"La guerre de sécession" est un film documentaire réalisé par l'Américain Ken Burns sur la guerre de Sécession. Le documentaire dure 11 heures, découpé en neuf épisodes. Episode 1 : La cause
Episode 2 : L'impasse sanglante
Episode 3 : Libres, à jamais
Episode 4 : Un meurtre, tout simplement
Episode 5 : L’enfer des combats
Episode 6 : La vallée de l'ombre de la mort
Episode 7 : Terre sanctifiée
Episode 8 : La guerre, c'est l'enfer
Episode 9 : Les meilleurs anges de notre nature
Paris, le 15 février 2003. Des dizaines de milliers de manifestants défilent pour protester contre la guerre imminente en Irak. Parmi eux, Abbas Fahdel, réalisateur d'origine irakienne installé en France. Après avoir filmé la manifestation, Abbas Fahdel prend l'avion pour Bagdad, où réside sa famille. Parce que filmer est un acte de vie, il entreprend de filmer les siens avec le superstitieux espoir de les préserver des dangers qui les guettent. Trois semaines plus tard, la guerre redoutée n'ayant toujours pas eu lieu, le réalisateur rentre en France. C'est alors que le conflit éclate. Les contacts sont coupés avec le pays et Abbas Fahdel n'a plus de nouvelles de sa famille. Après avoir passé deux mois à se morfondre d'angoisse devant son téléviseur, il retourne en Irak et découvre un pays plongé dans le chaos, mais où cependant tout demeure possible : le meilleur comme le pire.
Longue méditation douloureuse sur la singularité des crimes nazis et la douleur de l'Homme survivant, le film prend le parti de n'utiliser aucune image d'archives. Seuls des témoignages de rescapés, de contemporains ou d'assassins sont montrés. Quelques séquences ont été rejouées ou préparées (ainsi le récit poignant d'un coiffeur, Abraham Bomba) mais la plupart ont été tournées en caméra directe, traduites à la volée par l'un ou l'une des protagonistes.
De retour en Irak, et dans sa ville natale Babylone, Abbas Fahdel part à la recherche de ses amis d'enfance et découvre un pays meurtri par les années de guerre et de dictature.
Part 1: Pride and Genocide deals with the carnage and its immediate aftermath. It examines the patterns of pre-planned genocidal violence (by right-wing Hindutva cadres), which many claim was state-supported, if not state-sponsored. The film reconstructs through eyewitness accounts the attack on Gulbarg and Patiya (Ahmedabad) and acts of barbaric violence against Moslem women at Eral and Delol/Kalol (Panchmahals) even as Chief Minister Modi traverses the state on his Gaurav Yatra
1955 : Alain Resnais, à la demande du comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, se rend sur les lieux où des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants ont perdu la vie. Il s'agit d'Orianenbourg, Auschwitz, Dachau, Ravensbruck, Belsen, Neuengamme, Struthof. Avec Jean Cayrol et l'aide de documents d'archives, il retrace le lent calvaire des déportés.
À l'origine, les frères Naudet projetaient de produire un petit film documentaire retraçant le parcours d'une nouvelle recrue chez les pompiers de New York que l'on surnomme habituellement le « probie » (jeune pompier en période probatoire). Après quelques mois de tournage, lorsqu'un des frères est en train de filmer les pompiers, intervenant sur une fuite de gaz non loin du World Trade Center, le 11 septembre 2001, il pointe sa caméra en direction du premier Boeing 767, au moment où celui-ci percute l'une des deux tours. Les deux frères suivent alors, chacun de leur côté, l'équipe des pompiers dans les tout premiers moments de leur intervention. Jules est ainsi le seul journaliste qui a pu filmer de l'intérieur et en continu l'organisation des opérations de sauvetage dans la tour 1 (tour Nord) ; étant au moment du crash avec le commandant Joseph Pfeiffer, chef de bataillon des pompiers responsables du WTC, il a été autorisé à le suivre durant toutes les opérations. Au moment où la tour 2 (tour Sud) s'effondre, la décision est prise d'évacuer d'urgence la tour Nord. Le journaliste et une partie des pompiers parviennent finalement à s'échapper de cette tour peu avant que celle-ci ne s'effondre également.