Sur trois continents, Mondovino présente les sagas de succession de tout-puissants milliardaires de la Napa Valley en Californie (voir Robert Mondavi), les rivalités de deux dynasties aristocrates florentines, et les conflits de trois générations d'une famille bourguignonne se battant pour conserver ses quelques hectares de vigne. Mais toutes ces luttes ne sont-elles pas secondaires à ce corsaire espiègle de Bordeaux portant allègrement la bonne parole de la modernité de l'Italie à l’Argentine en passant par New York ? Le vin a été un symbole de la civilisation occidentale pendant des millénaires. Jamais le combat pour son âme n'a été aussi féroce. Il n'y a jamais eu tant d'argent et de gloire en jeu. Mais l'ordre de bataille n'est pas celui auquel on s'attend : locaux contre multinationale, simples paysans contre capitaines d'industrie. Dans le monde du vin, les suspects habituels ne sont jamais où on les attend.
Un peu partout en France, Agnès a rencontré des glaneurs et glaneuses, récupereurs, ramasseurs et trouvailleurs. Par nécessite, hasard ou choix, ils sont en contact avec les restes des autres. Leur univers est surprenant. On est loin des glaneuses d'autrefois qui ramassaient les épis de blé après la moisson. Patates, pommes et autres nourritures jetées, objets sans maître et pendule sans aiguilles, c'est la glanure de notre temps. Mais Agnès est aussi la glaneuse du titre et son documentaire est subjectif.
L'histoire décrit un extraterrestre nommé Mac (pour Mysterious Alien Creature) qui a échappé à des scientifiques de la NASA et qui se lie d'amitié avec Eric, un jeune garçon en fauteuil roulant. Ensemble ils essaient de trouver la famille de Mac, dont il a été séparé.