Longue méditation douloureuse sur la singularité des crimes nazis et la douleur de l'Homme survivant, le film prend le parti de n'utiliser aucune image d'archives. Seuls des témoignages de rescapés, de contemporains ou d'assassins sont montrés. Quelques séquences ont été rejouées ou préparées (ainsi le récit poignant d'un coiffeur, Abraham Bomba) mais la plupart ont été tournées en caméra directe, traduites à la volée par l'un ou l'une des protagonistes.
Part 1: Pride and Genocide deals with the carnage and its immediate aftermath. It examines the patterns of pre-planned genocidal violence (by right-wing Hindutva cadres), which many claim was state-supported, if not state-sponsored. The film reconstructs through eyewitness accounts the attack on Gulbarg and Patiya (Ahmedabad) and acts of barbaric violence against Moslem women at Eral and Delol/Kalol (Panchmahals) even as Chief Minister Modi traverses the state on his Gaurav Yatra
Réalisé à partir de caméras cachées et d’images jamais vues auparavant, Earthlings exhibe les pratiques quotidiennes de certaines des plus grandes industries du monde, toutes reposant sur l’exploitation des animaux.
1955 : Alain Resnais, à la demande du comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, se rend sur les lieux où des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants ont perdu la vie. Il s'agit d'Orianenbourg, Auschwitz, Dachau, Ravensbruck, Belsen, Neuengamme, Struthof. Avec Jean Cayrol et l'aide de documents d'archives, il retrace le lent calvaire des déportés.
À l'origine, les frères Naudet projetaient de produire un petit film documentaire retraçant le parcours d'une nouvelle recrue chez les pompiers de New York que l'on surnomme habituellement le « probie » (jeune pompier en période probatoire). Après quelques mois de tournage, lorsqu'un des frères est en train de filmer les pompiers, intervenant sur une fuite de gaz non loin du World Trade Center, le 11 septembre 2001, il pointe sa caméra en direction du premier Boeing 767, au moment où celui-ci percute l'une des deux tours. Les deux frères suivent alors, chacun de leur côté, l'équipe des pompiers dans les tout premiers moments de leur intervention. Jules est ainsi le seul journaliste qui a pu filmer de l'intérieur et en continu l'organisation des opérations de sauvetage dans la tour 1 (tour Nord) ; étant au moment du crash avec le commandant Joseph Pfeiffer, chef de bataillon des pompiers responsables du WTC, il a été autorisé à le suivre durant toutes les opérations. Au moment où la tour 2 (tour Sud) s'effondre, la décision est prise d'évacuer d'urgence la tour Nord. Le journaliste et une partie des pompiers parviennent finalement à s'échapper de cette tour peu avant que celle-ci ne s'effondre également.
The title of the first section is a reference to the ordeal that the Hindu god-king Rama used to test the fidelity of his wife after rescuing her from the demon king Ravana. The segment describes the various interconnected instances of communal violence in India in the years prior to the film. The film opens with the aftermath of the anti-Muslim riots in Bombay that followed the demolition of the Babri Masjid in December 1992. Several Hindu youth are heard speaking to the cameraman, saying that they had enjoyed the killing and looting, and that a list of Muslim individuals had been prepared beforehand, and that some authority figures knew of the plans to target Muslims.
Le film suit les pérégrinations de Ric O'Barry, ancien dresseur de dauphins devenu activiste, qui enquête sur la chasse au dauphin à Taiji (Wakayama) au Japon.
The film begins with scenes showing the day-to-day life of a construction contractor by the name of Eddie Lama. Footage shows Lama discussing a construction job with one of his employees, and Lama also talks about how various different racial and ethnic groups who work at his firm are able to get along together. A scene is shown with Lama petting two dogs, and there is also footage showing that Lama keeps multiple cats in his office.