En Kabylie au début du XX siècle, un village entier est contraint de fuir l'oppression française pour se réfugier dans une montagne aride. Baya, la fille du saint patron du village, reçoit une bourse de louis d'or : la ddiya, le prix de l'assassinat de son époux par son rival Saïd, fils du bachagha.
À Alger, durant la guerre d'Algérie un des responsables du FLN est arrêté par l'armée qui emploie les méthodes les plus violentes pour faire parler les prisonniers. Le recours à la torture pose un cas de conscience à un officier français. Jouant sur le champ-contre-champ, entre le torturé et son tortionnaire, dans un huis clos étouffant.
Un jeune handicapé qui s'appelle Moussa suit les cours d'école dans une oasis. Sa sœur Zineb doit s'occuper de lui et le protéger. Dans le désert, Moussa voudrait faire pousser un rosier...
En 1980, Fatiha est une jeune Algérienne de 18 ans qui va devoir se plier à la volonté de ses parents : épouser Hocine, un homme plus âgé qu'elle n'a pas choisi. Elle ne peut éviter ce mariage à la mode traditionnelle mais ne l'accepte pas de bon cœur, causant de multiples scènes familiales chez elle et dans sa famille d'adoption. Son mari part travailler en France alors que Fatiha est enceinte de son premier enfant, cette naissance l'aidera-t-elle à accepter sa condition de femme ?
Peu avant la Seconde Guerre mondiale, dans un village algérien, une institutrice fraîchement arrivée de la métropole, mademoiselle Claire Boyer, faire naître les passions. Prenant le parti des Algériens, elle révulse les colons. Un de ses jeunes élèves, Mouloud, tombe amoureux d'elle.
Après les émeutes de décembre et les premières marches pacifiques, alors que le printemps arabe commence en Tunisie et en Egypte, Fouzi veut réunir ses comédiens pour leur montrer le montage inachevé du film qu’il a réalisé deux ans auparavant sur la désillusion d’une jeunesse qui cherche à exprimer ses idées artistiques. Il cherche un autre point de vue et surtout une fin et il compte sur les réactions à chaud des comédiens pour inventer une nouvelle résolution de son histoire, dans un pays soudainement soulevé par une vague de contestations. Pendant la projection du film, le débat s’installe : quelle est la place de la création en Algérie aujourd’hui ? Comment créer sans se confronter à la censure ? Comment résister ? En réalisant des films ou en marchant vers une nouvelle révolution ? Deux récits s’entrecroisent, fiction et réalité ? Débats et errances ? Une nouvelle vision de la jeunesse algéroise d’aujourd’hui en plein questionnement politique et artistique.
Un jeune beur expulsé de France où il vit depuis sa petite enfance est confronté à un choix difficile. Il se retrouve en Algérie, un pays qu'il ne connait pas, et son passeport lui est retiré.
Alors que l'Algérie fête le cinquantième anniversaire de son indépendance, l'OAS, dirigées par un certain Slimane, renaît de ses cendres et projette de déclencher des attentats. Jawed, membre des services secrets, algériens, parvient à infiltrer la bande de Slimane...
En 1962, René Vautier monte avec des amis algériens un centre de formation audiovisuelle pour promouvoir un « dialogue en images » entre les deux camps. De cette expérience est réalisé un film, partiellement détruit par la police française. Les images qu’ils ont pu sauver constituent un document historique rare : elles retracent la guerre d’Algérie, racontent l’histoire de l’ALN (Armée de libération nationale) et montrent la vie dans l’après-guerre, notamment la reconstruction dans les villes et les campagnes après l’indépendance.
Trois jeunes amis : Asma, étudiante; Fawzi, journaliste et Ramdane, médecin, voient leur amitié amoureuse éclatée pendant la décennie noire en Algérie. Alors que Fawzi et Asma défendent ardemment la démocratie, Ramdane se tourne vers l'intégrisme religieux. Le film traite également le rituel de la fête du Manara de Cherchell, condamné par les intégristes.
Le film relate le parcours militaire et politique de Benali Boudghène (colonel Lotfi), une des plus grandes figures de la guerre de libération algérienne.
Ce film retrace le parcours de Mustapha Ben Boulaïd, grande figure historique du mouvement national et de l'organisation spéciale et son rôle pendant la Guerre de libération, notamment dans la région des Aurès.