Aux États-Unis, douze hommes forment le jury d'un procès criminel. Ils doivent statuer, à l'unanimité, sur le sort d'un jeune homme accusé de parricide. S'il est déclaré coupable, la chaise électrique sera la sentence. S'il est déclaré innocent, il sera libre.
Au Havre, dans la rue de Paris, les habitants sont en état de choc depuis qu’une jeune femme a été sauvagement assassinée pendant la nuit. Louise Morvand est rentrée de Shanghai le lendemain du drame et ressent le malaise ambiant. Les riverains interrogés par la police ne savent rien, ils dormaient, n’ont rien vu, rien entendu. Une journaliste du Havre Libre se heurte au même silence. Pierre Morvand, le mari de Louise, est un pilote portuaire qui guide les porte-conteneurs dans le chenal jusqu’au terminal de France où ils s’amarrent. Il affirme à Louise être rentré tard de son travail cette nuit-là, après que le meurtre fut commis. À son épouse qui le trouve étrangement absent, il répond que son état est dû à la fatigue. Pourtant, pendant qu’elle dort, il lui raconte ce qui s’est réellement passé.
Le sénateur Carroll, candidat démocrate aux élections présidentielles américaines, a été assassiné en 1971, lors d'une conférence de presse-buffet, par l'un des serveurs. Une commission d'enquête ne retient pas l'hypothèse d'une quelconque conspiration et conclut qu'il s'agit d'un acte isolé commis par un déséquilibré. Au cours des trois années qui suivent, la plupart des personnes qui ont assisté à cet événement meurent les unes après les autres à la suite de divers accidents.
Le romancier Harlan Thrombey convie dans son manoir sa famille, aussi excentrique que dysfonctionnelle, pour célébrer son 85e anniversaire. Mais le lendemain matin, le riche patriarche est retrouvé mort la gorge tranchée. Alors que tout indique un suicide, le détective privé Benoit Blanc s'invite dans l'enquête de l'inspecteur Elliott et commence à suspecter un meurtre.
Au début des années 2000, la Serbie est une nation meurtrie par 50 années de communisme ponctuées par des guerres nationalistes aussi violentes que dévastatrices.
L'action se déroule entièrement à Salamanque en Espagne. Cependant, seules quelques scènes y ont été réellement tournées, la plupart ayant en fait été filmées au Mexique.
Mortimer Brewster vient annoncer à ses deux tantes Adèle (Dorothy dans la pièce de Théâtre) et Martha, qui l'ont élevé, son mariage avec la fille du révérend Harper, qui habite la maison d'en face. Mais il découvre, caché dans un coffre sous la fenêtre, le cadavre d'un vieil homme. Ses deux tantes lui avouent alors, le plus ingénument et le plus naturellement du monde, qu'elles se sont fait une spécialité de supprimer les vieux messieurs seuls au monde en vue de leur rendre service, non sans prononcer pour eux des éloges funèbres.
Japon, 1863. Hachirō Kiyokawa bien que roturier est un redoutable bretteur, violent et connu pour sa proximité avec les nationalistes qui souhaitent le retour au pouvoir de l'empereur Kōmei au détriment du shogun Tokugawa. Aussi lorsque Hachirō Kiyokawa est relaxé du meurtre d'un policier et que le ministre du shogun lui confie la tâche de lever une milice (le Rōshi gumi) pour combattre les troubles à Kyoto, la cité impériale, au nom du shogun, amis comme ennemis s'interrogent sur les motivations de ce samouraï retors...
