Part 1: Pride and Genocide deals with the carnage and its immediate aftermath. It examines the patterns of pre-planned genocidal violence (by right-wing Hindutva cadres), which many claim was state-supported, if not state-sponsored. The film reconstructs through eyewitness accounts the attack on Gulbarg and Patiya (Ahmedabad) and acts of barbaric violence against Moslem women at Eral and Delol/Kalol (Panchmahals) even as Chief Minister Modi traverses the state on his Gaurav Yatra
Two honest and bold police officers Adhi Narayanan (Kamal Hassan) and Abbas (Arjun) device a master plan to bring in control the Terrorist Groups and send two secret vigilance officers, named Anand and Shiva on an operation called Operation "Dhanush". The objective is to infiltrate a terror group headed by a man named Badri, and send information back to Abbas. A leak from inside the police camp leads the terrorist to oust Anand as a spy but before they could torture him and get the information of the second spy, he commits suicide.
Batman aborde une phase décisive de sa guerre au crime. Avec l'aide du lieutenant de police Jim Gordon et du nouveau procureur Harvey Dent, il entreprend de démanteler les dernières organisations criminelles qui infestent les rues de la ville. L'association s'avère efficace, mais le trio se heurte bientôt à un nouveau génie du crime qui répand la terreur et le chaos dans Gotham : le Joker. On ne sait pas d'où il vient ni qui il est. Ce criminel possède une intelligence redoutable doublé d'un humour sordide et n'hésite pas à s'attaquer à la pègre locale dans le seul but de semer le chaos.
En 1966, deux frères, Matteo et Nicola Carati, révisent pour leurs examens de fin d’études. Matteo, de son côté, devrait selon toute vraisemblance obtenir haut la main son diplôme de littérature. Nicola qui se destine à la médecine, a tout d’un homme qui s'épanouit, au caractère bienveillant. Dans le cadre d’un programme d’accompagnement, Matteo fait la connaissance d’une jeune fille aliénée mentale nommée Giorgia. Cette rencontre va durablement bouleverser la vie des deux frères.
À l'origine, les frères Naudet projetaient de produire un petit film documentaire retraçant le parcours d'une nouvelle recrue chez les pompiers de New York que l'on surnomme habituellement le « probie » (jeune pompier en période probatoire). Après quelques mois de tournage, lorsqu'un des frères est en train de filmer les pompiers, intervenant sur une fuite de gaz non loin du World Trade Center, le 11 septembre 2001, il pointe sa caméra en direction du premier Boeing 767, au moment où celui-ci percute l'une des deux tours. Les deux frères suivent alors, chacun de leur côté, l'équipe des pompiers dans les tout premiers moments de leur intervention. Jules est ainsi le seul journaliste qui a pu filmer de l'intérieur et en continu l'organisation des opérations de sauvetage dans la tour 1 (tour Nord) ; étant au moment du crash avec le commandant Joseph Pfeiffer, chef de bataillon des pompiers responsables du WTC, il a été autorisé à le suivre durant toutes les opérations. Au moment où la tour 2 (tour Sud) s'effondre, la décision est prise d'évacuer d'urgence la tour Nord. Le journaliste et une partie des pompiers parviennent finalement à s'échapper de cette tour peu avant que celle-ci ne s'effondre également.
Le film démarre sur le plan du personnage principal (Edward Norton) à qui on a enfoncé un pistolet dans la bouche et dont on entend la voix en monologue qui se remémore comment il en est arrivé là.
En pleine guerre froide, le général de l’Armée de l’air américaine Jack D. Ripper, frappé de folie paranoïaque, décide, seul et alors qu'aucune menace ne le justifiait, d’envoyer ses quarante-deux bombardiers B-52 munis de bombes atomiques frapper l’URSS. Puis il coupe sa base de l'extérieur, et le Pentagone n'a aucun moyen de rappeler ces avions. Le président des États-Unis (interprété par Peter Sellers) commande une réunion d'urgence dans la salle souterraine de commandement stratégique pour tenter d'éviter une guerre nucléaire.
Ce docu-fiction qui s'inspire du livre éponyme retrace les conséquences d'un bombardement qui a eu lieu en 1993 à Bombay, à travers les yeux d'un journaliste.
Un travail minutieux de récolte d'images a permis de reconstituer, minute par minute, ce qu'ont vécu les New-Yorkais lors du 11 septembre 2001, entre l'impact du premier avion et l'effondrement de la seconde tour. De leurs appartements, de Times Square aux quais du New Jersey, les New-Yorkais commentent, observent, et surtout filment la catastrophe. Si certains restent incrédules, d'autres sont pris de panique. Les rumeurs circulent, les transports s'arrêtent et les lignes téléphoniques sont mises hors service. L'île de Manhattan se retrouve coupée du monde. Ses habitants cherchent à fuir en marchant le long des routes et prennent d'assaut les ferries.
