public présent dans les tribunes peut voir du déroulement des épreuves olympiques. On y retrouve donc les images des compétitions mais aussi des scènes de préparation des athlètes. Cela donne un rythme particulier au film avec une alternance de "temps forts" et de "temps faibles". On peut également observer de nombreux plans de coupes montrant le public dans les tribunes. Ce dernier point est né d'une contrainte imposée par le comité olympique pour le tournage des films amateurs depuis les gradins. Chris Marker en a fait un parti pris qui donne au film une autre vision du sport plus centrée sur ceux qui le regardent que ceux qui le pratiquent.
À moins d'un an des Jeux olympiques d'Athènes, les athlètes de Corée du Sud se préparent afin de remporter le plus de médailles d'or possible. L'équipe féminine de handball veut à cette occasion retrouver de son prestige. D'anciennes joueuses ayant connu la gloire en 1988 et 1992 et de jeunes recrues voulant s'affirmer et connaître à leur tour la victoire sont ainsi réunies dans une même équipe