Prudence et Bélisaire Beresford jouissent d'une retraite bien méritée. Bélisaire vient de publier son autobiographie, minimisant le rôle de Prudence dans ses aventures, selon les conseils de son éditrice. Rudi, leur beau-fils a été abandonné par Marie-Christine, leur fille, et loge chez eux avec leurs petit-fils, les jumeaux Pascal et Patrick. Déprimée, Prudence décide de prendre la direction d'une agence de détective privée à Genève. James Van Luyderkerke vient de Bruxelles lui demander de retrouver sa fiancée, Ludmilla Sakhaline, l’héritière d’un magnat pétrolier russe, qui a disparu après s’être soi-disant rendue chez des amis qui ne l’attendaient pourtant pas. Grâce à Bélisaire, Prudence retrouve les traces de Sakhaline à la clinique du Phoenix, où elle serait une des patientes du docteur Lanson. Lorsqu’elle parle à mademoiselle Sakhaline, celle-ci se cache d’abord derrière ses draps, et s’avère être une dame plus âgée affirmant être la mère de Ludmilla ; cette dernière aurait abandonné le projet de mariage et se serait enfuie pour la Russie.
Pour la nouvelle commissaire de Saint-Malo et la rumeur, le meurtrier et violeur d'une fillette de 10 ans est René, son professeur de dessin. Celui-ci, dépressif et invalide après un attentat, a perdu l'inspiration. Son épouse extravertie est un instant séduite par Desmot, un médiocre intellectuel mondain très médiatisé. Les époux convient Desmot à un dîner bien arrosé . René reconduit Desmot chez lui. Ce dernier est retrouvé mort dans les rochers près de sa maison.
Dieter Krombach, un médecin allemand, est soupçonné d'avoir violé et assassiné Kalinka, sa belle fille âgée de 14 ans. Le père de Kalinka, André Bamberski, se bat alors pour que justice soit faite.
L'action se déroule à San Francisco et ses environs. Catherine Tramell (Sharon Stone), une romancière richissime vivant entourée d'anciens meurtriers, est soupçonnée du meurtre de son amant, la rock star Johnny Boz. Celui-ci a été assassiné à coups de pic à glace dans des circonstances similaires à celles décrites dans l'un des romans policiers qu'elle a écrits. Les romans de Catherine sont des polars qui mêlent sexe et crime et s'attardent sur l'instinct primaire (basic instinct) des gens. Nick Curran (Michael Douglas), un policier chargé de l'enquête et ayant un lourd passé judiciaire, doit faire face à cette « mante religieuse », qui n'hésite pas à utiliser ses charmes pour arriver à ses fins.
Jack est un ingénieur du son qui vit à Philadelphie et travaille sur des films de « série Z ». Lors d'une séance de mixage d'un film, le réalisateur lui demande de trouver un cri de femme « réaliste » pour une scène de meurtre et de trouver de nouveaux sons, ayant l'impression qu'il réutilise trop ceux qu'il lui fournit. Jack va, de nuit, prendre des sons naturels sur un pont à l'aide d'un micro canon. Soudain il entend une voiture arriver, la voit quitter la route et s'abîmer dans la rivière. Jack plonge afin de sauver les occupants du véhicule. Le conducteur semble déjà mort, mais Jack parvient à sortir la passagère de la voiture. À l'hôpital, il apprend que le conducteur était le gouverneur de l'État, en lice pour la présidentielle. On lui demande de taire, par respect pour sa mémoire, la présence de la jeune femme, Sally, qui se trouvait avec lui.
Borry Bana est une expression en langue bambara qui veut dire « la fuite est terminée ». Elle a été utilisée par le célèbre combattant africain Samory Touré ; traqué par les colons français, sa dernière devise restera dans l’histoire : « Borry Bana, ce camp sera le dernier ». Norbert Zongo a repris cette expression quand il a fondé son propre journal, L’Indépendant, en déclarant « L’Indépendant sera indépendant ou ne sera pas ». Ce fut sa dernière bataille. Le film revient sur l’affaire de l’assassinat du journaliste d’investigation Norbert Zongo, qui bouleversa le Burkina Faso. Un hommage à un homme qui a consacré sa vie à défendre les faibles et les sans voix.
2013 en Centrafrique : le pays est ravagé par une guerre civile. La jeune photo-reporter Camille y arrive pour concilier ses deux passions : l'Afrique et la photographie. Mais le chaos qui règne dans le pays va vite la rattraper.