« Dix ans après les premières émeutes, les médias européens prétendent que la cure d’austérité en Grèce a réussi et que le calme est revenu. Ce film prouve le contraire. À Thessalonique, des jeunes empêchent les ventes aux enchères de maisons saisies. En Crète, des paysans s’opposent à la construction d’un nouvel aéroport. À Athènes, un groupe mystérieux inquiète le pouvoir en multipliant les sabotages. Dans le quartier d’Exarcheia, menacé d’évacuation, le cœur de la résistance accueille les réfugiés dans l’autogestion. Un voyage en musique parmi celles et ceux qui rêvent d’amour et de révolution.
Du manifeste fondateur de Pierre-Joseph Proudhon en 1840 (Qu'est-ce que la propriété ?) à la chute de Barcelone en 1939, Tancrède Ramonet retrace, en images, un siècle d’histoire mondiale du mouvement anarchiste, du collectivisme libertaire à l'anarcho-syndicalisme, en passant par la propagande par le fait.
En Grèce et en Espagne, le film fait un tour d'horizon des luttes qui soufflent en Europe contre la résignation et les politiques d'austérité. Il s'agit d'un voyage en musique, d’un bout à l’autre de la Méditerranée, à la rencontre de résistances, de terres en luttes et d’utopie.
Ce film a pour titre un slogan qui a fait le tour de la Grèce en crise depuis 2010 et qui commence à voyager au-delà : « Ne vivons plus comme des esclaves », qui se prononce « Na min zisoumé san douli » en grec. Un slogan qu'on peut lire en Grèce sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et qu'on peut entendre sur certaines stations de radio et dans les lieux d’autogestion qui se multiplient. Un slogan diffusé jour après jour, et que les intervenants grecs du film invitent les spectateurs à reprendre en chœur, sur les mélodies du film réalisé en coopération avec eux.
Les deux réalisateurs Pierre Carles et Georges Minangoy vont à la rencontre d'anciens partisans français et catalans engagés dans la lutte anti-franquiste anarchiste des années 1970. Ils interviewent dans ce film d'anciens membres des GARI et du groupe Action directe ainsi que certains de leurs amis.
The film uses archived letters, speeches and documents to cover Bartolomeo Vanzetti's arrival to the United States as an immigrant, his involvement with Nicola Sacco, and the events of his trial leading up to his execution in Massachusetts in 1927.
Tourné sur cinq continents durant plus de deux ans, The Fourth World War fait l’inventaire des nombreux mouvements citoyens qui ont pris naissance un peu partout sur la planète, comme pour écrire une nouvelle page d’histoire composée d’actes de résistance au néo-libéralisme. Filmé simultanément aux premières lignes des conflits au Mexique, en Argentine, en Afrique du Sud, en Palestine, en Corée, en Afghanistan et en Irak, mais aussi lors des grands rassemblements de Seattle, de Gênes et de Québec, ce film engagé témoigne des luttes que mènent des hommes et des femmes contre l’oppression, l’injustice et la violence qui leur sont imposées. The Fourth World War traite de cette guerre sournoise que les États, en concomitance avec les grands groupes financiers et industriels, livrent contre les intérêts et les besoins des citoyens du monde.
The documentary covers two cities, Montevideo and Buenos Aires, primarily in the 1920s and 1930s, and the men of action who migrated in from Spain, Germany, Russia and elsewhere during this time. These romantic gunmen committed their acts, not for personal gain but to fight against a regime they perceived as oppressive and repressive.
Documentaire de Juan Gamero, F. Rios, Mariona Roca, Mitzi Kotnik, sur l'Espagne libertaire de 1936 dans lequel une trentaine d'anciens militants anarchistes témoignent de l'application concrète de l'anarchisme par plusieurs millions de personnes en Catalogne et en Aragon.
L'action se déroule, en Catalogne, quelques semaines après l'échec du coup d'État franquiste du 18 juillet 1936. Mobilisées spontanément et dans l'urgence, les milices de la Confédération Nationale du Travail (CNT) et de l'Union Générale des Travailleurs (UGT), après avoir écrasé les factieux, tiennent le front face à l'armée régulière. C'est le début de la révolution sociale et de la guerre civile...