Le film raconte l'histoire du pianiste polonais juif Władysław Szpilman, dit aussi Wladek. L'histoire se déroule à Varsovie en Pologne pendant la Seconde Guerre mondiale. W. Szpilman est alors le pianiste officiel de la Radio polonaise et une figure connue du milieu culturel polonais. Lorsque les nazis s'emparent de la ville, ils suppriment progressivement les droits des Juifs, puis les parquent dans le ghetto créé pour les regrouper en vue de leur extermination.
En 1916 en France, lors de la Première Guerre mondiale : la tactique de la guerre de tranchées a mené à l’enlisement. Des assauts réguliers, inutiles et meurtriers sont cependant organisés pour essayer de prendre le dessus sur l'ennemi.
En 1943, un résistant, Fontaine, est arrêté par les Allemands et emprisonné à la prison Montluc à Lyon. Il met tout en œuvre pour s'évader, imagine un plan, et parvient à force de courage et de travail à s'en procurer les instruments. Mais juste avant sa fuite, on affecte à sa cellule un autre prisonnier (un jeune garçon). Fontaine hésite à le supprimer, et l'emmène finalement avec lui. Leur évasion (nocturne) est longue et incertaine, mais les deux prisonniers parviennent finalement à retrouver la liberté.
En partant de l'étude du cas de Clermont-Ferrand, le film dresse la chronique de la vie d'une ville française entre 1940 et 1944. Le film élargit son propos factuel à toute l'Auvergne mais comporte aussi des témoignages de personnalités ayant joué un rôle important pendant la guerre (militaires, hommes d'état, témoins-clés) ou ayant participé activement à celle-ci, pas forcément à Clermont-Ferrand ni même en Auvergne.
En 1954 à Alger, le Front de libération nationale (FLN) diffuse son premier communiqué : son but est l'indépendance nationale vis-à-vis de la France, et la restauration de l'État algérien. Ali la Pointe propose des parties de bonneteau. Repéré par la police, il s'enfuit mais se fait agresser par un passant, il réplique et se fait tabasser par le reste du groupe. Rattrapé par la police, il se fait arrêter. Emprisonné, il assiste par la fenêtre de sa cellule à l'exécution d'une peine de mort par guillotine sur un nationaliste. Le FLN le contacte.
20 octobre 1942, en France occupée. Philippe Gerbier, ingénieur distingué des Ponts et Chaussées soupçonné de « pensées gaullistes », est arrêté par la police de Vichy et placé dans un camp de prisonniers reconverti en prison. Il tranche avec les autres prisonniers par une force de caractère peu commune, et par les appuis qui l'ont placé dans ce camp. Quelques jours plus tard, les autorités françaises remettent Gerbier à la Gestapo, la police secrète nazie, qui le transfère à Paris pour un interrogatoire dans l'hôtel Majestic. Gerbier réussit à s'échapper avec l'aide d'un résistant anonyme et d'un coiffeur apparemment pétainiste, puis retourne à Marseille où est basé le réseau qu'il dirige effectivement.
Pendant la Première Guerre mondiale, l'avion du lieutenant Maréchal et du capitaine de Boëldieu est abattu par le commandant von Rauffenstein, un aristocrate connaissant par hasard la famille du capitaine de Boëldieu. Les deux officiers français sont envoyés dans un camp en Allemagne. Là, ils retrouvent de nombreux prisonniers français, britanniques, et russes, de tous grades et issus de différents milieux sociaux. Ensemble, les prisonniers organisent différentes activités, partagent leurs maigres ressources et vivent au rythme des nouvelles de l'armée française qui prend et perd successivement des positions sur le front nord, notamment lors de la bataille de Douaumont. La chambrée, outre Maréchal et Boëldieu, regroupe également le lieutenant Demolder, un amoureux des lettres, le lieutenant Rosenthal, fils d'une riche famille juive dans les finances, un ingénieur du cadastre et Cartier, un sergent populaire et volubile. Ils décident de s'échapper du Lager en creusant un tunnel dans des conditions périlleuses. La veille de leur évasion, le sort veut qu'ils soient transférés dans un autre camp.
