The film is the equivalent of a walk through a cinema museum. The doc interviews many modern-day directors of photography and they illustrate via examples their best work and the scenes from films that influenced them to pursue their art.
Le film s’ouvre sur un texte de Lucebert : "J'essaie sur le mode poétique, c'est-à-dire les lumineuses eaux de la simplicité, d’exprimer l’espace du vivre complet".
Le documentaire porte sur le photographe de guerre américain James Nachtwey. Dans l'un des innombrables foyers de guerre de la planète, au cœur de la souffrance, de la mort, de la douleur et du chaos, le photographe James Nachtwey cherche l'image dont il pense qu'elle pourra être publiée.
Le peintre Thomas Knarvik a choisi de quitter son refuge d’artiste à Oslo. Il part dresser sa tente au beau milieu de la savane d’Afrique de l’Est, et étend une toile de trente mètres de large. Ce documentaire décrit une rencontre entre un peintre et ses peintures avec les Masaï, pour qui l’art n’est jamais séparé de la vie quotidienne. Le film devient un safari passionnant, mais aussi un film d’art original, une rencontre de cultures surprenante.
Hommage à l'intemporalité et à l'universalité d'Arthur Rimbaud. Des lectures d'extraits des œuvres du poète par des personnalités et des anonymes du monde entier se mêlent à des images captées sur ses traces dans plusieurs pays.
Le film narre la période, de 1566 à 1580, de la vie du peintre Domínikos Theotokópoulos, célèbre sous le nom de El Greco, de ses premiers succès comme peintre d'icônes dans son île natale, Crète, à son activité de peintre maniériste et sa production de ses plus importantes œuvres à Tolède, et dont le point culminant (et totalement fictif) est sa relation conflictuelle avec le cardinal Fernando Niño de Guevara, Grand Inquisiteur d'Espagne.
Oualata, la ville rouge à l’extrême est du désert mauritanien. Dans cet îlot, éphémère rempart contre les sables, trois femmes pratiquent la peinture traditionnelle en décorant les murs des maisons de la ville. Dans une société apparemment dominée par la tradition, la religion et les hommes, ces femmes s’expriment avec une surprenante liberté sur leur manière de percevoir la relation entre les hommes et les femmes.
Quatre parcours, quatre visages, quatre facettes différentes de la vie des slameurs de Libreville. Au travers de leurs multiples regards et expériences sur la pratique artistique, se dévoilent les différents pans de la construction identitaire contenue dans l’art du slam. Entre les lignes de leur poésie, se décryptent pour les uns une quête de reconnaissance vis-à-vis des générations aînées, pour les autres une réinvention de traditions religieuses et linguistiques, par des textes teintés de critique des dogmes politiques ou religieux.