Deakin est en apparence un tricheur qui se fait prendre sur le fait et emmener dans un train de soldats qui doit se rendre à Fort Humboldt, pour y renforcer une garnison décimée par une épidémie de choléra. Mais les passagers du train sont curieusement éliminés les uns après les autres.
Jerzy, élégant quadragénaire, quitte Łódź pour la presqu'île d'Hel, sur la Mer Baltique (Pologne), à bord d'un train bondé. Ayant oublié son billet, il monte dans le wagon-lits et loue, auprès du conducteur (c'est une femme) une cabine "Messieurs" à son usage exclusif. Mais celle-ci est déjà investie par une ravissante blonde. Il tente de l'en faire sortir avec l'aide de l'employée, qui évoque le règlement, sans succès. Las, il abandonne. La relation tendue s'apaise peu à peu, les deux voyageurs se parlent. Mais au cours de la nuit, la police fait irruption dans le train et interpelle l'homme, le soupçonnant d'avoir assassiné sa femme.
Dans la France des années 1970, Jean-Claude et Pierrot sont deux voyous qui tuent le temps comme ils peuvent en commettant des larcins. Après avoir harcelé une dame avec un chariot de supermarché et lui avoir volé son sac, ils « empruntent » une DS pour faire un tour, puis la replacent à l'endroit même où ils l'avaient dérobée. Le propriétaire, patron d'un salon de coiffure, les surprend à leur retour et les menace avec un revolver en attendant l'arrivée de la police. Jean-Claude et Pierrot parviennent à s'enfuir, mais ce dernier est blessé à l'entre-jambe par un coup de feu. Dans leur fuite, ils emmènent Marie-Ange, l'employée et maîtresse du patron du salon de coiffure. Commence alors une fuite en avant pour le trio.
Abordé dans un compartiment de première classe d'un train par une jeune femme désemparée qui s'offre à lui, un garagiste s'installe dans la vie de celle-ci contre son gré.
Alors qu'il va devenir d'un moment a l'autre un heureux papa, Alberto est soudain assailli par un remords qui l'empeche de fermer l'oeil. Il doit a tout prix eponger une dette importante qu'il avait contractee aupres de son pere lorsqu'il etait adolescent a Rome. Or l'echeance est justement le moment precis ou il sera lui-meme papa. Il ne lui reste tout au plus que vingt-quatre heures pour se defaire de sa dette.
Montant à bord d'un train de nuit, Madame Tutli-Putli se retrouve au cœur d'une angoissante aventure métaphysique où la réalité se confond avec le rêve et où le mystère côtoie le suspense.
Le film commence par la mort d'un marchand d'armes, Constantin Benard Shah, et son enterrement qui réunit, autour de sa veuve Amaranthe, un quatuor de barbouzes. Il y a son faux cousin français Francis Lagneau, son faux psychanalyste allemand Hans Müller, son faux frère de lait soviétique Boris Vassilieff et son faux confesseur suisse Eusebio Cafarelli. Tous sont là pour récupérer les secrets et l'héritage de l'industriel (des brevets sur des armes atomiques), mandatés par leurs gouvernements respectifs. Il faut aussi compter avec les dollars de l'Américain O'Brien et la présence de nombreux Chinois dans les passages secrets du château.
Barnie aime sa femme, sa maîtresse et son amant. Il travaille à Londres, mais habite en France. Le jour de son anniversaire, il reçoit trois cadeaux identiques, chacun venant respectivement de ses trois amours : trois week-end en amoureux à Venise en Orient-Express, le 1er mai. Pour préserver son mariage, il renvoie les deux billets à ses amoureux clandestins. Cependant, Barnie se trompe en les postant. Ainsi, Mark reçoit l'enveloppe destinée à Margot, et vice-versa. Les deux amants, mécontents se rendent au bureau de Barnie et font connaissance. Ensemble, ils décident de rendre une petite visite à Barnie, en France, où ils rencontrent… sa femme !
Jean-Baptiste Emmerich, né à Limoges, artiste peintre scandaleux et tyrannique mort à Paris, veut qu'on l'enterre à Limoges au cimetière de Louyat. C'est par cette phrase qu'il règle ses dernières volontés, lui qui voyait arriver la mort et ne voulait pas partir en laissant les autres en paix.
Un groupe de jeunes sportifs américains sillonnent l'Europe de l'Est pour des compétitions de lutte. Arrivant en retard en gare pour partir à Odessa, ils acceptent l'invitation d'une jeune femme qui leur propose de monter dans son train. Malheureusement, ce train sert de base à une bande de truands sadiques faisant du prélèvement d'organes. Et quoi de mieux que de jeunes sportifs en pleine forme pour prélever ce dont on a besoin...