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L'Armée des ombres est un film français de genre Drame réalisé par Jean-Pierre Melville sorti en France le 11 septembre 1969 avec Lino Ventura

L'Armée des ombres (1969)

L'Armée des ombres
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Citations

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Mauvais souvenirs, soyez pourtant les bienvenus… vous êtes ma jeunesse lointaine…
Citation empruntée à Georges Courteline

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Le colonel Jarret-Duplessis : J'ai affirmé dans un café que l'amiral Darlan était un jean-foutre. Aujourd'hui j'ajoute que le maréchal Pétain est un autre jean-foutre, qui laisse brimer les soldats par les marins.
Gerbier : Au moins vous colonel, vous souffrez pour une idée.

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Gerbier : Au revoir, camarade.
Legrain : Vous… vous êtes communiste ?
Gerbier : Non, mais ça ne m'empêche pas d'avoir des camarades.

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Gerbier : Le petit instituteur catholique mourut une nuit, sans faire plus de bruit que d'habitude, et le matin, des Kabyles l'emportèrent. Je n'avais jamais entendu le son de sa voix.
Voix intérieure

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Félix Lepercq : On peut tout de même pas lui défoncer le crâne à coup de crosse, non ?
Discutant de la manière d'exécuter un traître sans bruit et arme blanche, devant le futur exécuté

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[Jean-François a assuré qu'il ne parlerait à personne]
Félix Lepercq : On dit toujours ça et puis il se trouve qu'on a une femme.
Jean-François Jardie : J'en ai pas.
Félix Lepercq : Et celle de tout à l'heure ?
Jean-François Jardie : Je lui ai dit que je revenais dans cinq minutes et elle va m'attendre toute sa vie.

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Jean-François Jardie : Je me demandais si Mathilde que je venais à peine de connaître, ne m'était pas devenue plus proche que toi mon frère, que j'avais toujours aimé, que je continuais d'aimer, mais avec qui je n'avais plus grand-chose de commun, n'étaient-ce les souvenirs.
Voix intérieure

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Le colonel Passy (André Dewavrin) : Comme vous le savez, les Anglais n'ont qu'une confiance modérée dans l'efficacité de la résistance française.

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Luc Jardie : Pour les Français, la guerre sera finie quand ils pourront lire le Canard enchaîné et voir ce film merveilleux.
Luc Jardie et Gerbier sortent du cinéma où ils ont vu Autant en emporte le vent.

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L'officier allemand : Naturellement Dupont est la seule identité que vous vous connaissiez ?
Jean-François Jardie : Naturellement.
L'officier allemand : À quelle organisation appartenez-vous ?
Jean-François Jardie : Je vois pas de quoi vous voulez parler.
L'officier allemand : Vous savez ce que vous risquez ?
[Jardie fait une mimique étonnée]
L'officier allemand : Être fusillé sous un faux nom et que jamais personne ne sache ce que vous êtes devenu.

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Gerbier : Je voudrais tout de même vivre, et je vais mourir, et je n'ai pas peur. C'est impossible de ne pas avoir peur quand on va mourir. C'est parce que je suis trop borné, trop animal pour y croire. Et si je n'y crois pas jusqu'au dernier instant, jusqu'à la plus fine limite, je ne mourrai jamais. Quelle découverte ! et comme elle plairait au patron !
Voix intérieure

Facebook Partager la citation sur facebook Le Bison : Tu jouais encore aux billes que je commandais des hommes dans la Légion.
Au Masque

Facebook Partager la citation sur facebook Luc Jardie : Je crois qu'on a besoin d'un homme qui ignore tout des armes dans cette maison inhabitée.

Facebook Partager la citation sur facebook Gerbier : Vous dans cette voiture de tueurs, il n'y a vraiment plus rien de sacré dans ce monde.
A Luc Jardie

Facebook Partager la citation sur facebook Épilogue : « Claude Ullmann, dit « Le Masque », eut le temps d'avaler sa pilule de cyanure, le 8 novembre 1943. Guillaume Vermersch, dit « Le Bison », fut décapité à la hache dans une prison allemande le 16 décembre 1943. Luc Jardie mourut sous la torture le 22 janvier 1944 après avoir livré un nom : le sien… Et le 13 février 1944, Philippe Gerbier décida, cette fois-là, de ne pas courir. »