Le film s'ouvre sur l'atterrissage d'un Boeing 747 Jumbo Jet. En 1988, le lieutenant de police à New York John McClane se rend à Los Angeles afin de passer Noël en compagnie de son épouse Holly et de leurs deux enfants. John n’est pas du tout à l’aise en avion et est très crispé lors de l’atterrissage. Son voisin de siège, constatant cela, en vieux briscard de l’avion, lui indique une méthode imparable pour se remettre du mal de l’air : arrivé à destination il faut enlever ses chaussures et ses chaussettes et faire le point avec les orteils, sur la moquette de préférence. Il ajoute que cette méthode éprouvée depuis des années est plus efficace qu’une douche et un café chaud. Devant l'étonnement de John, le passager ricane et ajoute que ça fait 9 ans qu'il pratique ce truc et que c'est plus efficace qu'une douche et un café chaud. John le remercie. En prenant son bagage cabine, le passager remarque le revolver que John porte sous sa veste, dans son holster. John remarque l'angoisse du passager. Comme pour le rassurer et le taquiner, John lui dit de lui faire confiance, car il est flic et ça fait 11 ans qu'il pratique ce truc! (On comprend alors que John est un flic expérimenté). En se frayant un passage dans le couloir de l'avion, il se frôle avec une superbe hôtesse de l'air brune, qui semble elle aussi se régaler du physique avantageux de John. Arrivé à l’aéroport, portant sous le bras un énorme ours en peluche, John s'allume une cigarette. La scène passe dans l'immeuble où on observe un homme asiatique en costume élégant. Il se déplace, demande à un orchestre classique d'arrêter de jouer, pour faire son discours depuis un balcon surplombant la foule. Voici le discours (en VF), cela a son importance pour l'analyse qui suit : "Mesdames et Messieurs! Mesdames et Messieurs! Je tiens à féliciter chacun de vous pour avoir permit que cette année soit une des plus mémorable de l'histoire de la Compagnie Nakatomi. (les gens applaudissent) Au nom de notre Président, Monsieur Hozzu, et de tout le conseil d'administration, je vous remercie tous et je vous souhaite un Joyeux Noel et une Bonne Année!" La foule lui souhaite en retour. Une femme, Holly Gennaro, passe dans la foule, papiers à la main, sans se soucier ni de la fête, ni du discours, car elle est très occupée à son travail. Un homme la suit et lui propose ostentatoirement de sortir avec elle le soir de Noel. Holly le rembarre gentillement. Elle appelle chez elle (et c'est Lucie Mac Clane qui répond, on la verra plus tard dans un autre opus de la série Die Hard). Lucie lui demande si son papa rentre ce soir. Holly ne sait pas. Holly demande à son empleada de faire la chambre d'amis, ce qu'elle a déjà fait. Holly, nerveuse en revoyant une photographie de sa famille, avec John, cache cette photo, tout en laissant le cadre sur son bureau. Nous retournons à l'aéroport où John constate la différence entre New York City et la Californie quand une superbe femme blonde en habits sportswear moulant se jette au cou de son ami, ce qui surprend John. L'ambiance dans l'aéroport se retrouvera un peu dans DieHard2, l'opus suivant. Une limousine attend John avec un chauffeur, Argyle (qui est novice, c’est la première fois qu’il est chauffeur de limousine, avant il était chauffeur de taxi, ce qui explique sa facilité à engager le dialogue avec John, qui lui est plus renfermé), pour le mener au siège de la compagnie où travaille sa femme, le gratte-ciel Nakatomi Plaza pour la fête de Noël de l'entreprise. Lors de la discussion dans la limousine, Argyle, pas aussi idiot qu’il s’en donne l’air, comprend vite que les relations conjugales entre John et sa femme Holly ne sont pas au beau fixe. John a préféré rester à News York quand Holly a été promue à un poste de cadre dans son entreprise à Los Angeles. Ainsi, le couple vit séparé depuis des mois. Argyle propose d’attendre John dans le parking de l’immeuble, le temps à John de se rabibocher avec Holly. Sinon Argyle lui propose de lui trouver un endroit pour dormir.
Un nouveau regard - percutant et désespérant - sur la guerre en Irak, où comment le président américain George W. Bush et son administration, en l'occurrence la CIA, manipulèrent les masses.
In 2001 Japanese American painter, Jimmy Mirikitani (born Tsutomu Mirikitani), and over 80 years old, was living on the streets of lower Manhattan. Filmmaker, Linda Hattendorf, took an interest and began