Longue méditation douloureuse sur la singularité des crimes nazis et la douleur de l'Homme survivant, le film prend le parti de n'utiliser aucune image d'archives. Seuls des témoignages de rescapés, de contemporains ou d'assassins sont montrés. Quelques séquences ont été rejouées ou préparées (ainsi le récit poignant d'un coiffeur, Abraham Bomba) mais la plupart ont été tournées en caméra directe, traduites à la volée par l'un ou l'une des protagonistes.
En 2008, Mike Campbell – l’un des derniers fermiers blancs au Zimbabwe face au violent programme de réforme agraire – prend le risque sans précédent d’attaquer le Président Robert Mugabe devant le tribunal du SADC (Communauté de Développement Sud-Africain) afin de défendre ses droits. Son exploitation agricole emploie plus de 500 travailleurs et abrite également leurs familles. Mike Campbell accuse Mugabe et son gouvernement de discrimination raciale et de violation des Droits de l’Homme. Embarqués dans un procès hors du commun, Mike et sa famille vont devoir faire face à la violence et à la cruauté du régime du dictateur. Ce documentaire retrace leur combat.
Commandité par une église, le film mettait en scène des personnes faisant une série d'actes criminels à la suite de la consommation de cannabis, actes allant du délit de fuite au meurtre, à la tentative de viol et au basculement dans la folie.