Longue méditation douloureuse sur la singularité des crimes nazis et la douleur de l'Homme survivant, le film prend le parti de n'utiliser aucune image d'archives. Seuls des témoignages de rescapés, de contemporains ou d'assassins sont montrés. Quelques séquences ont été rejouées ou préparées (ainsi le récit poignant d'un coiffeur, Abraham Bomba) mais la plupart ont été tournées en caméra directe, traduites à la volée par l'un ou l'une des protagonistes.
Part 1: Pride and Genocide deals with the carnage and its immediate aftermath. It examines the patterns of pre-planned genocidal violence (by right-wing Hindutva cadres), which many claim was state-supported, if not state-sponsored. The film reconstructs through eyewitness accounts the attack on Gulbarg and Patiya (Ahmedabad) and acts of barbaric violence against Moslem women at Eral and Delol/Kalol (Panchmahals) even as Chief Minister Modi traverses the state on his Gaurav Yatra
1955 : Alain Resnais, à la demande du comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, se rend sur les lieux où des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants ont perdu la vie. Il s'agit d'Orianenbourg, Auschwitz, Dachau, Ravensbruck, Belsen, Neuengamme, Struthof. Avec Jean Cayrol et l'aide de documents d'archives, il retrace le lent calvaire des déportés.
In The Gambia, West Africa, in 1750 Kunta Kinte is born to Omoro Kinte (Thalmus Rasulala), a Mandinka warrior, and his wife, Binta (Cicely Tyson). When Kunta (LeVar Burton) reaches the age of 15, he and a group of other adolescent boys take part in tribal manhood training, ending with a ceremony, after which they become recognized as men and Mandinka warriors. While trying to carry out a task to catch a bird and take it home unharmed, Kunta sees white men carrying firearms, along with their black collaborators. Later, while fetching wood outside his village to make a drum for his younger brother, Kunta is captured by black collaborators under the direction of white men. He is then sold to a slave trader and placed aboard a ship under the command of Capt. Thomas Davies (Edward Asner) for a three-month journey to Colonial America. During the voyage a group of rebels among the human cargo try but fail to stage a mutiny and to take over the ship.
Deux frères, Derek et Daniel (Danny) Vinyard qui vivent à Venice Beach, en Californie, sont deux jeunes étudiants intelligents et charismatiques. Derek rejoint le mouvement skinhead néonazi à la suite de la mort de son père pompier, tué par un dealer noir alors qu'il tentait d'éteindre un incendie dans un ghetto de Los Angeles. Un soir, Derek tue lui-même deux délinquants noirs qui tentaient de voler la voiture de son défunt père. Il est par la suite condamné à trois ans de prison pour homicide volontaire. Danny se retrouve influencé par l'idéologie de son aîné, mais Derek est libéré de prison et désormais radicalement transformé par son incarcération, il tente d'empêcher son frère d'emprunter la même voie que lui.
Atticus Finch, un avocat dans le sud des États-Unis des années 1930 doit défendre un homme noir accusé de viol. Le récit, raconté à travers les souvenirs et le regard de ses enfants Scout et Jem, est parsemé de détails sur la vie et les mentalités de l'époque ainsi que d'anecdotes de voisinage (dont certaines inspirées des souvenirs d'enfance de l'auteur du roman à l'origine du film).
William Peters follows Jane Elliott's conversely controversial and lauded schoolroom exercise of dividing an otherwise homogenous group of elementary school kids by their eye color. It was a demonstration of prejudice and discrimination meant to teach the students about the unfairness of racism, developed as a response to the shooting of Martin Luther King in April 1968. The film records Elliott in 1970 while conducting the exercise for the third time.
L'histoire se déroule aux États-Unis en 1962. Frank Vallelonga, surnommé "Tony Lip", un videur italo-américain de New York, cherche un emploi après la fermeture de la Copacabana, la boîte de nuit où il travaillait, pour rénovations. Il est invité pour une entrevue par le docteur Don Shirley, un excentrique pianiste noir d'origine jamaïcaine, qui cherche un chauffeur pour une tournée de huit semaines à travers le Midwest et le Sud profond. Don engage Tony grâce à ses références. Ils partent et prévoient de revenir à New York pour le Réveillon de Noël. Le label de Don donne à Tony une copie du Green Book, un guide pour les voyageurs afro-américains indiquant des motels, des restaurants et des stations-service qui autorisent la visite de personnes de couleur.
Motherland is an epic documentary about the African continent from Ancient Egypt to the present. It is an overview of African history and contemporary issues but with the African people at the centre of the story. It is one of the first Pan-African features to be made.
Géorgie, 1861. Scarlett O'Hara est une jeune fille de la haute société sudiste. Sa famille possède une grande plantation de coton appelée « Tara ». Âgée de 16 ans, elle est courtisée par tous les bons partis du pays, mais n'a d'yeux que pour Ashley Wilkes. Scarlett a un caractère bien trempé, obstiné, rusé et capricieux qui fera sa force et sa faiblesse, et donnera à Autant en emporte le vent un dynamisme particulier. Ashley, cependant, est promis à sa cousine, la vertueuse Melanie Hamilton. Scarlett cherche à tout prix à le séduire, mais à la réception des Douze Chênes, c'est du cynique et controversé Rhett Butler qu'elle retient l'attention. Ce dernier l'a surprise alors qu'elle avouait son amour à Ashley. Fasciné par l'énergie et la force de caractère de l’héroïne, il n'aura d'yeux que pour elle, malgré son indépendance d'esprit.