One night, while returning home by bus, Jorge (Albi De Abreu) receives a box from a strange old man. After he throws it away, the mysterious box keeps coming back to haunt him and test him in unexpected ways.
After being forced to retire, literature professor Fernando Robles (Federico Luppi) and his wife Liliana (Mercedes Sampietro) are forced to reevaluate their lives and make major changes in them. These include setting the record straight with their son, exiled in Madrid and starting out a new life. They decide to buy a small lavender farm in Córdoba from a widowed man, Zacarías, and with the aid of their lawyer friend Carlos (Arturo Puig), attempt to start out their new business.
En 1973, à la suite d'un coup d'état, s'installe en Uruguay une dictature militaire qui s'empresse d'emprisonner les opposants politiques. Parmi eux, trois dirigeants des Tupamaros, José Mujica dit Pepe, Eleuterio Fernández Huidobro dit Ñato et Mauricio Rosencof que le pouvoir en place considère comme des otages qui seront exécutés à la moindre action de leurs quelques compagnons d'arme restés en liberté. Incarcérés sans procès pendant douze ans, les trois hommes sont torturés, privés de tout contact, ballotés de geôles sordides en culs de basse fosse, affamés et maintenu dans un état de crasse indescriptible. Malgré cela, les trois hommes résistent en repensant aux moments heureux de leur vie, en communiquant en frappant sur les murs ou en mettant en évidence l'absurdité du régime pénitentiaire. Ils font échouer ainsi le plan des militaires de les rendre fous faute de pouvoir les tuer.
The documentary covers two cities, Montevideo and Buenos Aires, primarily in the 1920s and 1930s, and the men of action who migrated in from Spain, Germany, Russia and elsewhere during this time. These romantic gunmen committed their acts, not for personal gain but to fight against a regime they perceived as oppressive and repressive.
María, une jeune femme travaillant à domicile pour une usine textile, élève seule ses trois enfants et doit prendre en charge son vieux père, Agustín, atteint de la maladie d'Alzheimer. María tente vainement de le placer en maison de retraite. Sa sœur, sollicitée à son tour, refuse de l'aider. Désespérée, María abandonne Agustín sur un banc public…
À Montevideo, Jacobo Köller dirige la petite fabrique familiale de chaussettes, secondé par la très effacée et efficace Marta. Lorsque son frère Herman installé à l'étranger décide de lui rendre visite, Jacobo propose - de façon tout à fait anodine - à Marta de se faire passer pour son épouse, histoire de ne pas subir de plein fouet les affronts d'une rivalité larvée entre les deux frères…
Leche, Seb et Javi traînent avant de rentrer. Un faux pas du mauvais pied et 24 heures à tester les effets des dérèglements du hasard : les amours de l'un, les examens de l'autre, les rencontres farfelues du troisième. Une chronique désinvolte où les décisions se jouent par l'absurde à défaut de pouvoir ou de vouloir trouver sa place.
Uruguay 1966. Aurelio Saavedra (43), un politicien influent, ramène chez lui Masángeles (7), sa fille illégitime, après le suicide de sa mère. Aurora (43), sa femme, ne s’en remettra jamais. Masángeles réalise que dans cette maison de fous égoïstes, elle doit s’adapter pour survivre, tandis qu’au dehors, le pays souffre d’une guerre civile entre des guérilleros amateurs et des militaires cruels. Face à cette situation, chaque membre de la famille adopte une position différente : Aurelio se préoccupe de son honneur, ce qui l’entraîne dans différents duels. Aurora ignore la réalité de la pauvreté et se réfugie dans les rénovations perpétuelles de la maison. La sœur d’Aurelio et son mari ne pensent qu’à s’enrichir. Le fils d’Aurelio, Santiago, commence à se préoccuper de justice sociale et rejoint la guérilla après leur invasion de la maison.
Anina Yatay Salas est une petite fille qui n’aime pas son nom car c’est un palindrome – on peut le lire à l’envers comme à l’endroit – et fait d’elle la risée de ses camarades. Un jour, suite à une bagarre dans la cour d’école, Anina et son ennemie Gisèle sont convoquées par la directrice qui leur remet comme étrange punition, une enveloppe scellée qu’elles ne devront pas ouvrir avant sept jours. Anina avec son imagination débordante, fera tout pour deviner le contenu de l’enveloppe mystérieuse…
Timide et solitaire gardien dans une grande surface en périphérie de Montevideo, Jara gère la surveillance de tout le bâtiment. Depuis qu’il travaille de nuit, il est assez désœuvré face au calme qui règne dans le lieu. De sorte qu’il se livre, la majeure partie du temps, aux mêmes activités que chez lui : regarder des vidéos, faire des mots croisés et écouter de la musique. La routine de Jara se brise quand Julia, femme de ménage de 25 ans, apparaît par hasard sur l’un de ses écrans. Au début, Jara se contente de l’observer des heures durant pendant son service. Mais bientôt, il commence à la suivre après le travail, lorsqu’elle se rend au cinéma, à la plage et même à un rendez-vous avec un autre homme. Sa vie, petit à petit, ne se met plus qu’à tourner autour de Julia. Un jour, des rumeurs de réduction de personnel se répandent et sèment l’inquiétude chez les employés.
The film tells of an ambitious business man (Pauls) who wants to sell train 33, affectionately known as "Corazón de fuego," to a company in Hollywood. A group of elderly men known as "The Friends of the Rails" think that to do so would be to sell an important part of the country's history and so devise to steal the train.
Des robots géants prennent d'assaut Montevideo, la capitale de l'Uruguay. Escortés par un escadron de vaisseaux spatiaux, et face à une armée terrestre aussi courageuse que débordée et impuissante, ils saccagent la ville et détruisent des bâtiments, semant la confusion et le chaos. À la fin du film, les robots fusionnent pour former une sphère géante qui explose et embrase la ville, détruisant tout sur son passage. Aucune explication n'est donnée pour l'attaque.
A près de 80 ans, Jacobo Kaplan, juif polonais envoyé en Amérique latine par ses parents pendant la Seconde Guerre mondiale, est tiraillé par des questionnements existentiels. Lorsqu'il apprend qu'un vieil Allemand qui tient une gargote de plage est surnommé «le nazi» par les jeunes du coin, il y voit l'occasion de s'illustrer enfin : à l'instar de Simon Wiesenthal, il monte une opération commando avec l'aide de Wilson Contreras, un ancien policier pas très net...