Le film est tourné dans une camp de réfugiés kurdes à la frontière de l’Irak et de la Turquie à la veille de l’invasion de l’Irak en 2003. L’installeur des satellites de treize ans, Kak Satellite (Soran Ebrahim), est connu pour installer des soucoupes et des antennes chez les villageois des environs qui souhaiteraient avoir des nouvelles de Saddam Hussein, et pour son savoir limité de l’anglais. Il est dynamique, mais également manipulateur.
Au cours de l'exode de 1940 en France, un convoi de civils est mitraillé. Paulette, cinq ans, perd ses parents et se met à errer dans la campagne, serrant dans ses bras le cadavre de son chien. Dans les bois, elle rencontre Michel, un garçon de dix ans, qui l'emmène vivre dans la ferme de ses parents. Réticent au début, le père de Michel accepte l'arrivée de Paulette, plus par peur que les Gouard, ses voisins et ennemis jurés, le fassent et en tirent une quelconque gloire, que par charité.
Durant l'hiver 1943-1944, dans la France occupée. Julien qui a 12 ans, fils d'une famille bourgeoise, est pensionnaire au petit collège Saint Jean de la Croix, tenu par les pères carmes. Il retrouve le chemin de l'école sans joie après les vacances de Noël, pour le deuxième trimestre. Une rentrée presque comme les autres jusqu'à ce que le père Jean vienne présenter trois nouveaux élèves. L'un d'entre eux, le jeune Jean Bonnet, est le voisin de dortoir de Julien.
En 1942, pendant l'Occupation, un bombardier britannique embarquant cinq hommes d'équipage est abattu au-dessus de Paris par la Flak, lors d'un retour de raid aérien. Ses occupants sautent en parachute. Deux sont faits prisonniers, les trois autres parviennent à échapper aux Allemands. Le premier, sir Reginald Brook (alias « Big Moustache »), atterrit dans le zoo de Vincennes, le second, Peter Cunningham, sur la nacelle d'un peintre en bâtiment, Augustin Bouvet, et le dernier, Alan MacIntosh, sur le toit de l'opéra Garnier avant de se réfugier dans la loge d'un chef d'orchestre acariâtre, Stanislas Lefort.
Inspiré de faits réels. L'histoire parcourt l'Algérie des années 1930 aux années 1960, racontant le destin de Younes, jeune Algérien élevé comme un pied-noir par son oncle. Il traverse les tragédies vécues par son pays, dont l'attaque de Mers el-Kébir et la guerre d'Algérie, sur un fond d'histoire d'amour impossible.
Cherbourg, novembre 1957. Geneviève, âgée de dix-sept ans, vit avec sa mère, Madame Emery, jeune veuve qui tient une boutique de parapluies rue de la Tour-Carrée, à l'enseigne Les Parapluies de Cherbourg. Geneviève est amoureuse de Guy, mécanicien dans un garage. Sa mère désapprouve la relation quand elle l'apprend. Le jeune homme est élevé par sa tante (et marraine) Élise, gravement malade.
La puissante adaptation de Yousry Nasrallah du roman de l'écrivain libanais Elias Khoury, relatant cinquante années de dépossession, d'exil et de résistance du peuple palestinien. Le film montre la fuite de Younes, de sa femme Nahila et de leur entourage, depuis leur village du nord de la Palestine jusqu'à un camp de réfugiés au Liban. Certains s'engagent à continuer la lutte, alors que la plupart tente simplement de survivre. En y détaillant l'impact de la nakba (désastre) sur la société palestinienne et les relations souvent conflictuelles des réfugiés avec des hôtes libanais réticents, La porte du soleil s'étend sur plusieurs générations, mêlant des histoires personnelles à des événements historiques.