Frôler la mort ne laisse pas indemne… Tom Shadyac - réalisateur de célèbres comédies à l’instar de Bruce tout puissant, Ace Ventura et prochainement du remake U.S. d’Intouchables - a vu sa vie bouleversée par un grave accident. Renonçant aux fastes de Hollywood, il décide de partir, caméra au poing, à la rencontre d’intellectuels et de scientifiques afin de trouver les réponses aux 2 questions qui l’obsèdent : "Qu’est-ce qui ne va pas dans le monde actuel ?" et "Que peut-on faire pour améliorer la situation ?".
Reminiscencias deals with the creation and loss of memory and identity though an autobiographic exploration based on the filmmaker's own 2009 instance of amnesia. Molero had to use home movies shot by his father and grandfather, as well as digital footage shot by himself and video clips from his cell phone to determine his own past and find his identity.
Le film traite de la façon dont la société de production de Gertten a été poursuivie en justice par Dole Food Company pour son documentaire de 2009, Bananas!*.
Broke* begins two years in the past, at the beginnings of Gray’s independent journey, recording demos in the basement of his friend's home. The demos come to the attention of producer T Bone Burnett who asks to meet and listen to more of Gray’s music.
The filmmaker finds himself in frequent conflict with his son, who is no longer the delightful child the father loved, but an argumentative young adult who inhabits virtual worlds available through the internet. To the father, the son seems to be addicted to and permanently distracted by those worlds. The filmmaker undertakes a journey to St. Quay-Portrieux in Brittany where he worked for a spring as a wedding photographer’s assistant at age 24 –slightly older than his son is now. He has not been back to St. Quay since that visit, and hopes to gain some perspective on what his own life was like when he was his son’s age. He also hopes to track down his former employer, a fascinating Frenchman named Maurice, and Maud, a woman with whom he was romantically involved during that spring 38 years ago. Photographic Memory is a meditation on the passing of time, the praxis of photography and film, digital versus analog, and the fractured love of a father for his son.
En compagnie de sa mère, Renee, qui souffre d’importants troubles mentaux, le réalisateur Jonathan Caouette entreprend un voyage à travers les Etats-Unis, pour la déménager de Houston à New York. Les obstacles qu’ils rencontrent sur leur route sont entrecoupés de retours dans le temps qui donnent un aperçu de cette relation mère-fils hors du commun.
At his dying father's bedside Rachid B. recalls his strongest memories from his childhood in Morocco to recollections of his homosexuality and rejection of Christianity, right up to his recent conversion to Islam.
Dans ce film, le photojournaliste de l'agence Magnum, filmé en gros plan, présente et raconte ses documents et souvenirs photographiques de 1957 à 1977, c'est-à-dire les vingt premières années de son travail photographique, depuis ses premiers clichés dans la ferme de ses parents jusqu'aux films sur le Tchad. Réalisé en 1983, il est sorti en 1984 et a reçu le Prix des Rencontres d'Arles cette même année.
Le cinéma de Guy Debord, associant images detournées et commentaires off, prolonge le refus critique du spectacle developpé par l'auteur dans ses livres et dans son activité au sein de l'Internationale situationniste. Le titre est un palindrome.
Desplechin filme son père, son frère Fabrice et ses neveux dans la maison familiale de Roubaix à la veille de la vente de celle-ci. Le film est la deuxième expérience « documentaire » du cinéaste après le travail sur Léo, en jouant « Dans la compagnie des hommes » et Unplugged, en jouant « Dans la compagnie des hommes ». Le film contient de nombreux éléments de repère permettant de décoder les autres films du cinéaste (La Vie des morts ; Léo, en jouant « Dans la compagnie des hommes » ; Esther Kahn, etc.). Il fournit ainsi diverses clefs (maison familiale, architecture urbaine, cimetière, conversation entre père et fils, etc.) facilitant l'accès à son univers cinématographique et biographique.
Il s’agit d’un documentaire entièrement tourné avec un téléphone portable, pour le Forum des images. Cette œuvre pose la question de l’avenir du langage cinématographique.