Un père dit au revoir à sa fille, puis s'en va. Elle l'attend durant des jours, des mois, des années. Elle devient une jeune femme, fonde une famille, devient vieille, et pense toujours à lui.
Durant deux années, Renzo Martens a voyagé à travers le Congo, partant de la capitale Kinshasa pour se rendre ensuite vers l’intérieur du pays. Caméra à l’épaule, il a erré dans les méandres de l’industrie de lutte contre la pauvreté dans ce pays au lendemain de la guerre civile. Il est ainsi arrivé à la conclusion que la pauvreté est faite pour durer et la combattre est une entreprise qui profite bien peu aux pauvres. En réponse, le réalisateur lance un programme d’émancipation par lequel il fait prendre conscience aux habitants du Congo que leur ressource principale est la pauvreté. Symboliquement, il installe une enseigne lumineuse au milieu de la forêt qui dit : « Enjoy Poverty ».
La Haye, sous l'Occupation. Lorsque la ferme où elle se cachait est détruite par une bombe, Rachel rejoint une filière d'exfiltration de Juifs, dont sa famille, pour gagner la Hollande-Méridionale, déjà libérée. Tous ces Juifs sont fortunés, transportent bijoux, or et dollars. Mais ils sont interceptés par une patrouille nazie dans le delta du Biesbosch, assassinés et le chef des SS s'empare de leurs biens.
Sur la route des vacances en France, Rex et Saskia, un couple de Néerlandais, s'arrêtent sur une aire d'autoroute. Alors que Saskia se rend dans la boutique pour acheter une boisson, Rex l'attend à côté de la voiture. Ne voyant pas Saskia venir, il part la chercher mais ne la retrouve pas.
À Rotterdam, dans les années 1920, Jacob Katadreuffe vit avec sa mère, Joba, dans une grande pauvreté. Son père, Dreverhaven, un notable que sa mère a toujours refusé d'épouser, ne fait rien pour faciliter l'existence de son fils, bien au contraire. Malgré les difficultés, Jacob se montre avide de connaissance, et met tout en œuvre pour réaliser son rêve, devenir avocat.
Alors que la Seconde Guerre mondiale est proche, dans une université à Leyde, six étudiants vivent sans se préoccuper de leur avenir. Mais cette guerre va changer leur vie, certains vont choisir la rébellion et résister à l'occupant, d'autres vont opter pour la collaboration.
L'homme d'affaires Bill Browder, qui détient le fonds d’investissement britannique Hermitage Capital Management, après avoir approuvé pendant quelque dix ans la politique de Vladimir Poutine, dénonce à partir de 2005 les agissements du président de la Fédération de Russie et le système politique de kleptocratie. Hermitage Capital Management, le plus grand fonds d’investissement étranger en Russie, possède des parts importantes dans des sociétés majoritairement publiques comme Gazprom, Inter RAO, Rosneft, Sberbank et privées comme Sidanko et Surgutneftegaz.
Le film raconte les souvenirs d'un garçon qui, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, alors qu'il n'avait que 12 ans, avait été envoyé avec d'autres enfants à la campagne, en Frise à cause des bombardements alliés. La libération venant, il devint l'ami d'un jeune soldat canadien. Peu à peu ils vont tomber amoureux l'un de l'autre et vivre une passion intense qui marquera l'enfant toute sa vie.
L'argent circule dans les banques de Hong-Kong et de Genève, chez les spéculateurs à New-York et à Amsterdam. Dans les capitales de la finance internationale, une extrême pauvreté côtoie le luxe et une richesse indécente.
Le film raconte l'histoire d'un enfant de neuf ans, Mack Bouwense, qui, malgré une anomalie cardiaque (situs inversus), veut devenir champion de motocross.
Membre d’un club d’athlétisme, Sieger, jeune sportif de 17 ans sélectionné parmi quatre autres garçons, s’entraîne dans le but de participer à un championnat national de relais au cours de l’été. C’est alors qu’il sympathise avec Marc, un autre relayeur. Va naître alors une grande amitié entre les deux jeunes adolescents bien plus forte qu’une simple complicité.
À la fin de la guerre, Antonia rentre avec sa fille Danielle au village où elle est née, aux Pays-Bas. Les deux femmes fonderont une grande famille élargie de type matriarcal. Pendant les quarante années racontées par le film il arrive de tout : amours, mort, travail, religion, sexe, haine et vengeance, mais aussi philosophie, courage et poésie. Un matin Antonia se réveille en sachant que ce jour sera le dernier de sa vie. Elle réunit tout son "clan" et s'éteint entourée par ses chers.
Une jeune femme solitaire, Sintel, secourt et se lie d'amitié avec un dragonneau, qu'elle nomme Scales. Mais lorsque celui-ci se fait enlever par un dragon adulte, Sintel décide de se lancer dans une dangereuse quête pour retrouver son compagnon.