Le film est divisé en quatre actes distincts. Daniel Richter incarne l'Australopithecus afarensis qui découvre l'usage de l'outil après avoir touché le monolithe dans le premier acte qui se déroule « à l'aube de l'humanité » ; William Sylvester joue le docteur Heywood R. Floyd dans le second acte quand, en 2001, le même monolithe est découvert sur la Lune. Keir Dullea (Dr David Bowman) et Gary Lockwood (Frank Poole) apparaissent dans le troisième acte en tant qu'astronautes entreprenant un voyage vers Jupiter à bord du vaisseau Discovery One, suivant le signal émis par le monolithe lorsqu'il a été découvert sur la Lune. Douglas Rain est la voix de l'ordinateur de bord sentient HAL 9000, qui commande toutes les fonctions du vaisseau. Dans l'acte final, le film suit le périple de l'astronaute David Bowman « au-delà de l'infini ».
Lors d'un congrès du Club des Astronomes, le professeur Barbenfouillis, président de ce club, surprend l'auditoire en faisant part de son projet de voyage dans la Lune. Il organise ensuite pour ses confrères la visite de l'atelier où l'obus spatial est en chantier. Il sera propulsé en direction de la Lune au moyen d'un canon géant de 300 mètres de long, embarquant à son bord six savants astronomes, dont Barbenfouillis.
Réalisé à partir d'images 70MM inédites récemment découvertes et plus de 11 000 heures d'enregistrements audio, APOLLO 11 plonge au cœur de la plus célèbre mission de la NASA et des premiers pas de l’Homme sur la Lune. Ce film est un voyage en immersion aux côtés des astronautes et du centre de contrôle de la mission et permet de vivre au plus près les inoubliables journées de 1969 dont on célèbre cette année le 50ème anniversaire.
Un coupeur de bambou découvre un jour une minuscule princesse à l’intérieur d’une tige de bambou. Il la ramène chez lui en pensant qu'il s'agit d'un don du ciel et la présente à sa femme. Le petit être se transforme alors en bébé que le couple de paysans élève dans la montagne. Les enfants de la région la surnomment « Pousse de bambou » car tout comme les bambous elle grandit à vue d'œil. Mais le paysan trouve une montagne de pièces d'or en coupant un bambou et se persuade qu'il a le devoir de faire de sa fille une princesse. Il arrache donc la jeune enfant à sa montagne et à ses amis pour lui imposer une éducation de noble dans la capitale. Mélancolique, la jeune fille rêve de ses amis perdus et ne s'intéresse pas à l’aristocratie. Au cours de la cérémonie de passage à l'âge adulte on la nomme « Princesse Kaguya des bambous graciles » en raison de sa souplesse et de sa beauté « lumineuse ». Sa beauté devient incroyablement réputée bien que personne n'ait jamais vu son visage. Les cinq grands princes de la capitale demandent sa main. Elle refuse leurs offres ainsi que celle de l'empereur. Par la suite, elle comprend qu'elle vient de la Lune et qu'elle a été envoyée sur la Terre pour la punir d'avoir désiré découvrir cette planète interdite. Les Sélénites considèrent que les Terriens sont souillés par des émotions telles la tristesse, la joie, la peur.
Une barque se déplace en pleine mer, avec trois hommes à bord : le grand-père, le père et le jeune garçon, lequel reçoit en cadeau la même casquette que ses aînés, qui se disputent au sujet de la façon dont le petit doit porter son couvre-chef. Ensuite ils s'assoient et attendent. Le jeune garçon, se demandant que faire, imite les gestes des deux autres.
