Recherchez un film ou une personnalité :
FacebookConnexionInscription
Arnaques, crimes et botanique est un film Britannique de genre Thriller réalisé par Guy Ritchie sorti en France le 28 octobre 1998 avec Jason Flemyng

Arnaques, crimes et botanique (1998)

Lock, Stock and Two Smoking Barrels

Arnaques, crimes et botanique
Si vous aimez ce film, faites-le savoir !

= Bacon =

Facebook Partager la citation sur facebook On a des amateurs de bijoux ? Regardez un peu celui-là. Fait main en Italie, et volé main à Stepney. Il est long comme mon bras, dommage qu'il soit pas long comme autre chose. Allez pas croire que parce qu'elles sont scellées, ces boîtes sont vides. Des boîtes vides, y a que les pompes funèbres qui vous en vendent !

Facebook Partager la citation sur facebook Gâtez votre femme, gâtez plutôt la femme de votre voisin. C'est plus marrant à condition de pas se faire piquer.

= Eddie =

Facebook Partager la citation sur facebook Tout l'Empire Britannique s'est bâti sur des tasses de thé. […] Et si tu crois que je vais partir en guerre sans boire une bonne tasse de thé, tu te trompes.

= Soap =

Facebook Partager la citation sur facebook Et puis, je crois que des couteaux, c'est une bonne idée. Énormes, avec des lames reluisantes. Du genre qui peut écorcher vif un crocodile. Les couteaux c'est bien, parce que ça fait pas de bruit, et moins de bruit ils font, et plus on a intérêt à s'en servir. Ils vont flipper les types, parce qu'ils verront qu'on rigole pas. Les fusils pour l'esbroufe, les lames pour les pros.

= Rory le Casseur =

Facebook Partager la citation sur facebook Si t'essaies de me cacher quelque chose, je te tue. Si tu déformes les faits ou si je crois que tu déformes les faits, je te tue. Si tu oublies quelque chose, je te tue. En vérité, il va falloir te donner un mal de chien si tu tiens à la vie. Est-ce que tu as saisi tout ce que je t'ai dit ? Fais un petit effort ou je te tue !

= Narrateur =

Facebook Partager la citation sur facebook Ed joue aux cartes depuis qu'il est capable de les tenir. Il a eu vite fait de comprendre qu'il avait un gros avantage sur les autres. C'est pas qu'il sache mieux jouer, ou qu'il sache mieux compter. C'est qu'il sait décoder les réactions des autres, même les plus subtiles. Et tout le monde a des réactions. [pause] Surtout quand il est question d'argent.

= Dialogues =

Facebook Partager la citation sur facebook
Nick le Grec : Voilà cent billets.
Eddie et Tom (en voyant l'épaisseur de la liasse de billets qu'il vient de sortir) : Putain de merde !
Eddie : Y a de quoi étouffer un régiment de connards. Et pour cent livres, t'es là à chipoter. Qu'est-ce que tu fais quand t'achètes pas de chaîne stéréo, tu finances des révolutions ?
Nick le Grec : Quoi qu'il en soit, cent livres c'est toujours bon à prendre.
Tom : Pas quand le prix est de deux cents livres, mon vieux, et qu'on a dans la fouille de quoi couvrir le déficit annuel du Liberia.

Facebook Partager la citation sur facebook Winston : La prochaine fois que tu achètes ta saloperie d'engrais, tâche d'y mettre un peu de discrétion !
Willie : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Winston : Ici, on fait pousser en abondance la marijuana, d'accord ?
Willie : Ouais.
Winston : Et tu trimbales un sac d'engrais et une gamine en pleine défonce ! Je dois te dire que tu n'as pas vraiment la gueule du paysan horticulteur ! Voilà ce que je veux te dire, Willie !

Facebook Partager la citation sur facebook Harry Lonsdale : Je suppose que tu es Eddie, le fils de JD.
Eddie : Et je suppose que tu dois être Harry. Désolé, j'ai pas connu ton père.
Harry Lonsdale : Ça va peut-être s'arranger. Continues comme ça et il se pourrait que tu tardes pas à le rejoindre.

Facebook Partager la citation sur facebook
Tom : Bon, écoutez-moi bien. Vous ouvrez une nouvelle boîte. Vous l'appelez le fan-club des pédés broutte-culs. Vous vous payez une page de pub dans un magazine gay qui fait l'article sur le dernier godemichet pour trous du cul. Vous écrivez par exemple, je sais pas « ce qu'un autre godemichet n'a pas pu faire jusqu'ici, le dernier cri en matière de technologie sexuelle, satisfait ou remboursé », enfin vous voyez le baratin quoi. Ces godes, ils vont se vendre vingt-cinq livres la pièce. Ça revient pas cher la dose de plaisir qu'ils vont donner à l'acheteur. Mais il faut envoyer son chèque au nom d'une autre boîte, comme par exemple, je sais pas moi, Bobby par exemple, pour un montant de vingt-cinq livres. Vous foutez le chèque de vingt-cinq livres à la banque le temps de le toucher. L'astuce, je vous l'explique. Vous renvoyez le chèque de vingt-cinq livres, mais pas de la part de Bobby, celui-là c'est de la part de l'autre boîte et avec une lettre du fan-club des broutte-culs précisant « on est désolés, on a pas été livrés par le fournisseur américain parce qu'il y a eu rupture de stock ». À votre avis, combien de mecs vont encaisser ce chèque ? Je dis qu'il n'y en aura aucun parce que qui voudra que sa banque puisse savoir qu'elle a un client qui paie pour brouter les culs ?
Bacon : Faudra combien de temps pour qu'on fasse du bénef ?
Tom : Je dirais, pas plus de quatre semaines.
Bacon : Un mois ! Est-ce que je peux te rappeler que le fric, il faut qu'on l'ait dans six… non, dans cinq jours.
Tom : Ben, ça reste une bonne idée.

Facebook Partager la citation sur facebook
Soap : Armés ? Mais comment ça armés ? Leurs armes c'est quoi ?
Eddie : Mauvaise haleine, argot pittoresque, quelques balayettes… Qu'est-ce que tu crois qu'ils ont comme armes ? Des flingues, pauvre connard !
Soap : Des flingues ! Tu avais encore jamais parlé de flingues. Ton plan soi-disant sans le moindre risque, il s'annonce plutôt comme une mauvaise journée en Bosnie.

Facebook Partager la citation sur facebook
Bacon : On a touché le jackpot, les gars. On a je ne sais combien de tonnes de cette putain d'herbe et un énorme paquet de fric… et un contractuel !
Eddie : Quoi ?
Tom : Putain de merde, c'est vrai, on a un contractuel !
Bacon : Il a l'air encore vivant, sauf que dis-donc, le mec il pisse le raisinet. Qu'est-ce qu'ils foutaient avec un contractuel ?
Eddie : J'en sais rien mais on a pas besoin de lui. Assomme-le, et au feu, balance-le.
Bacon : Assomme-le, comment ça assomme-le ? Avec quoi je l'assomme ?
Eddie : J'en sais rien, sers-toi un peu de ta tête !
(Bacon donne un coup de poing au contractuel)
Tom : Le caresse pas, Bacon, assomme-le !
Bacon : Tu la fermes, Tom ! C'est toi que je vais assommer. Tu veux qu'on assomme le mec, alors assomme-le toi-même.
Eddie : Les contractuels, moi ça me fait chier.
(Eddie et Tom échangent un regard et se jettent sur le contractuel)