Le film raconte l'histoire de Daniela, une jeune fille bisexuelle de dix-sept ans qui écrit un blog sur les conflits qu'elle éprouve vis-à-vis de la religion et de la sexualité.
Marion, 14 ans, est en vacances en Normandie avec sa famille. C'est là qu'elle rencontre Marc, un dragueur de 35 ans. Ils se livrent ensemble à un jeu de séduction sans aller très loin. De retour à Paris, ils se revoient à plusieurs reprises. Marion, encore vierge, voudrait coucher avec Marc, sans toutefois oser se l'avouer. De son côté, Marc est las des manœuvres d'approche et se montre soudain plus entreprenant : il invite sa timide proie dans sa chambre à coucher. Mais Marion s'enferme dans sa pudeur et ses contradictions. Patiemment, Marc apprend à sa compagne les gestes de l'amour. Après plusieurs revirements, Marc finit par déflorer Marion et par lui faire découvrir le plaisir charnel.
Une relation ambiguë se noue entre un maître-nageur et l'un de ses élèves. L'histoire est racontée par Sebastián (Carlos Echevarría), le maître-nageur. Martin (Javier De Pietro) a seize ans et il est attiré par le maître-nageur qui tente de le maintenir à distance, tout en étant gentil avec lui. Légèrement blessé à un entraînement, Martin est amené par lui à l'hôpital, puis passe la nuit chez Sebastián...
Un ex-professeur de football de 29 ans, Eban (Brent Fellows), retourne dans sa ville natale pour vivre chez ses parents. Il se lie d'amitié avec Charley (Giovanni Andrade), un garçon de 15 ans. Ils entreprennent peu à peu une relation amoureuse, malgré la menace du père du jeune Charley (Ron Upton) qui prend conscience de la situation.
Jeanne aime Jean mais celui-ci ne pense qu'à partir. Un jour, il s'enfuit sur les routes puis meurt. Jeanne ne le saura jamais. Dans l'absence de cet homme aimé, elle se souvient de lui et se confie à son ami Pierre, lui racontant leur séjour en Provence. Les derniers mots de Jeanne sont : « Jean, tout est fragile. Peut-on vivre d'un souvenir ? ».
Il s'agit d'une histoire d'amour entre une professeur, Danièle, et un de ses élèves, Gérard, pendant l'ambiance surchauffée de Mai 68. Danièle est une jeune femme enflammée, très engagée politiquement. Les parents de Gérard portent plainte, Danièle est emprisonnée et le drame commence...
Simon, 12 ans, vit seul avec Louise, dans une vallée industrielle de Suisse. Tous deux vivent grâce au petit trafic d'équipements de ski de Simon, qui vole le matériel dans la station de ski située en haut de la vallée et le revend ensuite à ses petits voisins ou à des automobilistes au bord des routes. Louise, qui papillonne d'amant en amant, perd son travail et devient progressivement dépendante de Simon. On apprend peu à peu, dans une chronique de la petite misère quotidienne, l'histoire compliquée de ce lien familial : Louise est en réalité la mère de Simon et lui impose de dire qu'il est son petit frère. Le film s'attache à montrer les liens affectifs des deux protagonistes entre déchirement, conflit, réconciliation et affection mutuelle. Simon, sous des aspects de grand débrouillard sans scrupules malgré son jeune âge, reste un enfant fragile à la recherche d'un lien maternel brisé. Louise, bien que frivole et inconsciente, est, quant à elle, tiraillée entre son goût pour l'indépendance et la nécessité de protéger Simon.
Elodie et Julie, deux ados de 15 ans, décident de coucher pour la première fois avec des garçons et ce avant les vacances qui arrivent dans une semaine.
Deux jeunes enseignants, Alexeï et Lika, travaillent dans un internat pour handicapés. Ils sont amoureux l’un de l’autre mais voudraient savoir si leurs élèves peuvent éprouver un sentiment d’amour aussi. Ils décident de se livrer à une expérience.
L'histoire est celle d'un groupe d'enfants d'une dizaine d'années fréquentant la même école et habitant le même quartier. Omar (Ppe Mafall Thioune) et Yacine (Anta Sylla), les deux principaux protagonistes, ressentent leurs premiers émois amoureux et découvrent ainsi la complexité de la vie.
Math, Marie, JP et d'autres sont des lycéens de la capitale. La rue est leur terrain de jeu, surtout derrière le palais de Tokyo, où ils côtoient l'art sans le voir. Planche de skate dans une main, pétards et bières dans l'autre, ils se filment et se provoquent, se touchent et se trahissent. Dans leurs pulsions les plus extrêmes, certains d'entre eux se prostituent, d'autres se droguent. Ils draguent aussi sur internet. Issus de milieux aisés, ils ne sont pas moins victimes et symboles d'une jeunesse en perdition, livrée à elle-même dans un monde où sexe et argent sont rois, gaspillés ou non, et inéluctablement liés à des trajets familiaux chaotiques...
La jolie jeune fille de seize ans, George, est amoureuse d’Alex et, pour ce faire, se prépare à un jeu collectif : ses amis et elle découvrent les limites de leur sexualité en pleins faubourgs aisés de Biarritz.
Thomas Lebey, célèbre écrivain, tente de se retrouver en retournant sur les lieux de son premier amour. Il replonge dans ses souvenirs. C'est en 1960 qu'il a fait la connaissance de Sheila, charmante jeune fille de 17 ans. Cette immersion dans le passé est néanmoins troublée par l'apparition de son propre fantôme, celui d'un adolescent, qui va lui rappeler ses illusions perdues.