Dans les années 1920, les parents de Katherine Coleman apprennent que leur fille possède un don pour les sciences, qu'elle doit parfaire en fréquentant une école pour Noirs (les Blancs étant dans des écoles séparées) car elle est dotée d'aptitudes intellectuelles supérieures. En 1962, devenue mathématicienne, Katherine Coleman (désormais Goble) travaille au sein d'un groupe de calculatrices humaines, sur le campus ouest du Centre de recherche Langley à Hampton, en Virginie, aux États-Unis, avec deux amies et collègues : l'aspirante ingénieure Mary Jackson et la superviseure d'équipe Dorothy Vaughan. À la suite du lancement réussi de Spoutnik 1, Al Harrison, directeur du Space Task Group, exige encore plus d'efforts de la part des employés sous sa supervision, de crainte que les Soviétiques ne mettent en orbite une bombe H pouvant exploser au-dessus du sol américain. Goble est envoyée dans son groupe pour vérifier les calculs, devenant la première Afro-Américaine à participer à ce groupe de recherche. Au début, elle est ignorée de ses collègues blancs et doit travailler à partir de données partiellement masquées (Goble n'ayant pas le niveau d'habilitation nécessaire) sous les ordres de Paul Stafford, un homme croyant en sa supériorité intellectuelle et refusant de reconnaître le travail de Katherine.
Sam Bell est un employé de la société Lunar, entreprise d'extraction d'hélium 3. Cette ressource-clef répond à la crise énergétique grandissante sur Terre tout en fournissant une énergie propre. L'hélium 3 n'est récupérable que dans la régolithe (poussière lunaire), ce qui a imposé à Lunar de bâtir une station spatiale lunaire très automatisée dont un employé a la surveillance. Sam Bell y est en poste avec pour seul compagnon Gerty, un ordinateur mobile polyvalent doté de la parole. Arrivant à la fin de son contrat de trois ans, il s'apprête à achever sa longue mission en solitaire et à retrouver sa famille, mais, petit à petit, il est pris d'hallucinations.
Le film raconte l'histoire d'Apollo 13, la septième mission spatiale habitée américaine vers la Lune du programme Apollo, qui comprend pour équipage l'astronaute James Lovell (le plus expérimenté de la NASA), Fred Haise et Jack Swigert.
À l'approche des vacances en Angleterre, Wallace hésite sur la destination touristique. Lorsqu'il s'aperçoit qu'il n'a plus de fromage en réserve pour manger avec ses crackers, il a l'idée de se rendre pour les vacances sur la Lune, qui est composée de fromage. Il se met alors à construire une fusée avec son chien, Gromit.
Opération Lune est un canular sous forme de documentaire réalisé par William Karel en 2002.Un documentaire d'intrigue, subtil mélange de faits réels, de fiction et d'hypothèses autour d'un événement qui marqua le XXe siècle : la course à la Lune. Richard Nixon était-il prêt à tout pour assurer la suprématie des États-Unis dans la conquête de l'espace ? Y a-t-il vraiment eu des « retransmissions en direct » de la Lune ? Quels liens Stanley Kubrick entretenait-il avec la Nasa ? Construit autour de réelles interviews d'Henry Kissinger, Donald Rumsfeld ou Buzz Aldrin, ce film jette le trouble et nous rappelle le pouvoir des images et leur possible manipulation.
Le méprisable Gru est un super-méchant professionnel, odieux et fier de l'être. Il est aidé de son associé-inventeur, le vieux docteur Néfario, et de ses fidèles Minions.
Alors qu'il travaille dans son observatoire, un astronome voit apparaître un diablotin et une noble dame. Il dessine ensuite des corps célestes, qui s'animent alors sur le tableau noir. Puis ses meubles disparaissent, et alors qu'il souhaite regarder la Lune avec un immense télescope, celle-ci lui apparaît, un mètre devant lui, et mange son instrument. Elle détruit également d'autres objets, et deux enfants déguisés en Pierrot sortent de sa bouche. L'astronome veut la frapper, mais elle recule, puis se transforme en croissant, sur lequel repose une jeune fille, qui enfin apparaît près de l'astronome; elle s'envole alors. L'astronome est ensuite mangé par la Lune, qui recrache ses membres; le diablotin joue avec et la dame le reconstitue. Puis, l'astronome revient dans son observatoire.