Vincent, policier, dérobe un gros sac de cocaïne à des trafiquants, mais il est identifié au cours de l’opération. Les truands prennent alors son fils en otage. Vincent doit faire l’échange - son fils contre le sac - dans une immense boîte de nuit tenue par les bandits. La nuit qui commence sera la plus longue de sa vie et peut-être même la dernière.
En pleine période fasciste italienne, on assiste à la rencontre de deux êtres que tout semble séparer. Le pays en est à sa 16e année de fascisme et vit un tournant avec une fuite en avant : alliance allemande, lois raciales, déclaration de guerre (référence historique au 16 mai 1938).
Dans le quartier difficile d'Anderson, situé dans Los Angeles, le gang Street Thunder vient de dérober un stock d'armes à feu – pistolets et fusils – et quelques membres ont été tués après sommation par la police durant une embuscade dans la nuit. En début d'après-midi, les chefs du gang font un pacte de sang, jurant de s'en prendre à la population et à la police. Au même moment, le lieutenant de police Ethan Bishop est chargé par son supérieur de se rendre au Central 13, commissariat de police situé dans Anderson, qui est sur le point d'être désaffecté et transféré dans un autre district. Les lieux sont occupés par un personnel réduit : Leigh, la secrétaire, Julie, la standardiste, et un autre policier, le sergent Chaney.
L'amorce de chacune des cinq parties :
Première partie : alors que Jack roule de nuit un peu ivre, quelque chose se fracasse contre son pare-brise : il s'agit d'une personne, morte, dont Jack va tenter de cacher le cadavre.
Dans la maison du grand couturier parisien Pierre Roussel (joué par Jean Chevrier), à cause de leur séance de représentation prolongée la veille de Noël, des mannequins, notamment Marlène (Sophie Desmarets), Blanche (Brigitte Auber) et Catherine (Anne Vernon), vont voir leur nuit et leur vie sentimentale quelque peu bouleversée. Mais tout s'achèvera dans la liesse.
L'action se déroule en temps réel, le 21 juin 1961 à Paris. Cléo, une jeune et belle chanteuse plutôt frivole, craint d'être atteinte d'un cancer. Il est 17 heures et elle doit récupérer les résultats de ses examens médicaux dans 2 heures. Pour tromper sa peur, elle cherche un soutien dans son entourage. Elle va se heurter à l'incrédulité voire à l'indifférence et mesurer la vacuité de son existence. Elle va finalement trouver le réconfort auprès d'un inconnu à l'issue de son errance angoissée dans Paris.
David Mann, représentant en informatique, doit se rendre à un rendez-vous d'affaires en traversant le désert de Californie. Mais la route sera plus dure que prévu. Au volant d'une voiture quelconque, il est amené à doubler un énorme poids lourd transportant des matières inflammables. Le routier, qui a gonflé le moteur de ce monstre, ne va plus lâcher David Mann, le talonnant, le percutant, zigzaguant devant lui, le guettant après trois arrêts dans des stations-service. Jamais Mann ne voit le visage du conducteur. Il va devoir trouver une stratégie pour remporter ce duel à mort.
Ils ont 25 ans et se marient aujourd'hui. Ils ont 35 ans, se sont unis il y a dix ans et se déchirent aujourd'hui. Ils ont 45 ans, se sont déchirés il y a dix ans et tentent aujourd'hui de se réconcilier... Trois mariages dans un mariage, trois couples durant les 24 heures d'une noce quelque peu perturbée par les doutes et les crises de chacun. "Qu'il est formidable d'aimer", chante courageusement le curé, à l'heure où un mariage sur trois se termine en divorce... Un sur trois : d'accord, mais lequel ?
Bérengère et Vincent, tous deux issus de familles bourgeoises, s'unissent religieusement entourés des leurs. La journée, qui commençait plutôt bien, se dégrade au fil des heures. Le mariage est vécu d'un point de vue différent par certains membres de la famille des jeunes mariés et par les mariés eux-mêmes : secrets, rancœurs, malentendus et quiproquos se succèdent à l'ombre d'un très, très ancien secret… de famille.
Le corps d’une fillette étranglée et violée a été retrouvé dans les dunes. Huit jours plus tôt, on avait trouvé dans la même région une autre fillette ayant subi le même sort.
Yann, peintre réputé, est amoureux de Florence Arnaud, une femme mariée, et lui donne rendez-vous dans son appartement. Malheureusement, Yann a des voisins très encombrants : Boris, un artiste maudit, et sa toute jeune femme, Éva, qui se jouent constamment la comédie de la jalousie meurtrière et de la rupture. Le matin du fameux rendez-vous, Boris oublie son attaché-case chez lui. Éva, en petite lingerie, sort en courant derrière lui. Trop tard ! Un malin courant d'air ferme la porte de son appartement ! Éva sonne chez Yann, le priant de passer par le balcon pour ouvrir sa porte. Mais celui-ci, dans l'attente de la ravissante Florence, est assez réticent pour venir en aide à une si jolie personne si peu habillée. Pris de pitié, il finit par accepter. Il tente désespérément de passer par la grille du balcon mais s'y trouve coincé. Le téléphone sonne, c'est Florence. Eva répond et Florence imagine le pire.
Trajectoires croisées d'une jeune femme en lutte contre le quotidien, de sa mère en déni de surpoids, de son copain en pertes de repères et d'un vieillard esseulé. Jusqu'au drame...
Lundi matin, Paul Wertret (Jean-Pierre Darroussin) se rend à son travail, à la banque où il est chargé d’affaires. Il arrive, comme à son habitude, à huit heures précises. Il sort un pistolet, abat deux de ses supérieurs puis s’enferme dans son bureau. Dans l’attente des forces de l’ordre, cet homme, jusque-là sans histoire, se remémore des pans de sa vie et les évènements qui l’ont conduit à commettre son acte.
Alix joue La Dame de la mer d'Ibsen au théâtre à Calais. Alors qu'elle doit passer une audition pour un rôle, elle croise le regard d'un homme dans le train qui l'amène à Paris et elle est attirée par son air triste. Il lui demande le chemin de l'église Sainte-Clotilde à leur arrivée en gare.
Jean-Baptiste Emmerich, né à Limoges, artiste peintre scandaleux et tyrannique mort à Paris, veut qu'on l'enterre à Limoges au cimetière de Louyat. C'est par cette phrase qu'il règle ses dernières volontés, lui qui voyait arriver la mort et ne voulait pas partir en laissant les autres en paix.