Bodhidharma was born in India sometime around the 5th or 6th century as the third son of a king. When his father died, he leaves home and practises Buddhism under the tutelage of the master Prajnatara. Many decades later, Bodhidharma travels to China to spread Chán Buddhism and search for someone to inherit his mantle.
Karma, a young Tibetan woman from New York City comes to Dharamsala, the exile headquarters of the Dalai Lama in India, in search of her roots. She is making a documentary film about former political prisoners who have escaped from Tibet. One of her interviewees is the recently arrived Dhondup. He reveals to her that his dying mother had made him promise to deliver an old charm box to an exile Tibetan named Loga, and appeals to her for help in locating the man.
Alors que la Coupe du monde de football 1998 est disputée en France, Palden et Nyima, deux jeunes tibétains ayant fui leur pays arrivent dans un monastère bouddhiste au nord de l'Inde. Ils y reçoivent leur ordination à la vie monastique, mais celle-ci va rapidement laisser place à la passion du football. Palden se retrouve entraîné par Orgyen, son camarade de chambre, à regarder la nuit le match des quarts de finale dans le village voisin. Sur le chemin du retour, ils sont pris sur le fait par le geko, le maître de discipline du monastère, qui les punit. Avec l’approche de la finale, Orgyen réussit, non sans peine, à autoriser la diffusion de la finale de la Coupe du Monde au monastère. Ne possédant cependant pas de télévision, une course contre la montre commence afin de récolter assez d’argent pour en louer une. Après de nombreux obstacles, les résidents du monastère réussissent finalement par regarder la finale France-Brésil tous ensemble.
Gustav, conseiller Feng Shui et nouvellement bouddhiste, se prépare depuis longue date pour se rendre au Japon dans un monastère zen. Son frère, Uwe qui vient d'être laissé par femme et enfants le supplie de l'emmener avec lui. Le premier soir les deux frères se perdent dans Tokyo, ils sont désorientés et à court d'argent. Ils seront alors voués à une quête spirituelle où se mariera le concept de tout laisser derrière. Le dénouement prendra tout son sens lorsqu'ils vivront enfin l'expérience intense de la vie monastique.
Dans le temple bouddhiste d’un petit village du Tibet, à l'époque du Nouvel An tibétain, un jeune moine se prépare à passer quelques jours en famille où il découvre avec surprise un poste de télévision...
Le film commence avec une chronique du voyage de Rick Ray à travers l'Inde pour interviewer Tenzin Gyatso. Le film alterne entre le présent et le passé récent, introduisant des moments consacrés à l'histoire personnelle de Tenzin Gyatso, le processus de désignation d'un dalaï-lama et son voyage en exil.
Femmes du Tibet : Gyalyum Chemo – La Grande Mère est le premier film d’une trilogie sur les femmes du Tibet et raconte la vie de Dikyi Tséring, la mère de l’un des ambassadeurs les plus influents dans le monde, le 14e Dalaï-Lama.
Ce film fait le point sur la situation après 50 années d'un combat pour la liberté des Tibétains, depuis le Soulèvement tibétain de 1959 du 10 mars 1959. Cet évènement fut la cause du départ du 14e dalaï-lama du Tibet fuyant pour échapper à une possible arrestation par l'administration de la République populaire de Chine. Le film présente ses responsabilités en tant que chef spirituel et leader politique et traite des enjeux géopolitiques du Tibet. Le manque de perspective pour le peuple tibétain provoquant des « mécontentements y compris parmi ses plus fidèles ».
L'histoire est celle de deux orphelins, Gil-son (길손), un petit garçon âgé de cinq ans, et sa grande sœur Gami (감이), qui a perdu la vue. Gil-son sert de guide à sa grande sœur, mais son jeune âge pose parfois problème. La mère des deux enfants est morte, mais Gami ne l'a pas encore avoué à Gil-son, qui croit simplement qu'elle est partie très loin et que tous deux partiront bientôt la retrouver. Peu après avoir apprivoisé un chien (que Gil-son appelle Brise), les deux enfants sont recueillis par deux moines bouddhistes qui les amènent dans leur monastère pour y passer l'hiver. Gil-son, qui ne tient pas en place, provoque quelques troubles au monastère par ses facéties, tandis que la gentillesse de Gami la fait rapidement accepter parmi les femmes de l'endroit. Malgré l'aide des deux moines qui les ont recueillis, les deux enfants restent isolés et vulnérables aux plaisanteries méchantes des gamins du village. Tous deux regrettent la compagnie de leur mère ; Gami, plus âgée que Gil-son, a davantage de souvenirs d'elle (remontant au temps où elle n'avait pas encore perdu la vue), et les raconte souvent à son petit frère ; et elle la voit parfois en rêve.
Pour Dondup, il n'est pas question de passer le reste de sa vie comme fonctionnaire dans un minuscule village des montagnes du Bhoutan. Il rêve de partir faire fortune aux États-Unis. Pour cela, il ne lui manque qu'un visa, qu'il doit aller chercher dans une lointaine grande ville. Contraint de s'y rendre à pied, Dondup chemine avec un vendeur de pommes et un moine qui, jour après jour, lui conte l'histoire de Tashi, un jeune fermier qui lui aussi, voulait coûte que coûte changer sa vie, mais vit ses plans modifiés par une rencontre amoureuse. Lorsqu'un marchand et sa très belle fille se joignent aux marcheurs, la fable du moine prend une dimension aussi étrange que fascinante. Cette histoire de désir, d'ambition et de meurtre trouve soudain chez Dondup un écho qui va changer son destin.
Milarépa naquit au Tibet, au XI siècle, au sein d’une famille de riches marchands. À sa mort, son père confie l'héritage de la famille à son frère jusqu’à l'entrée de Milarépa dans la vie adulte. Pourtant, l’oncle s’approprie l'héritage et exploite la mère et la jeune sœur de Milarépa. Désespérée, sa mère veut se venger de cette injustice. Elle vend son dernier champ, et envoie Milarépa auprès de Yongten Trogyal, un maître de magie noire. Il jette un sortilège et détruit une partie du village, tuant environ 30 personnes. La foule en colère le poursuit. Milarépa trouve refuge auprès d’un moine, et tandis que sa mère se rejouit de la vengeance accomplie, il est rongé par le remords. C’est alors qu’il reçoit un conseil qui changera sa vie : « Les ennemis naissent de ton esprit; Pour les vaincre, cesse les actions négatives, Cultive les actions positives, et Maîtrise ton esprit ».
Gesar Mukpo begins by interviewing a fellow Canadian, Dylan Henderson, who was the first Caucasian tulku discovered in the West, recognized in 1975 by Chögyam Trungpa Rinpoche as the incarnation of one of his teachers. The identification was confirmed by Rangjung Rigpe Dorje, the 16th Karmapa, who requested that Henderson come to the Rumtek Monastery in India for the rest of his life. Chögyam Trungpa, however, recommended that he remain in the West. Henderson maintains his Buddhist studies and practices, but without the form and structure present in the East. He has a degree in anthropology and history.