Une mère et sa fille, arrivées à l'âge ou la différence d'âge devient presque invisible, entament une marche le long d'une rivière. La conversation évolue vers l'éternelle question de la jeunesse...
La ville de Leningrad et le blocus pendant la Seconde Guerre mondiale. Pas de mots. Pas de musique. Seuls les sons et les images en noir et blanc d'une ville mourante.
A family asks a young psychiatrist to be their guest for a while and help look after their father who’s developed a suicidal fixation for ropes and knots among other things. It is also entirely possible that the mental health of the guest that is the real cause for concern.
Deux histoires de théâtre se mêlent. Dans la première, un acteur meurt sur scène : règlements de compte, rivalités dévoilées... Que faire ? Continuer la pièce !
Le film explore en plusieurs séquences la guerre hybride dans le Donbass entre l'Ukraine et la République populaire autoproclamée de Donetsk, soutenue par la Russie.
L'histoire d’Eneida parodie celle de l’Énéide, dans laquelle Énée, prince de Troie, quitte sa ville détruite par les Achéens après la ruse du cheval de Troie, et entame un long voyage en quête d'un endroit où fonder une nouvelle Troie, qui sera finalement Rome. Les Troyens deviennent ici des Cosaques.
Récit d'une date tragique dans l'histoire de la nation tatare de Crimée - 18 mai 1944 - Déportation des Tatars de Crimée par Talin. Le personnage principal du film - un pilote, deux fois héros de l'Union soviétique, Amehtan Sultan - se rend en permission à sa ville natale, Alupka, en mai 1944 et assiste à la déportation.
À l'hiver 1944, un garçonnet de huit ans traverse l'URSS en train, accompagné de sa mère, afin de rendre visite à son grand-père. Le voyage se trouve compromis lorsque la mère tombe gravement malade : hospitalisée d’urgence, elle meurt du typhus dans un village inconnu plongé par la Seconde Guerre mondiale dans une misère sombre, comme de nombreuses autres bourgades du pays. Livré à lui-même au milieu de paysages désolés et d'une population cupide et nécessiteuse, l'enfant reste toutefois déterminé à mener à terme son périple.
Alexandre, un jeune homme de 25 ans, se rend au cimetière pour déposer des fleurs sur la tombe de sa mère, morte soudainement il y un an jour pour jour. L’énigme de sa mort ne laisse pas Alexandre tranquille. Quand il vide son appartement il trouve les vielles bobines ainsi que le journal intime d’un réalisateur russe, dédié à sa mère. C’est ainsi qu’Alexandre découvre son passé. Elle avait joué dans un film de ce réalisateur. Ils s’aimaient. C’était une véritable histoire d’amour. Mais un jour il a rencontré une autre femme et quitté Anna. Elle est partie d’Odessa pour aller en Israël, puis au Canada, s’est mariée avec un Français et s’est installée à Paris.
The film is about what the routine of everyday life can do to the human mind and psyche. It also reflects on the importance of the choices we make and how limited these choices are in the first place. The plot evolves around a family of four. They live in the suburbs, in a strange villa that appears, through a complex game of mirrors, to be more like a piece of installation art than a real house. The main character, who hardly appears on screen, is the son, a man in his thirties. Suffering from asthma and eczema since childhood, he uses his condition to manipulate his parents and his sister. Thus the existence of the terrorized family turns into an endless ritual of attempting to satisfy his whims, and always on the alert for yet another one of his “health crises”.
De Kiev à Tbilissi, la vie mouvementée de Sergueï Paradjanov, réalisateur soviétique d'avant-garde, poète, plasticien et touche-à-tout baroque. Reconnu dès sa jeunesse comme un maître grâce à deux films phares, il va payer cher son anticonformisme farouche, son goût de la provocation et son refus de toute forme d'autorité.