Le cartoon commence avec Daffy Duck déguisé en mousquetaire dans le lieu approprié. Lorsqu'il avance vers la gauche, le décor n'est pas fini. Daffy sort discrètement de l'écran puis revient et brise le quatrième mur en demandant qui est responsable du cartoon et demande de redessiner ce décor, le résultat est une ferme, obligeant Daffy à se déguiser en fermier. Il chante jusqu'à revoir le décor en blanc. Il redemande au quatrième mur « Est-ce qu'il sera trop de vous demander de vous décider une bonne fois pour toutes ? », puis des décors respectivement enneigés, hawaïens, une colorisation par erreur sur Daffy (Daffy ayant demander de colorier une ville sans la préciser), un décor où Daffy est en marin, un gros plan malcompris par le dessinateur et une mine que Daffy frappe accidentellement le poussent à demander qui est le dessinateur, qui s'avère être Bugs Bunny.
Martin Scorsese, célèbre réalisateur américain, énumère les films américains qui l'ont marqué et qui ont influencé son œuvre. Son voyage à travers le cinéma commence au début du siècle pour se terminer en 1969, date de son premier film : Who's That Knocking at My Door.
Depuis des décennies, Freddy Krueger s'est frayé un chemin à travers les rêves d'innombrables jeunes, effrayant plus d'un demi-milliard de dollars au box-office à travers huit films terrifiants et spectaculaires.
À Rome, à la fin des années 1980, Salvatore vient d'apprendre la mort de son vieil ami Alfredo. Par cette nouvelle, c'est toute son enfance qui remonte à la surface : son village natal, en Sicile, quand on l'appelait Totò et qu'il partageait son temps libre entre l'église (où il était enfant de chœur) et la salle de cinéma paroissiale, où régnait Alfredo, le projectionniste qui, au travers des films qu'il projetait, lui apprenait la vie.
Dans la scène d'ouverture du film, le personnage principal, Henry Hill, un citoyen américain d'origine italo-irlandaise, parle de son enfance à New York en 1955 et admet : « Autant que je me souvienne, j'ai toujours rêvé d'être gangster ». En effet, déjà à cette époque, Henry est fasciné par le train de vie qu'ont les truands de la mafia, notamment ceux de la famille Lucchese, une équipe de mafieux qui évolue dans son quartier ouvrier de Brooklyn, majoritairement peuplé de voisins d'origine italienne.
La scène d’ouverture présente le cadavre d’un homme assassiné qui flotte sur le ventre, dans une piscine. Un narrateur explique que l’homme était un scénariste raté. Commence alors un flashback, tandis que le narrateur, un certain Joe Gillis (William Holden), criblé de dettes, décrit sa tentative de fuir deux huissiers venus le trouver pour saisir son automobile. Au cours d’une course-poursuite sur Sunset Boulevard, Gillis crève un pneu et parvient presque par hasard, comme un tour de force du destin, à les semer en parquant son véhicule dans une allée privée. Il le gare dans le garage d’une villa qui semble abandonnée, mais une voix de femme l’appelle et un domestique allemand, Max (Erich von Stroheim), le fait entrer. La propriétaire, une vieille femme, le prend pour un croque-mort venu livrer un cercueil pour son chimpanzé mort. Gillis reconnaît Norma Desmond (Gloria Swanson), une vieille gloire du cinéma muet tombée dans l’oubli. Apprenant qu’il est scénariste, elle lui propose de l’employer pour mettre en forme un scénario sur Salomé, qu’elle a l’intention d’incarner pour son retour. Gillis saisit cette chance de gagner de l’argent.
Au début du cinéma parlant, dans l'état du Pays Tamoul...
Anandan (Mohanlal), acteur débutant et Tamizhselvam (Prakash Raj), auteur prolifique, deviennent les meilleurs amis du monde. Si, le premier vise le succès au cinéma, au prix de milles efforts, le second espère gravir les marches de la politique, avec l'appui d'un bon réseau. Tous deux, très prometteurs, dans leurs catégories, veulent absolument briller, dans leur pays. C'est alors (au début des années 1950) que Tamizhselvam suggère à son ami, Anandan, de le rejoindre au sein d'un parti régionaliste qui monte et emmené par son charismatique leader, Ayya Vélouthambi (Nasser). En vieux briscard de la politique, Ayya Vélouthambi y voit d'un bon œil l'occasion d'utiliser la notoriété grandissante d'Anandan, pour la vitrine de son mouvement. Il demande dans ce sens, à Tamizhselvam, de rédiger des scénarios qui servent aussi bien Anandan que la cause de leur idéologie. À présent figure incontournable et indispensable de leur courant (au début des années 1960), la star de cinéma (Mohanlal) est dans les petits papiers du fondateur (Nasser), ce qui porte ombrage au stratège (Prakash Raj) et lui fait naitre une pointe de jalousie. Plusieurs années plus tard (en1969), devenu le parti majoritaire, Ayya Vélouthambi décède d'une longue maladie, en plein mandat, laissant le poste vacant, mais aussi, confusions et questions qui vont mettre à mal l'amitié des deux hommes, à rude épreuve aussi bien Anandan que Tamizhselvam. Leur clans et entourage respectifs profitent pour souffler sur les braises de la discorde entre eux, jusqu'à la rupture, au point de non-retour. C'est ainsi qu'Anandan et Tamizhselvam vont prendre chacun leur chemin et s'opposer au sommet avec férocité, pour le poste de ministre en chef de leur pays. Amis encore hier, ils sont aujourd'hui, les pires ennemis...
En 1927, Don Lockwood (Gene Kelly), star du cinéma muet, a pour partenaire Lina Lamont (Jean Hagen), actrice à la voix de crécelle. Celle-ci est persuadée que la relation amoureuse qui les unit à l'écran les unit aussi dans la vie. Ils sont engagés tous deux par les studios Monumental Pictures. Don est toujours accompagné de son partenaire du temps de ses débuts au vaudeville : Cosmo Brown (Donald O'Connor).
L'Empire des Rêves relate l'épopée que fût la création de la première trilogie Star Wars. Des tous premières ébauches de scénario dans l'esprit de son créateur George Lucas jusqu'au succès qu'on connaît à la saga, ce documentaire nous entraine dans les coulisses d'un tournage tantôt chaotique, tantôt enivrant, racontés par les acteurs, les membres de la production, et George Lucas lui-même.
Le prix Sarah-Siddons va être attribué à la meilleure actrice de théâtre de l'année. Ève Harrington le gagne et toute l'assemblée l'applaudit, sauf deux femmes. Le film est un long flashback qui nous apprend « tout sur Ève ».
L'histoire commence sur les tentatives du Roi Arthur de recruter des chevaliers de la Table Ronde à travers la Grande-Bretagne. Plusieurs d'entre elles se révèlent vaines (la rencontre du Chevalier Noir par exemple, ou celle des paysans anarcho-syndicalistes) mais il est finalement rejoint par Sir Bedevere le Sage, qu'il rencontre au cours du jugement d'une prétendue sorcière.
Le film évoque le mouvement du 30 septembre 1965 en Indonésie ainsi que les massacres qui ont suivi, et qui ont causé la mort de 500 000 à un million de personnes. La parole est donnée aux auteurs de ces massacres, en particulier Anwar Congo et Adi Zulkadry, des voyous (preman) à qui l'armée confie les exécutions. À lui seul, Anwar Congo a assassiné environ 1 000 personnes, généralement en les étranglant avec un câble. Il est aujourd'hui un des fondateurs du groupe paramilitaire d'extrême droite indonésien Pemuda Pancasila , et n'a jamais été inquiété pour ses crimes.