Le documentaire débute alors que les travaux de la Baie James sont terminés depuis longtemps. Mais la ville de Radisson, créée artificiellement au début des années 1970 pour accueillir les travailleurs du chantier, existe toujours. Même que plusieurs de ses résidents, enracinés dans son sol gelé huit mois par année, y ont fondé des familles et soudé une communauté. Le documentariste Benoît Pilon est donc allé à la rencontre de ces gens du nord, afin de sonder les causes de leur amour pour ce coin de pays, qu'ils partagent avec les Cris de la réserve voisine de Chisasibi.
Antoine de Maximy part découvrir les États-Unis : ses grandes routes, ses paysages, ses mythes, ses grandes villes, ses communautés, ses stars hollywoodiennes mais également ses anonymes.
À travers 12 cas réels (conduite en état d'ivresse, petit trafic de drogue…), sélectionnés parmi plus de 200 filmés exceptionnellement entre mai et juillet 2003 à la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris, présidée par Michèle Bernard-Requin, ce film documentaire montre le quotidien de la justice. Les cas sont simplement filmés sans ajout de commentaire. Le film relève alors de ce qu'on appelle le cinéma direct.
Une explosion du mythe de la migration. La curiosité de l'acteur principal l'emmène à Londres, une ville cosmopolite où il faut batailler dur pour survivre, puis vivre avec des communautés d'horizons diverses. Que venaient-elles faire en un seul point de la terre toutes ces personnes de nationalités variées ? A la recherche du meilleur ? … d'une cinquième île ?
Le long du centre urbain le plus au méridional de l’Afrique, gît une bande de terrain très particulière qui sépare la ville de l’océan. D’un côté bordé par l’Océan Atlantique en belle toile de fond et de l’autre par Signal Hill, la promenade maritime – et les piscines publiques en son milieu – forme un espace comme il n’en existe pas d’autre au Cap. Autrefois bastion de l’Apartheid, c’est aujourd’hui un lieu unique pour son apparente mixité d’âges, de races, de genres, de religions, de statuts sociaux ou d’orientations sexuelles. D’une certaine manière cet espace est devenu l’un de ceux où les sud-africains sentent qu’ils ont le droit d’exister – et où, par conséquent, les possibilités d’être heureux dans un monde divers sont envisageables.
Les pénibles activités quotidiennes sur les quais du fleuve Douro, lors de son passage à travers la ville de Porto : chargements, déchargements, circulation, vente de poissons...