Robert Joffre (Jean-Pierre Cassel) est un comédien au chômage. Faute de rôle, il accepte une étrange proposition : remplacer le riche industriel Georges Lemaire qui va mourir d'une leucémie foudroyante. D'abord perplexe, il se laisse séduire par cette proposition insolite et entre en contact avec la mère de Georges, Martine (Danielle Darrieux), à l'origine de ce plan.
« L'action se passe sous la Restauration, au château de Savigny, près de Nerville, petite ville dévote et pudibonde du Cotentin. Le docteur Torty en est le médecin. Il raconte une histoire dont il est le seul à connaître le secret, celle d'un couple criminel, sans remords aucun. La jolie Hauteclaire Stassin, fille du maître d'armes, rencontre le comte de Savigny, marié à la noble et languissante Delphine. Follement éprise du comte, Hauteclaire s'engage comme servante au château. Peu de temps après, la comtesse meurt empoisonnée. Les amants coupables resteront-ils impunis? »Diffusion avec le fameux rectangle blanc.
Monsieur Orgon s'apprête à accueillir Dorante, le fils d'un vieil ami (qu'il n'a jamais vu) pour qu'il fasse la connaissance de sa fille, Silvia, que les deux familles souhaitent lui voir épouser. Mais, désireux d'étudier le caractère de sa promise avant de s'engager, il use d'un subterfuge. Ayant chargé son valet Arlequin de jouer son rôle, il endosse la livrée. De son côté, Silvia a recours au même stratagème, pour les mêmes raisons, et troque sa toilette contre le tablier de sa chambrière Lisette. Il résulte de cette double ruse un heureux imbroglio, sous le regard amusé du père et du frère de Silvia, les seuls dans le secret. Sous leur déguisement, les jeunes gens, maîtres comme valets, vont se plaire et bientôt s'aimer.
Le commissaire Maigret est envoyé à Antibes pour élucider le meurtre de William Brown, riche Australien qui disparaissait régulièrement pour s'adonner à de formidables beuveries. Sur ses traces, Maigret fait la tournée des bars jusqu'à découvrir le Liberty Bar et son accueillante patronne la Grosse Jaja.
Le lieutenant Schmitt, policier intègre et brillant, est retrouvé mystérieusement assassiné au volant de son automobile, sur une route de campagne. L’enquête est confiée au commissaire Bairelard dont les recherches le conduisent sur la piste de son plus vieil ennemi.
Sandra Gamellon, auteur de best-sellers, est assassinée à la Closerie des Lilas ; elle avait rendez-vous avec Jérôme Bernotte, conseiller littéraire des éditions Cooper; quelques jours plustard, l'éditeur Gaston Cooper est assassiné au bois de Boulogne. André Jouve, Jérôme Bernotte, le journaliste Yvan Brique et Achille, le jeune homme qui partage sa vie, s'interrogent tandis que le commissaire Bartillot interroge tout ce petit monde et en particulier Michèle Tessier, première éditrice de Sandra, avec qui il ne tarde pas à nouer des liens plus étroits.
George Abitbol, l'homme le plus classe du monde, meurt tragiquement lors d'une croisière. Dans un dernier souffle, il murmure : « Monde de merde ». Pourquoi ? Ces mots intriguent le rédacteur en chef d'un quotidien américain. Il dépêche ses trois meilleurs enquêteurs : Dave, Peter et Steven (prononcer « Pétère et Stéveune ») pour éclaircir ce mystère...
1992 : la chaîne de télévision La Cinq disparaît tragiquement, Derrick essaye de la sauver en contactant des héros tels que le capitaine Kirk, Starsky et Hutch, Navarro. Mais ses plans sont contrecarrés par Superman, aidé par Numéro 6 (comprenez M6) et Roger Moore, qui le met hors d'état de nuire.
Guillaume Seznec, propriétaire d'une petite scierie bretonne, s'est enrichi durant la Première Guerre mondiale avec des blanchisseries. Il décide de s'associer à Pierre Quéméneur, un conseiller général affairiste, pour vendre dans des circonstances assez troubles des voitures américaines aux Soviétiques.
Par un dimanche après-midi tranquille du mois de mai, une jeune femme ouvre la fenêtre d'un appartement bourgeois, dans le 16e arrondissement de Paris, et appelle au secours. Les voisins, accourus, entendent des bruits de lutte, deux coups de feu, des plaintes, puis plus rien. Quand on ouvre la porte de l'appartement, on découvre le cadavre de Philippe Vigneray et le corps de sa femme Christine, grièvement blessée. L'arme du crime a disparu, l'assassin aussi. Mais comment a-t-il pu s'enfuir ? Les voisins étaient groupés devant la porte sur le palier. Et la porte de service, dans la cuisine, était fermée à clé de l'intérieur. Le couple semblait vivre en bonne intelligence, on ne lui connaissait pas d'ennemis. C'est ce que confirme Maître Charasse, le cousin de Philippe Vigneray, arrivé sur les lieux.
« Casta est flic. Rien ne l’y destinait. Une jeunesse mouvementée lui a valu des contacts rugueux avec la police et fait frôler la correctionnelle à plusieurs reprises. Jusqu’à ce que le commissaire de son quartier lui fasse comprendre qu’il était parti pour finir sa vie derrière les barreaux et, connaissant sa profonde aversion pour l’injustice, lui ait conseillé d’entrer dans la police. Casta est un homme du peuple, un paysan de Paris. Il a une famille : Françoise, sa femme, Marie, 22 ans, sa fille et Julien, 18 ans, son fils ; une passion : le bricolage. Il ne peut s’empêcher de réparer le frigo poussif, la chaise boiteuse, le moteur mal réglé. Et il a une manie : rendre service.
Lorsqu'on a 67 ans, qu'on est une femme et qu'on tient un beau petit salon de coiffure dans une ville tranquille, il est vraiment désagréable d'être embarquée par deux policiers devant toute sa clientèle. Mais quand, peu après, quelqu'un vous met sous les yeux la photo d'un homme à demi carbonisé et vous accuse de l'avoir assassiné à coups de couteau avant de mettre le feu à son cadavre, il y a de quoi perdre la tête.
Invités au Québec pour « une formation de deux semaines ciblée sur le traitement des empreintes génétiques », Adamsberg tente de renouer le dialogue avec Danglard, mais il est victime d'un malaise qui le surprendra encore dans la journée, inexplicablement.
Adamsberg finit cependant, avec l'aide de Danglard qui lui commente à sa demande un tableau de Neptune, par saisir ce qui l'enserre ainsi : la lecture d'un article de presse, faisant part de l'assassinat d'une jeune fille de trois coups de couteau, vient de faire ressurgir en lui d'atroces souvenirs : ceux de son frère inculpé quelque trente ans auparavant pour le meurtre de sa fiancée à qui il a pu épargner la prison en falsifiant même le dossier à charge, mais qu'il n'a jamais réussi à innocenter, malgré son identification certaine de l'assassin.