Georges et Anne sont octogénaires. Professeurs de musique à la retraite, ce sont des gens cultivés qui aiment la musique classique. Leur fille Eva, également musicienne, vit à l’étranger avec sa famille. Un jour, Anne est victime d’une petite attaque cérébrale. Lorsqu’elle sort de l’hôpital et revient chez elle, elle est hémiplégique. Dans le huis clos de leur appartement parisien, l’amour qui unit ce vieux couple va être mis à rude épreuve par la dégradation de l’état de santé d’Anne, car Georges lui a promis de ne jamais la renvoyer à l'hôpital.
Vera Schlink est une gestionnaire de fonds talentueuse à Vienne. Elle est mariée depuis dix ans à Hannes, le couple a une fille. Elle fait la connaissance de sa nouvelle voisine Meli, qui cherche un poste de secrétaire.
Bruno et Rosa sont octogénaires. Ils ont peu de perspectives d'avenir, Maria est atteinte d'un cancer. Quand les deux se rencontrent, ils tombent amoureux passionnément et tiennent une relation malgré les difficultés. Lorsque la famille de Bruno le découvre, sa femme Herta et son fils Werner le poussent à mettre fin à cette relation. De même pour Rosa, sa nièce et la maison de retraite s'y opposent hostilement. Seul Karl, l'ami d'enfance de Bruno, soutient le nouveau couple.
Roman Kogler, 19 ans, purge une peine de cinq ans dans une prison pour mineurs en Basse-Autriche. À 14 ans, il a commis un homicide lors d'une dispute. Enfant violent avec sa mère, il souhaite une demande de libération anticipée de prison. Mais il a besoin d'un emploi. Dans un journal, il lit une petite annonce des services municipaux de Vienne. Bien que son conseiller de probation le lui déconseille, Roman devient agent de pompes funèbres. Il doit supporter la vue de cadavres, mais aussi le harcèlement de son patron Rudolf Kienast.
Le chef de la police Pilch demande au major Kottan, suspendu depuis 27 ans, de reprendre son service actif. Il s’agit d'enquêter sur une série de meurtres dans lesquels les bénéficiaires d'une vente pyramidale sont victimes. Ils ont participé à une étape intitulée Rien ne va plus, dans laquelle un seul participant devait survivre. À contrecœur, Kottan accepte la demande de Pilch. Au même moment, au sein de la police viennoise, une lutte de pouvoir oppose Pilch au major général Hofbauer, qui veut le poste de Pilch.
Le Dr. Fuhrmann, médecin pathologiste, a des idées sur la vie qui apparaissent excentriques et qui peuvent offenser sa famille et son entourage professionnel, lui amenant des problèmes. Son grand opposant est le Dr. Böck, chirurgien, qui est toujours sur son chemin. C'est pourquoi Fuhrmann essaie toujours de lui trouver une faute professionnelle.
Sabine travaille comme juge au tribunal de la famille à Vienne, mais n'a pas de famille elle-même. Un jour, elle reçoit de Leonhardt, son premier grand amour, une invitation à la réunion d'anciens élèves. Vingt ans après, ils se retrouvent à Steinbach an der Steyr. Elle rencontre Mia, une chômeuse de longue durée, et revoit Ferdinand, qui est devenu maire de la commune. Il manque Karin, sa meilleure amie au lycée, qui a disparu. De même, Leonhardt n'a pas pu venir.
Peut-on survivre sans prendre de nourriture ni d'eau pendant des semaines, des années voire des décennies? La plupart des gens, scientifiques ou spécialistes répondront spontanément : c'est impossible ! Mais comment réagiront ces mêmes scientifiques et spécialistes lorsqu'ils seront confrontés aux preuves, rapports certifiés, interviews et expériences en laboratoire à l'appui, constatant que ce phénomène, parfois aussi désigné par «Respirianisme», existe ?
Le film est une enquête passionnante et intrigante autour du monde. Il explore non seulement la connaissance issue des traditions spirituelles asiatiques, mais dévoile aussi les derniers modèles d'explications tirés de la physique quantique.
Sans promouvoir le « Respirianisme », ce documentaire propose une vision alternative de nos besoins, bousculant la philosophie mécaniste-matérialiste dominante.
Horst est un "éternel étudiant" de Graz, qui a grandi avec sa grand-mère après la mort de ses parents. Après que sa grand-mère soit tombée malade, il fait de nombreuses tâches pour elle, y compris ses transactions bancaires. Lorsqu'elle décède, il touche illégalement sa pension, finançant ainsi un voyage de quatre mois en Thaïlande et généralement une vie libre dans son appartement où s'installe bientôt son ami Toni. Toni tenait auparavant un café dansant à la campagne et gagne de l'argent en louant une limousine blanche dont il est le propriétaire. Mais jusqu'à présent, il utilise le véhicule dans un usage purement privé comme lors d'un rendez-vous avec Karin, la copine de Horst.
Gustav Tritzinsky, 80 ans, tient à Vienne une blanchisserie depuis des décennies. Il vit dans un appartement au-dessus avec la personne trans Jacob. Une nuit, Gustav soupçonne un cambrioleur, mais le présumé cambrioleur fuit la police mais se blesse. Ce jeune homme, Axel, a rejoint les néo-nazis et a été contraint de poignarder un travailleur social. Gustav le prend dans ses bras, lui propose de le soigner et lui offre un lit.
Conducteur du métro de Vienne, Ulrich Lenz est un violeur qui a déjà fait une peine de prison pour ce crime. Il a commis un autre viol quelques années après ce premier et qui reste impuni : il risque vingt ans pour meurtre. Lenz souffre de sa culpabilité, il regrette ce qu'il a fait. Il confie tout à sa fiancée avec qui il est sur le point de se marier, elle le quitte sur-le-champ. Des années plus tard, Lenz a refait sa vie, il est divorcé et vit avec sa fille qu'il a eu de cette autre union. Mais il est toujours démangé entre le besoin de tout dire et d'accepter sa peine et la douleur de perdre sa liberté et d'abandonner sa fille.
Le concessionnaire automobile allemand Harry doit aller chercher un sac en Pologne et donne l'ordre à Schorsch, un escroc, de le faire. Ce dernier n'est pas très enthousiaste, car il n'a plus le permis et préfère regarder les 24 Heures du Mans à la télé. Alors il renvoie la mission à une connaissance, Mao. Mais elle doit garder sa nièce ce week-end et la renvoie à son tour à Max Durst et Hans Wurst, des restaurateurs vendeurs de saucisses, qui acceptent.